Toute réflexion faite, je pense que l'humanité peut raisonnablement se répartir en trois grandes catégories, les deux premières se divisant elles-mêmes en deux.
1) ceux qui se réveillent, le matin, d'une humeur massacrante, tristes, suicidaires au besoin, et qui vivent la journée comme une embellie lente, mais constante ;
2) ceux qui ouvrent les yeux sur un invraisemblable optimisme, lequel a tendance à décliner à mesure que le soleil suit sa course.
Chacune de ces deux catégories comporte sa fraction (importante) de malades graves :
a) ceux qui se réveillent chafouins et qui le restent jusqu'au coucher, quelle que soit la quantité d'alcool absorbée durant la journée ;
b) les autres qui, bisounours élevés sous la mère, restent souriants jusqu'au crépuscule, en dépit des avanies infligées durant la journée.
Ces deux dernières sous-classes relevant, à l'évidence, de la psychiatrie.
La troisième catégorie d'humains, de loin les plus nombreux et les moins bruyants, est constituée par ces immenses populations de continents lointains, souvent excessivement bronzées, qui vont tenter de survivre jusqu'au lendemain matin, tout en chassant les mouches qui prospèrent aux coins des yeux de leurs enfants trop maigres.
1) ceux qui se réveillent, le matin, d'une humeur massacrante, tristes, suicidaires au besoin, et qui vivent la journée comme une embellie lente, mais constante ;
2) ceux qui ouvrent les yeux sur un invraisemblable optimisme, lequel a tendance à décliner à mesure que le soleil suit sa course.
Chacune de ces deux catégories comporte sa fraction (importante) de malades graves :
a) ceux qui se réveillent chafouins et qui le restent jusqu'au coucher, quelle que soit la quantité d'alcool absorbée durant la journée ;
b) les autres qui, bisounours élevés sous la mère, restent souriants jusqu'au crépuscule, en dépit des avanies infligées durant la journée.
Ces deux dernières sous-classes relevant, à l'évidence, de la psychiatrie.
La troisième catégorie d'humains, de loin les plus nombreux et les moins bruyants, est constituée par ces immenses populations de continents lointains, souvent excessivement bronzées, qui vont tenter de survivre jusqu'au lendemain matin, tout en chassant les mouches qui prospèrent aux coins des yeux de leurs enfants trop maigres.
Bonjour Didier : j'appartiens manifestement à la première catégorie, affligé d'une fâcheuse tendance à mordre entre 8 et 10h.
RépondreSupprimerP.S.: je ne bois que le soir..
Eh bien, on est deux !
RépondreSupprimerC'est sûr, les mouches dès le matin, ça gache le réveil souriant !
RépondreSupprimer:-)
[Pour ma part, je change de catégorie suivant les jours. Je suis d'humeur sautillante, donc !]
Comme dirait ma mère "la dépression c'est une maladie de riches. Ou d'oisifs !"
RépondreSupprimerPoireau : d'humeur sautillante ? Toutes mes félicitations à Madame !
RépondreSupprimerZoridae : bon, je ne dois pas encore être assez riche, alors...
Re-Pluton : je précise qu'on est deux à être de sombre humeur le matin ET à ne pas boire avant le soir (sauf accidents...).
Ca m'étonnerait que les enfants de Tonnegrande soient trop maigres.
RépondreSupprimerEn fait, y'a que Nicolas qui dit des trucs intelligents et drôles par ici.
RépondreSupprimerEt Pluto après 10h.
Merci, Bénédicte...
RépondreSupprimerJe vous en prie, c'était sincère.
RépondreSupprimerD'ailleurs, un mot de sa part et je lui mets un petit lien pour son wikiotage.
On pourrait envoyer Bénédicte en Afghanistan remettre de l'ordre, vous ne croyez pas Didier ?
RépondreSupprimeriPidiblue chef de mission impossible
D'accord, mais en burka, alors...
RépondreSupprimeriPidigoux taliban public
D'accord, vous fournissez l'étoffe et moi je fournis le bâton ...
RépondreSupprimeriPidiblue et les chiennes de garde
Bénédicte,
RépondreSupprimerArrête de raconter des conneries : pendant ce temps-là, tu ne fais pas des billets avec plein de liens sur mes blogs.
iPidiblue : Pour quoi faire le baton ? Huhu ! J'ai l'air d'une crevarde ?
RépondreSupprimerDidier : Et les taliblancs, vous en pensez quoi ? Rayés de la surface du monde d'après vous ?
Nicolas : Et bien c'est à dire que le jour où nous aurons tous les deux pris une murge non clandestine dans ton quartier général, j'aurais matière a te linker frénétiquement.
Bénédicte,
RépondreSupprimerJe ne prends JAMAIS de murge.
Ou alors je ne m'en souviens plus...
Bénédicte : Didier a parfaitement raison, la burka protègera notre chère "tomb raider" des moustiques et lui permettra d'escamoter un bazooka ! Astucieux non ?
RépondreSupprimerMollah Pluto