jeudi 21 août 2008

Tu me demandes d'avoir pitié de toi ? Mais tu ne vaux pas la miséricorde pour te pendre...

13 commentaires:

  1. Didier : vous allez avoir pitié de moi : par souci d'économie, l'administration hospitalière me fait dormir dans des draps en tissu synthétique et imperméable. On transpire, ça gratouille mais on économise le lavage des draps car jetables. S'il vous reste un bout de corde je suis preneur...

    Pluton boulé

    RépondreSupprimer
  2. @pluton
    Vous faites partie des malades ou du personnel soignant?
    Je m'inquiète dans les deux cas!

    RépondreSupprimer
  3. Je m'inquiète aussi. Heureusement, je rentre demain. Tout devrait rentrer dans l'ordre !

    RépondreSupprimer
  4. Ah, on ne parlera jamais assez de la misère en milieu hospitalier !

    (En plus, maintenant, on ne peut même plus fumer...)

    RépondreSupprimer
  5. Il est bien votre aphorisme.

    J'en commande un tous les matins, vers 6h30. Pour le samedi, vous pouvez reprendre le meilleur de la semaine, et le dimanche, c'est pas la peine, je regarde "Sagesses Boudhistes" à la télé.

    RépondreSupprimer
  6. @orage : toubib je suis mais je vous rassure, les malades ont droit de temps en temps à de vrais draps...

    RépondreSupprimer
  7. Pluton, s'il y a de vrais draps, vous allez bientôt me voir débarquer avec minimum une pneumonie ! Il pleut des cordes et je dois marcher jusqu'à la gare ! Sans parapluie, évidemment.

    RépondreSupprimer
  8. Catherine : allons donc ! Et le métro ? Franchement vous exagérez !

    (c'est vrai on est en pleine mousson ce matin !)

    :-))

    RépondreSupprimer
  9. Bordel, je commande un aphorisme pour tous les matins, et dès le premier jour je suis pas servi !

    RépondreSupprimer
  10. Ah, désolé, M'sieur Franssoit, mais c'est rapport qu'on n'a pas été livré, ce matin. Savez c'que c'est avec les routiers : toujours en grève, ces fainéants-là !

    (Cela dit, rien que pour vous, je peux exhumer des euphorismes de mon premier blog, à l'époque où vous ne me lisiez pas. Mes vieux lecteurs vont hurler au radotage, mais tant pis. Allez, on le fait !

    RépondreSupprimer
  11. Monsieur Poireau, de la rue du Périgord à la gare, ça fait un détour d'aller prendre le métro ! J'étais pas loin, mais même 1à minutes sous les trombes d'eau, j'étais trempée !
    Pluton, rassurez-vous, vous ne m'aurez pas dans votre hôpital, je vais très bien. Je suis d'une race résistante !

    RépondreSupprimer

La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.