« À Lyon, j'ai dîné à La Mère Brazier : deux crêpes aux truffes, puis une volaille de Bresse demi-deuil * aux tranches de truffes glissées sous la peau de la cuisse, puis des fruits et beaucoup de côte-de-beaune. Bon, ce n'est pas un repas d'une sophistication étourdissante ; mais à l'exception de quelques autres, il a envoyé par le fond le plupart de mes souvenirs de gueuletons. Franchement, le souvenir ébloui que j'en conserve reste passablement mystérieux. Un autre de mes repas inoubliables fut préparé à la maison, mais d'origine lyonnaise - un salmis de bécasse *, inspiré par le livre de Paul Bocuse. J'ai également été très soulagé de n'apercevoir aucun jogger dans les parages. »
Jim Harrison, Aventures d'un gourmand vagabond.
[Les passages en italiques suivis d'un astérisque sont en français dans le texte original.]
Jim Harrison, Aventures d'un gourmand vagabond.
[Les passages en italiques suivis d'un astérisque sont en français dans le texte original.]
Mais qu'est-ce que c'est que ces joggeurs qui font là ?
RépondreSupprimerCe sont des sportifs, laisse tomber.
RépondreSupprimerSigné : Didier Goux.
si un jour tu viens à Lyon, tu peux toujours m'inviter chez Bocuse, je connais la route :-)
RépondreSupprimerArticle cruel à lire, à 11:29, quand l'estomac commence à se tordre...
RépondreSupprimer