J'ai failli commencer ce billet par l'incipit suivant : « On n'en finit plus de parler de la burqua. » Or, c'est faux : on commence tout juste. Des discussions qui innervent la blogosphère – à tout le moins une partie d'elle – depuis plusieurs jours, je dégagerais d'emblée l'aspect positif : le verrou du silence et du déni semble avoir sauté, enfin. Enfin, il deviendrait permis, sans se faire traiter de porc racisto-fasciste, à notre cerveau de valider ce que voient nos yeux, et à notre voix d'en rendre compte en mots : c'est un énorme progrès.
La deuxième chose n'est qu'un point de détail, voire une “gaminerie”, jugeront certains, mais je la crois néanmoins très importante. Elle rejoint d'ailleurs la discussion que j'avais amorcée ici, à propos des différentes formes de langues totalitaires : il s'agit de la manière de décrire ces immondes tentes grillagées sous lesquelles les femmes s'épanouissent culturellement (dixeunt ses défenseurs...). La plupart des journalistes, toujours très respectueux du fait accompli, écrivent burqa ; ils ont été en cela suivi par la majorité des blogueurs, à qui ils servent de modèles-obstacles permanents. J'ai protesté ici et là, en commentaires, pour que l'on s'astreigne à écrire burqua (ou à la rigueur burka). On m'a répondu, en substance, que le mot n'avait aucune importance et que seule la chose en avait. C'est une erreur, évidemment, et les réflexions d'un Klemperer ou d'un Sternberger sont là pour nous le montrer : on n'emploie jamais impunément ce que j'ai appelé les “mots de l'ennemi”. Ici on est bien forcé de l'employer, puisqu'il n'a aucune équivalence (et heureusement !) en français. Mais au moins devrait-on s'astreindre, l'employant, à ne pas en profiter pour violer cette langue même.
[Encore que, ce matin, m'est venue l'idée contraire : est-ce qu'adopter l'orthographe insensée burqa ne serait pas le moyen, discret mais profond, de marquer à quel point ce mot (et par conséquent la chose qu'il désigne) est radicalement hors de notre champ de civilisation, rédhibitoirement et, on l'espère, définitivement étranger ? Je trouve l'idée séduisante, mais impraticable : trop de gens continueront à écrire burqa par simple déférence, soumission, à ce qui leur a été soufflé avec insistance.]
Le fond de l'affaire, à présent. Il y a deux choses : l'interdiction elle-même et le projet de commission parlementaire. De celle-ci, je n'ai pas grand-chose à dire, pour la raison que je n'en attends pas grand-chose, en admettant même qu'elle soit mise en place, ce qui reste à voir. Je crains que nous ne soyons allés trop avant dans la soumission et l'aplatissement pour être encore capables de réagir de façon désagréable. Car c'est bien de cela qu'il s'agit : sommes-nous prêts, pour tenter de sauvegarder ce qui peut encore l'être, à nous montrer désagréables avec quelques-uns, voire, si les circonstances l'exigent, injustes ? Je ne le crois malheureusement pas. L'hypothétique commission rendra donc un avis dilatoire, que Nicolas Sarkozy, qui se moque comme d'une guigne des questions soulevées, s'empressera de ne pas suivre. Par suite, la pente des événements restera la même, injustices il y aura bien mais elle seront commises à notre détriment.
Quant à l'interdition du “voile intégral” (préférable à mon sens à burqua, parce que plus “englobant”, si je puis dire), il va de soi (au moins pour les gens qui me lisent un peu régulièrement) que je suis absolument pour. Contre cette interdiction, les arguments en appelant aux notions de “liberté individuelle” ne résistent pas une seconde à un examen même superficiel. Est-ce une atteinte aux libertés individuelles que d'empêcher ceux qui le désireraient de se promener à poil dans les rues ? Ou un mari d'emener sa femme au marché, le samedi matin, à quatre pattes et au bout d'une laisse à chien ? Oui, certes, et alors ? Comme il est dit ce matin chez Criticus, une société n'est pas un simple agrégat de libertés individuelles, c'est même quasiment le contraire : c'est la distance par rapport à soi-même, le souci de l'autre, la prise en compte de son regard. Or, la prise en compte du regard, c'est précisément ce que le voile intégral entend supprimer.
Chez les partisans de l'interdiction, beaucoup s'appuient sur le sort des femmes encagées, sur le recul de leurs libertés, la régression des mœurs que cela implique, etc. Si ce type d'arguments peut aider à sortir les féministes de leur catatonie vis-à-vis de l'islam, alors, très bien, employons-les. Mais, en vérité, ils ne me semblent pas nécessaires. Ils peuvent même se retourner contre leurs utilisateurs : qu'invoquerez-vous contre le voile intégral, lorsque toutes celles qui le portent seront venues vous affirmer qu'elles sont, dessous, pleinement épanouies et que pour rien au monde elles ne voudraient s'en défaire ? Or, c'est déjà ce qui commence à se produire.
Le motif premier et principal pour réclamer l'interdiction est tout bête : c'est que l'immense majorité d'entre nous ne veut pas voir de ces femmes encagées dans les rues de notre pays, comme l'affirme avec force Élisabeth Lévy. Parce que cela heurte tout ce que nous sommes – ou pensons être, ce qui revient au même –, parce que cela nous choque et, d'une certaine manière, tend à nous nier. En réalité ce motif simple et premier devrait être en lui-même suffisant. Encore faudrait-il que nous tenions vraiment à demeurer ce que nous sommes (fûmes ?), ce qui semble hélas peu assuré. La civilisation occidentale (tiens ! un vilain mot !), et à l'intérieur d'elle la française tout particulièrement, exclut de cotoyer des mortes vivantes dans les lieux publics. On peut donc considérer que celles qui persisteront dans cet enfermement s'excluront en retour de la vie publique, prouveront par là même qu'elles ne souhaitent nullement s'intégrer à la communauté de ce pays, à son peuple, ni en adopter les quelques valeurs essentielles – pour peu qu'il nous reste des valeurs essentielles, ce dont on va finir par douter sérieusement si ça continue. On entend dire çà et là que ce sera encore pis pour elles si on leur interdit leur prison portative, car, à partir de ce moment, elles seront véritablement emprisonnées dans leurs appartements.
Pour être franc, je m'en fous.
La deuxième chose n'est qu'un point de détail, voire une “gaminerie”, jugeront certains, mais je la crois néanmoins très importante. Elle rejoint d'ailleurs la discussion que j'avais amorcée ici, à propos des différentes formes de langues totalitaires : il s'agit de la manière de décrire ces immondes tentes grillagées sous lesquelles les femmes s'épanouissent culturellement (dixeunt ses défenseurs...). La plupart des journalistes, toujours très respectueux du fait accompli, écrivent burqa ; ils ont été en cela suivi par la majorité des blogueurs, à qui ils servent de modèles-obstacles permanents. J'ai protesté ici et là, en commentaires, pour que l'on s'astreigne à écrire burqua (ou à la rigueur burka). On m'a répondu, en substance, que le mot n'avait aucune importance et que seule la chose en avait. C'est une erreur, évidemment, et les réflexions d'un Klemperer ou d'un Sternberger sont là pour nous le montrer : on n'emploie jamais impunément ce que j'ai appelé les “mots de l'ennemi”. Ici on est bien forcé de l'employer, puisqu'il n'a aucune équivalence (et heureusement !) en français. Mais au moins devrait-on s'astreindre, l'employant, à ne pas en profiter pour violer cette langue même.
[Encore que, ce matin, m'est venue l'idée contraire : est-ce qu'adopter l'orthographe insensée burqa ne serait pas le moyen, discret mais profond, de marquer à quel point ce mot (et par conséquent la chose qu'il désigne) est radicalement hors de notre champ de civilisation, rédhibitoirement et, on l'espère, définitivement étranger ? Je trouve l'idée séduisante, mais impraticable : trop de gens continueront à écrire burqa par simple déférence, soumission, à ce qui leur a été soufflé avec insistance.]
Le fond de l'affaire, à présent. Il y a deux choses : l'interdiction elle-même et le projet de commission parlementaire. De celle-ci, je n'ai pas grand-chose à dire, pour la raison que je n'en attends pas grand-chose, en admettant même qu'elle soit mise en place, ce qui reste à voir. Je crains que nous ne soyons allés trop avant dans la soumission et l'aplatissement pour être encore capables de réagir de façon désagréable. Car c'est bien de cela qu'il s'agit : sommes-nous prêts, pour tenter de sauvegarder ce qui peut encore l'être, à nous montrer désagréables avec quelques-uns, voire, si les circonstances l'exigent, injustes ? Je ne le crois malheureusement pas. L'hypothétique commission rendra donc un avis dilatoire, que Nicolas Sarkozy, qui se moque comme d'une guigne des questions soulevées, s'empressera de ne pas suivre. Par suite, la pente des événements restera la même, injustices il y aura bien mais elle seront commises à notre détriment.
Quant à l'interdition du “voile intégral” (préférable à mon sens à burqua, parce que plus “englobant”, si je puis dire), il va de soi (au moins pour les gens qui me lisent un peu régulièrement) que je suis absolument pour. Contre cette interdiction, les arguments en appelant aux notions de “liberté individuelle” ne résistent pas une seconde à un examen même superficiel. Est-ce une atteinte aux libertés individuelles que d'empêcher ceux qui le désireraient de se promener à poil dans les rues ? Ou un mari d'emener sa femme au marché, le samedi matin, à quatre pattes et au bout d'une laisse à chien ? Oui, certes, et alors ? Comme il est dit ce matin chez Criticus, une société n'est pas un simple agrégat de libertés individuelles, c'est même quasiment le contraire : c'est la distance par rapport à soi-même, le souci de l'autre, la prise en compte de son regard. Or, la prise en compte du regard, c'est précisément ce que le voile intégral entend supprimer.
Chez les partisans de l'interdiction, beaucoup s'appuient sur le sort des femmes encagées, sur le recul de leurs libertés, la régression des mœurs que cela implique, etc. Si ce type d'arguments peut aider à sortir les féministes de leur catatonie vis-à-vis de l'islam, alors, très bien, employons-les. Mais, en vérité, ils ne me semblent pas nécessaires. Ils peuvent même se retourner contre leurs utilisateurs : qu'invoquerez-vous contre le voile intégral, lorsque toutes celles qui le portent seront venues vous affirmer qu'elles sont, dessous, pleinement épanouies et que pour rien au monde elles ne voudraient s'en défaire ? Or, c'est déjà ce qui commence à se produire.
Le motif premier et principal pour réclamer l'interdiction est tout bête : c'est que l'immense majorité d'entre nous ne veut pas voir de ces femmes encagées dans les rues de notre pays, comme l'affirme avec force Élisabeth Lévy. Parce que cela heurte tout ce que nous sommes – ou pensons être, ce qui revient au même –, parce que cela nous choque et, d'une certaine manière, tend à nous nier. En réalité ce motif simple et premier devrait être en lui-même suffisant. Encore faudrait-il que nous tenions vraiment à demeurer ce que nous sommes (fûmes ?), ce qui semble hélas peu assuré. La civilisation occidentale (tiens ! un vilain mot !), et à l'intérieur d'elle la française tout particulièrement, exclut de cotoyer des mortes vivantes dans les lieux publics. On peut donc considérer que celles qui persisteront dans cet enfermement s'excluront en retour de la vie publique, prouveront par là même qu'elles ne souhaitent nullement s'intégrer à la communauté de ce pays, à son peuple, ni en adopter les quelques valeurs essentielles – pour peu qu'il nous reste des valeurs essentielles, ce dont on va finir par douter sérieusement si ça continue. On entend dire çà et là que ce sera encore pis pour elles si on leur interdit leur prison portative, car, à partir de ce moment, elles seront véritablement emprisonnées dans leurs appartements.
Pour être franc, je m'en fous.
"trop de gens continueront à écrire burqa par simple déférence, soumission, à ce qui leur a été soufflé avec insistance"
RépondreSupprimerSi je parle pour moi, non, je ne crois pas que ce soit par soumission. J'ai du changer dix fois d'orthographe ces derniers jours, mais le plus fautif, c'est que j'écrivais burqa, qua, en pensant niqab ou tchador, bref le grand voile noir qui va des pieds à la tête avec un pan sur le visage et juste les yeux visibles. C'est ceux là que je vois sur le marché arabe de la Zup.
Depuis qu'on en parle, les blogs s'illustrent d'images expliquant la différence, les subtilités vestimentaires.
Je crois que ce U en plus ou en moins n'a pas plus d'importance que la façon dont on écrit Mao tsé toung, zédong, ou bifteck et beefsteak. Les mots sont importants, mais , si Riposte Laïque utilise deux graphies dans le même billet, ce n'est pas signe d'un conflit de définition. Enfin, ça m'étonnerait.
Je suis totalement, mais alors complètement, d'accord avec vous!
RépondreSupprimerJe ne veux pas les voir...
Moi aussi, je m'en fous si l'interdiction mène ces pauvres femmes à ne plus sortir de leur cuisine. Si c'est trop difficile, ce que je peux comprendre, raison de plus pour vouloir réintégrer les pays d'origine, où il serait bon qu'elles se mobilisassent et fissent bouger les choses (voeu pieux).
Bien sûr qu'elles vont affirmer en nous regardant droit dans les yeux (manquerait plus qu'on ne voit plus les yeux), qu'elles sont d'accord avec cet enfermement. Le moyen pour elles de faire autrement?
Didier, la burqua présente deux intérêts majeurs :
RépondreSupprimer- efficace protection contre les moustiques quand elle est grillagée, fini leishmaniose, paludisme !
- si nous revêtons vous et moi une burqua, songez au nombre de bouteilles de Chablis 1er cru que l'on peut camoufler...
Bon je vais faire la sieste, ça vaut mieux...
Didier, pourquoi pinailler sur l'orthographe...
RépondreSupprimerPourquoi essayer à franciser le nom d'un truc qui de toutes façons n'a rien à faire dans la République Française.
Pas besoin de rajouter un U, ça doit être interdit, car incompatible avec les valeurs de la République
Marine
RépondreSupprimerRéfléchissez quand vous écrivez
"Les yeux dans les yeux" vous oubliez le grillage qu'il y aura entre les deux paires d'yeux
Quelles sanctions ? Pour qui ?
RépondreSupprimerC'est surtout ça, l'important.
S'il s'agit de filer une amende à l'emburquadée, cela n'a aucun intérêt.
Je ne comprends même pas que la burka prête à discussion avec arguments civilisationnels et tout et tout.
RépondreSupprimerLes femmes se sont battues contre la burka avec le peu de succès que l'on sait en Afghanistan et ailleurs. Allons-nous la supporter ici?
En fait, ce débat en cache un autre, voire vise à l'escamoter.
Il y a quelques jours encore, nous en étions à débattre du port du voile islamique dans les lieux publics. Le "débat" sur la burka vise à nous faire accepter le simple voile ou foulard comme un pis-aller. Elle porte un voile? Ok, tant que ce n'est pas la burka...
Bon, alors quand je viendrai chez vous j'écrirai burqua par politesse (pas contrariante je suis).
RépondreSupprimerPascal Labeuche, vous proposez quoi ? Renvoyer dans leur pays des Christelle ou des Nancy du 78 qui adhèrent au salafisme comme on entre dans les témoins de Jéhovah ? Lapider des musulmanes de souche ?
Je ne sais pas si je suis pour ou contre l'interdiction du port dans la rue, en fait.
Quelque chose comme "toute personne circulant dans les lieux publics, transports en commun, doit être immédiatement indentifiable et donc avoir le visage découvert",en dehors des périodes de fête où le travestissement est autorisé, oui. "le port du machin chose est interdit...", non.
Je serais surtout pour qu'on n'ennuie plus des gens comme Fanny T., cette femme qui tenait un gîte rural dans lequel elle acceptait tout le monde, à condition qu'on accepte d'enlever son voile dans la salle à manger commune, et qui a été lourdement condamnée pour discrimination.
Je serais également assez tentée de demander qu'on mette le nez dans les collèges et lycées catholiques sous contrat d'association, donc financés publiquement, qui accueillent bras ouverts les porteurs de "signes ostentatoires" et pratiquent un œcuménisme que je trouve bien opportuniste.
Putain, Didier tu fais chier !
RépondreSupprimerVoile intégral est à proscrire ! Les médias l'utilisent ce n'est pas pour rien (LQR!). Voile intégral comme bronzage intégral, nu intégral, casque intégral, remboursement intégral ?
L'intégral positive le truc comme l'intégration.
J'écris burKa car on lui fait son procès.
Merde, Merde, Merde, Didier, là Tu fais chier.
Suzanne : j'ai vu votre billet après avoir écrit celui-ci. Votre comparaison me renforce dans ma conviction : je déteste Zedong pour Tsé Toung, Iraq pour Irak, Antananarivo pour Tananarive ! Mais je veux bien admettre que c'est une question marginale. (Quoique...)
RépondreSupprimerMarine : Olivier a raison : yeux dans les yeux avec une burqua ?
Pluton : de l'alcool sous un vêtement islamique ? BLASPHÈME !!!
Olivier : on est d'accord sur l'essentiel. Pour l'orthographe, je maintiens que ce n'est pas du pinaillage (ou pas que).
Pascal : on est d'accord. Je n'ai pas aborder l'aspect pratique d'une éventuelle interdiction, simplement parce que ce n'est pas de ma compétence.
Marine : ce que vous dites (à propos du voile) est en effet à craindre, je n'y avais pas pensé.
Suzanne : même réponse qu'à Pascal Labeuche : en effet, si l'interdiction venait à être prononcée, son application risque d'être difficile et délicate. Mais est-ce une raison pour laisser faire ?
PRR : ben... qu'est-ce qui vous prend ? Un petit coup de chaud ?
Tiens Didier, nous citons la même source... mais ma photo à moi elle est plus jolie :-)
RépondreSupprimerDidier : je ne dis pas que c'est de peu d'importance, mais que la plupart des gens qui utilise une orthographe ou une autre de ce mot, pour l'instant, en ce moment, ne le fait pas d'une façon différente selon qu'il sera pro interdiction ou anti interdiction, déférent envers l'Islam ou pas...vu qu'on en est tout juste à différencier les voiles en question.
RépondreSupprimer@marine : très bien vu.
RépondreSupprimer@didier : coup de chaud, oui. utiliser voile intégral est rentrer dans une stratégie de LTI. Non ? Oui ?
Polluxe : disons que votre voile est moins intégral...
RépondreSupprimerSuzanne : bien entendu ! mais, si l'on suit Victor Klemperer, c'est justement cette utilisation inconsciente, "naturelle" qui est la plus dangereuse, parce qu'elle pénètre l'esprit plus profond, sans rencontrer de résistance.
"[Encore que, ce matin, m'est venue l'idée contraire : est-ce qu'adopter l'orthographe insensée burqa ne serait pas le moyen, discret mais profond, de marquer à quel point ce mot (et par conséquent la chose qu'il désigne) est radicalement hors de notre champ de civilisation, rédhibitoirement et, on l'espère, définitivement étranger ? Je trouve l'idée séduisante, mais impraticable : trop de gens continueront à écrire burqa par simple déférence, soumission, à ce qui leur a été soufflé avec insistance.]"
RépondreSupprimerAu départ, j'écrivais "burqa" en italique, pour montrer ce que ce mot - et la réalité qu'il voile, pardon qu'il recouvre - a d'étranger à notre culture, notre civilisation. J'en ai perdu l'habitude, mais je crois que je vais m'empresser de la recouvrer (et non de la recouvrir... ;-) ).
Mais non, je ne trouve pas (j'ai peut-être tort, mais il faudrait m'expliquer). Je trouve que l'expression a l'avantage d'éviter des distinction oiseuse entre burqua, niquab et je ne sais quoi d'autre encore.
RépondreSupprimerMais sans doute, je m'en avise maintenant, voulez-vous dire, tout comme Marine, que cela légitime implicitement le voile "non intégral" ?
Criticus : oui, l'italique peut être une solution... mais c'est chiant de devoir y penser à chaque fois ! Et puis, un changement de typographie ne me paraît pas suffisant pour légitimer une orthographe aberrante.
RépondreSupprimerBourka, alors ? Vu qu'on prononce "ou", et non "u".
RépondreSupprimerAh, je vous demande bien pardon, mais moi je prononce burqua ! Et puis, de toute façon, on ne prononcera jamais comme les arabophone, donc on s'en fout.
RépondreSupprimerMais, en plus, le voile noir de votre image n'est pas une burqa, c'est plutôt un niquab.... Vous voyez bien que ce foutu voile nous obscurcit l'entendement ! (la métaphore voile-prison me plaisait bien)
RépondreSupprimerburka : linceul recouvrant les vivants.
RépondreSupprimerVoile intégral est à bannir. Autrement, de votre blog, je mets les voiles. Na !
(il a entendu ça où, Critiqous ?)
RépondreSupprimerBen, j'entends plus souvent bOUrqa que bUrqa...
RépondreSupprimerMoi, je n'en parle que par écrit, comme ça je suis peinard.
RépondreSupprimerPRR : voile intégral ! voile intégral !
(Et hop ! un de moins...)
Vous aviez proposé un groupe Facebook, je l'ai créé, et je vous t ai invité ! Pour l'instant, j'ai un succès fou : 3 membres dont moi, un alcoolique qui porte des burquas à chier devant ses chemises et un belge toulousain !
RépondreSupprimerMince ! ça m'a échappé ! Je fouille ma corbeille...
RépondreSupprimerA y est ! je suis t'inscrit !
RépondreSupprimerDidier, pouvez-vous m'inviter à ce groupe, ce qui nous permettra, au passage, de devenir "amis" sur FB ?
RépondreSupprimerRoman : mais c'est que c'est le groupe de Franssoit, je ne sais pas si je peux ! (Et, en plus, je ne sais même pas comment on fait...)
RépondreSupprimerDidier, voici déjà mon profil : http://www.facebook.com/romanbernard
RépondreSupprimerUne fois "amis", vous pourrez m'inviter au groupe en cliquant sur "Inviter des amis à rejoindre le groupe" (colonne de droite). Merci !
Ben une fois que le groupe est créé, n'importe qui peut le faire. Faut juste connaitre le nom facebook de la personne.
RépondreSupprimerAh non, il faut d'abord être ami pour inviter, pardon !
RépondreSupprimerJ'ai rejoint le groupe. Merci. ;-)
RépondreSupprimerMoi aussi, je veux m'inscrire et je ne trouve pas !
RépondreSupprimerQu'est ce que je fais dans un groupe Facebook avec Criticus, moi ? Franssoit, tu déconnes. On va tous se retrouver à rénover l'occident avec des bourres cas à chier.
RépondreSupprimerDidier,
Faites chier à faire des billets à l'heure de l'apéro alors qu'après la sieste le Président cause dans le poste. J'arrive après la bataille.
Tu peux aussi t'en casser, de ce groupe.
RépondreSupprimerCriticus, Franssoit, Catherine, Nicolas (et les autres) : c'est très bien, continuez à vous débrouiller sans moi !
RépondreSupprimerJe suis en plein synopsis Brigade mondaine, là : une histoire de fille qui a pris le niquab pour cacher qu'elle a été défigurée par son frangin et un pote à lui. Mais sa vengeance va être terrible... et "tranchante" !
Et voilà : à peine "amis" ils commencent à s'engueuler ! Ah, c'est joli, Facebook, tiens !
RépondreSupprimerOn est pas amis, on est membre du même groupe. Nous allons fonder la gauche réactionnaire.
RépondreSupprimerAvec les dents ?
RépondreSupprimerOu alors, elle va lui verser un endormisseur dans son thé à la menthe, et lui faire couper les choses par sa copine vétérinaire ou par Zevdo, le rom hongreur de chevaux qui n'est autre que....
Nicolas qui se finkielkraute... jl'e crois pas, j'le crois pas..
RépondreSupprimerFaut que je consulte ?
RépondreSupprimerElle pourrait le mettre dans une burca, avec juste un trou pour faire dépasser la teub, et lacher un rat. Ce serait mega cool, non ?
RépondreSupprimerNicolas : et moi la droite révolutionnaire et partageuse !
RépondreSupprimerSuzanne : oui, hein, ça fout la trouille...
Bon, interruption momentanée de mes interventions : j'ai tondeuse...
RépondreSupprimerVous avez retrouvé une vieille qui a taté de la langue allemande au temps de sa jeunesse ?
RépondreSupprimerMoi je suis contre le port de l'entonnoir sur la tête.
RépondreSupprimerC'est du racisme antichinois !
RépondreSupprimerBonjour Didier,
RépondreSupprimerJe serais tentée de penser qu'en France, il faut écrire burka, de même qu'on écrit Irak.
C'est en anglais qu'on transcrit Iraq et burqa.
Donc, on va mettre des K, histoire de ne pas faire comme les perfides insulaires, et garder nos bons usages de chez nous.
Camille, que pensez-vous de cette explication
RépondreSupprimerDidier, pour être franc, je me fous autant du rejet intolérant d'une écrasante majorité de Français, que du sort réel de ces femmes qui se laissent enfermer ou s'enferment —les premières parce qu'elles garderont la même mentalité une fois délivrées, resteront esclaves autrement, les secondes parce qu'elles sont hostiles à toutes les valeurs qui fondent notre société laïque.
RépondreSupprimerEt pourtant, j'estime que nous n'avons pas à interdire la البرقع , parce que la liberté ne se découpe pas en rondelles, c'est la première valeur de notre devise républicaine. Ce vêtement nous offense (il m'offense aussi), par ce qu'il représente d'asservissement, et surtout à cause du défit que nous adressent ceux qui le font porter ou celles qui le portent par choix. On pourrait presque dire qu'il s'agit d'une insulte ambulante.
Par contre, si nous n'en savions rien, si le contexte religieux, culturel, politique, etc, n'existait pas, nous le prendrions pour une coutume pittoresque, comme le turban des Sikhs, et cela nous ferait tout juste sourire.
Nous n'avons pas à interdire un vêtement qui nous dérange intellectuellement. Il me semble qu'il n'est pas difficile d'imaginer la rage qui serait la nôtre si une autorité prétendait censurer notre habillement. Sortez-moi une loi qui me dicte ma tenue vestimentaire et je m'achète un fusil pour accueillir le premier contrôleur comme il le mériterait ( facile à dire puisque je ne porte ni burqua, ni djellaba, ni boubou: je sais, mais ma colère serait réelle).
Par contre, ce qui se passe derrière le costume intéresse la société: ce serait du ressort des services sociaux, ou de je ne sais qui, comme pour l'enfance maltraitée. Il faudrait savoir combien de femmes ainsi vêtues y sont contraintes, vérifier qu'il n'y a pas parmi elles de mineures, etc. Et le vérifier plutôt dix fois qu'une, par surprise. Il doit déjà exister des textes permettant de sanctionner éventuellement les maris ou les pères abusifs.
Enfin, pour que cette horreur disparaisse, ce qui semble heureusement inévitable, il faut renforcer l'application des règles de la laïcité là où elles doivent s'imposer (piscines, mairies, hôpitaux, écoles, par exemple), et renforcer leur apprentissage dans l'enseignement… Ce chiffon ne mérite pas de nous entraîner à renier nos principes.
Didier, au plus profond de mon âme, je ne souhaite qu'une chose : que votre voile intégral passe dans l'hélice de la tondeuse ! Et les copeaux de tissu : à la déchetterie ! rien à y faire au pied des cyprès. de la mauvaise graine, j'vous dis !
RépondreSupprimerFranssoit : une vieille qui a tâté de la langue : bon pour un Brigade, ça !
RépondreSupprimerHenri : faites gaffe, vous avez Nicolas sur le dos, maintenant...
Camille : c'est comme au PS : il y a différents courants. Vous serez mon Aubry, je serai votre Ségolène, chabada bada...
Le Coucou : la burqua une coutume pittoresque ? Excusez-moi mais, même hors de tout contexte religieux, je doute si je trouverais cela pittoresque...
Quant à renforcer les lois de la laïcité, alors qu'elle craque de toutes parts ! C'est tout de même votre grande amie Martine qui a instauré dans les piscines de Lille des jours hommes et des jours femmes, non ? Sans parler de toutes ces mairies (de droite comme de gauche, du reste) qui financent des mosquées sur l'argent public alors que la moitié des églises de ce pays tombent en décrépitude au nom de cette laïcité désormais à géométrie dangereusement variable.
PRR : j'avais pris soin d'ôter mon voile avant de passer la tondeuse : je me souviens d'Isadora Duncan...
Suzanne :
RépondreSupprimerl'explication de Dominique, chez vous, en jette. Tout cela est effectivement une question d'usages de translittération. Je ne suis pas assez savante pour me prononcer plus avant.
Le Coucou, le turban des Sikhs n'est pas une coutume pittoresque mais un signe religieux !
RépondreSupprimer"Le Turban Des Sikh
Le turban (et la barbe) distingue un Sikh parmi une foule de gens. Un homme d’une famille Sikh qui n’obéit pas à sa religion et qui ne se distingue pas par son turban et sa barbe n’est pas véritablement un Sikh.
Un vrai Sikh est prêt à affronter beaucoup de difficultés et de problèmes pour garder son turban et sa barbe. Le turban est obligatoire pour un Sikh Amritdhari : c’est l’uniforme du Khalsa. Le turban fait partie intégrante de l’habillement sikh. L’interdiction éventuelle de porter le turban est par conséquent ressenti par les Sikh comme une persécution religieuse (même involontaire.)"
Et toc ! tombé du nid, le Coucou ! Ah, mais !
RépondreSupprimerCamille : l'explication de Dominique est en effet passionnante, mais elle est sans objet : je parle, moi, des règles du FRANÇAIS, langue qui, jusqu'à plus ample informé, réclament un u après le q. Le qaf arabe, je m'en tape un peu pour le quart d'heure.
RépondreSupprimerDidier, et Catherine,
RépondreSupprimerLe turban des Sikh est religieux, certes, je ne l'ignorais pas. Et si j'ai écrit "pittoresque", c'est parce que je n'ai pas beaucoup de respect pour les signes religieux —sauf celui de m'abstenir de souhaiter leur interdiction tant qu'on n'essaie pas de me les imposer.
Pour la piscine de Lille, il est évident que je suis contre ce genre de décision, qu'elle soit le fait de Martine Aubry ou de n'importe qui. Nous devrions nous ressaisir sur la laïcité.
On peut toujours utiliser les "" ! (Didier adore ça)
RépondreSupprimerla "burka" , na!
Sinon oui, ça me paraît être une sacrée diversion...
D'autant que si j'ai bien entendu Sarko, il n'y aura pas de loi anti-burka...Ca fera plaisir à Besson Eric.
Et ton string Coucou c'est un signe de quoi ?
RépondreSupprimer"L’interdiction éventuelle de porter le turban est par conséquent ressenti par les Sikh comme une persécution religieuse (même involontaire.)"
RépondreSupprimerOui, ça les empêche de mettre un casque quand ils cheminent en deux-roues.
Faut qu'ils mettent le casque!
Et s'ils râlent, ils doivent bien savoir que le casque n'est pas obligatoire là-bas, en Sikhie.
Persécution religieuse? D'où aurions-nous envie de persécuter religieusement les Sikhs? En Inde, ce sont eux qui persécutent les Hindous (avec l'aide des Musulmans, il faut bien le dire).
Les milliers de Chrétiens pourchassés et tués chaque année à Pâques en Indonésie et ailleurs dans le monde apprécieront le degré de persécution religieuse.
Question: comment font les femmes en "burka" pour faire de la moto? Elles mettent le casque dessus ou dessous?
AAAh, le retour de la tondeuse...
@ Marine
RépondreSupprimerSarqo !
à la rigueur Sarkho !
Et de préférence entre guillemets.
@ qristine:
RépondreSupprimer"Sarkhouch" prononcé à la Hongroise? (pour faire plaisir à notre hôte)
Tu t'en fous, Goux, c'est le mot de la fin et le bon mot. La burrequa est un non-sujet. Une tactique politique de diversion. La question de l'oppression des femmes (musulmanes, chrétiennes, animistes, athées, hindoues, taoïstes...) en revanche est digne d'intérêt. Mais ce n'est pas sur les signes qu'il faut se battre.
RépondreSupprimerUn ami à moi, peu tendre avec le consensus humaniste, estime (« hélas ! » ajoute-t-il) qu'il va bientôt falloir remettre les milices au goût du jour. Il suggère de coincer en rue une emburquanée et de lui faire enlever sa guenille fissa, sous peine de la schlague. Mon Dieu, c'est le sort, en plus soft, que subirait en Arabie Saoudite une pute occidentale qui aurait la suprême audace de se balader en jupe pas même au ras du fion.
RépondreSupprimerQu'il faille débattre quant à savoir si la burqua doit être ou non interdite est en soi la preuve que nous sommes des minables. Il n'y a pas à discuter de ça. Ce type de loque doit être banni, et expulsé hors de France (et de Suède, et d'Irlande, et de Pologne, etc.) son contenu, ainsi que toute sa famille.
"Qu'il faille débattre quant à savoir si la burqua doit être ou non interdite est en soi la preuve que nous sommes des minables. Il n'y a pas à discuter de ça."
RépondreSupprimerAlléluia.
« Alléluia. »
RépondreSupprimerFort bien dit, mon frère.
Shalom.
Très bien résumé Yanka.
RépondreSupprimerD'accord avec Yanka.
RépondreSupprimerJ'ajoute les envoilées, enfoulardisées islamiques et les hommes en robe blanche ou noire à cette expulsion qui n'aura jamais lieu.
"Civilisation occidentale" est un pléonasme. Kippa, burka, Chapka, peu importe : on doit se découvrir en entrant dans un lieu public. C'est la politesse. Les ceusses qui ne se découvrent pas sont des malotrus ou des provocateurs. Avant de discuter il faut d'abord être poli, et "vêtu comme il faut qu'on se vête", ainsi que disait le bon Guillaume.
RépondreSupprimerNon, on ne crée pas de milice. C'est illégal et anticonstitutionnel. Dans un état de droit seule la police est habilitée à faire règner l'ordre public. Si le port de la burqa devient illégal, c'est à la police et à elle seule de procéder à une vérification d'identité.
RépondreSupprimerLes "rondes citoyennes" de la Ligue du Nord sont une aberration, associations de petits vieux retraités qui compliquent et entravent le travail de la police (qui doit en plus surveiller qu'il n'arrive rien de fâcheux à ces tas de pépères qui veulent jouer les Rambo). Et des associations de Rambos qui se constitueraient en véritables milices seraient définitivement hors-la-loi.
Pascal Labeuche : j'aime beaucoup votre blog. Très reposant.
RépondreSupprimerC'est pas vrai : j'ai réussi à tout lire sans dormir.
RépondreSupprimerIl est pas un peu gras, le blog à Beuchy ?
RépondreSupprimerJe partage vos observations, tant il est vai que les mots ont un sens et qu'employer un mot plutôt qu'un autre n'est pas innocent. Cela dit, et après avoir lu nombre d'articles sur l'Islam et ses à-côtés, je m'avoue surpris de contater que nul auteur ne dénonce le prosélytisme musulman et ses dangers pour notre civilisation, alors même que le prosélytisme est une OBLIGATION pour tout musulman. Il me semble que la religion musulmane s'insinue insidieusement dans notre univers et depuis si longtemps que l'on n'y prend plus garde. A ce propos, permettez-moi d'évoquer une anecdote qui me semble significative : en 1986, alors que j'étais à Beyrouth, j'entendis à la radio l'interview accordée par une jeune musulmane chiite qui prenqit part aux combats. Interrogée sur les buts qu'elle même et ses amis poursuivaient, elle répondit que son rêve était un monde islamisé ; sur la question des moyens pour y parvenr, elle répondit en substance : nous commencerons par la persuasion et si nous ne parvenons pas à nos fins, alors nous emploierons la force.
RépondreSupprimerSi l'on ne veut pas d'une France islamisée, il est temps d'agir ; pour cela, commençons par renvoyer les bonnes âmes, partisanes d'une liberté de conscience (que l'islam leur supprimera dès qu'il aura triomphé) à plus de réalisme.
S'agissant de vocabulaire, le point de départ de cette discussion, il me semble que la burka est le vêtement des Pakistanaises musulmanes (relire Kipling à ce sujet) et que les Afghanes sont affublées d'un tchadri.
RépondreSupprimerDuralex
RépondreSupprimerCe n'est pas le prosélitysme pas plus que la façon dont le christianisme s'est répandu. C'est une religion merveilleuse l'Islam la dernière laparfait et la dernière de toutes. Il ne faut pas jugger l'Islam sur ses mauvais musulmans ceux qui sont délinquants. Le voile revient partout c'est un signe signe qu'on retourne a plus de foi et de ferveur et de respect du saint Coran.
Dans l'Islam la femme est libre plus que partout ailleurs et vénérée plus que partout dans le monde entier. Le paradis est sous les pieds de ta mère.
Islam forever
Mounia
« Dans l'Islam la femme est libre plus que partout ailleurs et vénérée plus que partout dans le monde entier. »
RépondreSupprimerOui, c'est bien connu... ;)
Criticus combien de viols de femmes qui meurent tous les jours par la brutalité de leur mari chrétien?
RépondreSupprimerCombien d'enfants de dix ans qui ont vu des films pornos et font pareil avec leur soeur dans votre france chrétienne ?
combien de filles qui offrent leur chair combie de pères qui vont prendre l'avion pour aller fire du commerce sexuel ? combin de réseaux de pédophiles ?
Chez nous la femme est protégée. Le voile est le signe de la protection d'Allah et de sa famille.
Mounia
C'est ça que voient les français qui se convertissent par amour.
RépondreSupprimerPas de déviance et de sexuallité malade chez nous
Allah est grand
@plus les hommes libres
Islam forever.
Mounia
Mounia, c'est dans un pays musulman, le Pakistan, que le viol est légalisé, et que les femmes violées sont lapidées. Oui, vous lisez bien, c'est la femme violée qui est lapidée, non le violeur. Alors, vos leçons de morale, gardez-les vous.
RépondreSupprimerCriticus : elles n'avaient qu'à pas commettre l'adultère. Vous exagerez le nombre de lapidation il n'y en a presque plus. La femmequi vit dans l'amour et la crainte d'Allah n'a rien à redouter des hommes.
RépondreSupprimerEt en France il a fait quoi comme crie le voile et la burqa ?
mounia
« elles n'avaient qu'à pas commettre l'adultère »
RépondreSupprimerLes femmes violées « commettent l'adultère », maintenant. Très drôle.
Le viol légalisé pauvre homme vous dites n'importe quoi.
RépondreSupprimerCultivez vous un peu au lieu de croupir dans votre monde de cafards islamophobes sous le règne de Riposte Laïque.
@+ le looser
Islam for ever
Mounia
« loser » ne prend qu'un seul « o ». C'est que, non contente de ne pas savoir écrire le français, vous ne savez pas non plus écrire l'anglais. C'est pourtant la langue officielle de « Londonistan »... ;-)
RépondreSupprimercriticus, et toi tu parles arabe?
RépondreSupprimerMoi oui et puis tu sais sur les commentaires les fautes on en fait plein les souchiens comme les descendants d'esclaves en Algérie.
Je m'énerve mais je n'aime pas qu'on dise des choses fausses ur ma religion.
Si tu vois une belle mercédes toute neuve conduite par un chauffart qui zigzague et écrase la foule tu diras que c'est de la faute de la mercédes ?
L'Islam c'est pareil et les musulmans sont des pécheurs.
Islam forever
Mounia
d'ailleurs on dit non contente de ne savoir écrire le français et pas de ne pas savoir. Deux négations s'annulent monsieur le louzeur.
RépondreSupprimer« les souchiens »
RépondreSupprimerEt raciste avec ça. Délicieux... ;-)
Je vois qu'on s'amuse bien par ici ! Bon, Roman, vous m'excuserez, j'en suis sûr, mais je ferme les commentaires : j'en ai assez de l'autre trouduc moyenâgeux.
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