samedi 19 janvier 2008

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Ce billet s'adresse aux amateurs de BD ("BD toi-même !", rétorque l'enchifrené). Son but est de signaler la parution du septième volume d'une ébouriffante saga des temps modernes - ou plus exactement futurs - due au talent d'un jeune dessinateur, Nicolas Malfin, qui se trouve accessoirement être le gendre de l'Irremplaçable (enfin, plus ou moins...).

Je n'aurai qu'un conseil à vous donner : courez vite le commander chez votre fromager habituel et dites que vous venez de ma part : il vous sera alors fait le meilleur accueil.

3 commentaires:

  1. J'en profite pour rappeler que le poignant essai de mon cousin Évariste, L'Invendu (Éditions du Gazomètre, Saint-Pierre-des-Corps, 2003), qui retrace le parcours et expose les réflexions d'un élu local mis sur la touche pour avoir refusé toute compromission dans l'exercice de son mandat d'adjoint à la culture, est toujours en vente au Proximarket de La Croix-en-Touraine et au café-tabac « La Bonne Biture » d'Athée-sur-Cher (le demander à Françoise).

    « "L'Invendu" : au regard de ses ventes, jamais ouvrage n'aura sans doute mieux mérité son titre » (Bertrand Bougard, La Nouvelle République du Centre-Ouest, mardi 25 février 2003).

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  2. Mon cher Chieuvrou, je vous signale que les albums du sieur Malfin se vendent très bien et qu'une planche originale dédicacée par lui commence à atteindre de jolies sommes, parmi les aficionados des p'tits mickeys...

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  3. Mais, mon cher Monsieur Goux... Je n'en ai jamais douté une seconde, ni même, du reste, une fraction de seconde. Ma grandeur d'âme m'a simplement conduit à vouloir réparer une injustice.

    Quant à Golden City, j'essaierai d'en prendre connaissance dans les jours qui viennent, d'autant que la main qui balance le mystérieux projectile me rappelle avec émotion celle d'un agent de l'Anti-France des albums de Superdupont.

    Combien avez-vous touché, sinon ?

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.