Moi aussi j'ai un problème avec un s mais pas au même endroit. "On y est allé". La photo nous montrant bien 2 personnages, n'aurait-il pas fallu accorder le participe passé en considérant que le "on" remplaçait" un "nous"?
Petit Louis : allusion est faite à "La Merveille", nom donné à l'ensemble formé par le cloître et les différentes salles qui se trouvent dessous lui.
Icila : à partir du moment où "on" est un pronom singulier, il réclame le singulier : logique grammaticale. Laquelle, je le reconnais, s'oppose parfois assez désagréablement à la logique du sens, notamment lorsque le singulier "s'entend" – ce qui n'est pas le cas ici.
Didier: les chameliers lisent votre blog, et vu ce que vous pensez des printemps arabes, ils les ont planqués. (non, le dromadaire égyptien ne portera pas l'islamophobe normand.)
Didier, un autre point de vue pour l'accord de "On" :
Grevisse: "Il n'est pas rare que le pronom représente en fait une ou des personnes bien identifiées et concurrence les pronoms personnels je, tu, il, nous, vous, ils, elle, elles. Dans ce cas, si le verbe reste nécessairement au singulier, l'adjectif attribut, l'épithète détachée, le participe passé peuvent prendre le genre et le nombre correspondant au sexe et au nombre des êtres désignés :
"Eh bien ! petite, est-on toujours fâchée ?" (Maupassant) "On dort entassés dans une niche." (Loti) "On était perdus dans une espèce de ville." (Barbusse) "On est fatigués." (Colette) "
je ne vois pas en quoi cette photo de deux touristes japonais marchant sur une plage truffée d'algues vertes avec une plate-forme pétrolière dans le fond, prouve quoique soit ! C'est pas sérieux.
Non le mouton a repeint l'herbe et le berger la photographie.
De toute façon, la photographie n'a pas été prise en Normandie, à cette époque il pleut comme vache qui pisse ou alors lors d'une alerte au rayon de soleil.
Maupassant, Loti, Colette... Trois connus pour la tendance à la faute d' orthographe "commune" .. celle de la langue qui se délite dans le parler.. comme diraient Huysmans et Goncourt réunis ... Geargies.
Billet de fainéasse.
RépondreSupprimerJe vous demande bien pardon : il a fallu marcher pour arriver jusque-là !
RépondreSupprimerIl manque quand même un agneau dans la photo. Parce que je voudrais pas dire, mais qu'est-ce qu'on mange ?
RépondreSupprimerRobert, vous avez raté une marche, mon vieux : les agneaux sont sur la photo juste en dessous de celle-ci !
RépondreSupprimerça ne prouve absolument rien : avec photoshop, on peut faire de très beaux montages.
RépondreSupprimerMais on vous croit... sur parole.
photo bien cadrée et beau temps , mais n'eut-il pas fallu mettre un S à merveille ?
RépondreSupprimerMoi aussi j'ai un problème avec un s mais pas au même endroit.
RépondreSupprimer"On y est allé".
La photo nous montrant bien 2 personnages, n'aurait-il pas fallu accorder le participe passé en considérant que le "on" remplaçait" un "nous"?
" ... mais n'eut-il pas fallu mettre un S à merveille ?"
RépondreSupprimerEt un chapeau sur "n'eût-il", car le temps s'est rafraîchi.
D'abord, une photo n'est pas une preuve. Et d'une !
RépondreSupprimerEn plus elle est mal éclairée.
Ça pourrait être n'importe qui en compagnie de Nafissatou Diallo.
C'est comme qui dirait une image de synthèse.
RépondreSupprimerAnonyme3D
Petit Louis : allusion est faite à "La Merveille", nom donné à l'ensemble formé par le cloître et les différentes salles qui se trouvent dessous lui.
RépondreSupprimerIcila : à partir du moment où "on" est un pronom singulier, il réclame le singulier : logique grammaticale. Laquelle, je le reconnais, s'oppose parfois assez désagréablement à la logique du sens, notamment lorsque le singulier "s'entend" – ce qui n'est pas le cas ici.
On dit ça, on dit ça...
RépondreSupprimerSuzanne : on repère le montage vicieux à un petit détail que vous avez négligé, inconséquente créature : il n'y a pas de dromadaires de pré salé.
RépondreSupprimerDidier: les chameliers lisent votre blog, et vu ce que vous pensez des printemps arabes, ils les ont planqués.
RépondreSupprimer(non, le dromadaire égyptien ne portera pas l'islamophobe normand.)
Didier, un autre point de vue pour l'accord de "On" :
RépondreSupprimerGrevisse: "Il n'est pas rare que le pronom représente en fait une ou des personnes bien identifiées et concurrence les pronoms personnels je, tu, il, nous, vous, ils, elle, elles. Dans ce cas, si le verbe reste nécessairement au singulier, l'adjectif attribut, l'épithète détachée, le participe passé peuvent prendre le genre et le nombre correspondant au sexe et au nombre des êtres désignés :
"Eh bien ! petite, est-on toujours fâchée ?" (Maupassant)
"On dort entassés dans une niche." (Loti)
"On était perdus dans une espèce de ville." (Barbusse)
"On est fatigués." (Colette) "
Chouette photo, à part ça !
Geneviève
"on est un con".
RépondreSupprimerComme disait l'autre.
Ils sont beaux (et l'herbe me paraît bien fluo, quand même).
RépondreSupprimerje ne vois pas en quoi cette photo de deux touristes japonais marchant sur une plage truffée d'algues vertes avec une plate-forme pétrolière dans le fond, prouve quoique soit ! C'est pas sérieux.
RépondreSupprimer@Suzanne : mort de lol.
RépondreSupprimerL'herbe n'a pas été retouchée, ji vous l'jure, patron !
RépondreSupprimerPRR : mais savez-vous qu'à cette époque les plateformes pétrolières étaient en pierre ? C'étaient pas des tarlouzes, les Médiévaux de pré salé !
C'est le mouton qui a pris la photo ?
RépondreSupprimerNon le mouton a repeint l'herbe et le berger la photographie.
RépondreSupprimerDe toute façon, la photographie n'a pas été prise en Normandie, à cette époque il pleut comme vache qui pisse ou alors lors d'une alerte au rayon de soleil.
Maupassant, Loti, Colette... Trois connus pour la tendance à la faute d' orthographe "commune" .. celle de la langue qui se délite dans le parler.. comme diraient Huysmans et Goncourt réunis ... Geargies.
RépondreSupprimerJe confirme, il faut marcher.
RépondreSupprimerC'est drôle d'ailleurs, je l'ai fait ce week-end. Nous avons eu un temps magnifique..
La photo suffisait. Les commentaires - tous ces commentaires - sont parfaitement inutiles ! Le mien aussi. Belle photo, tout de même.
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