lundi 8 juin 2020

GdC, avec un G comme dans Géographie


Le délateur rabique Gauche de Combat, dans sa dernière giclée de fiel, postillonne à propos d'un site internétique belge – peu importe lequel, c'est totalement sans intérêt. Il conclut ses éructations toxiques par cette phrase : « Quoiqu’il en soit, ce sale type n’est définitivement pas un allié dans nos luttes, d’un côté comme de l’autre de la Meuse… » GdC, l'homme qui prend la Meuse pour une frontière, comme d'autres prenaient le Pirée pour un homme, ou la ligne Oder-Neisse pour un rail de coke… en plus de mélanger “quoique” avec “quoi que” – il est vrai que ce sympathique dénonciateur n'est plus à un couac près. 

Ah, ils sont brillants, je vous jure, nos traqueurs de nazis virtuels, nos redresseurs de torts géographomanes, nos petits pères gestap'dur ! 

17 commentaires:

  1. Pourtant,j'ai toujours entendu parler de " nos amis d'outre-Quiévrain"

    EA

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    1. Hors sujet, comme d'hab', hein !

      Quel rapport entre Quiévrain – qui est un village – et la Meuse qui est un fleuve ?

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    2. J'étais persuadé que Quiévrain désignait un fleuve, une rivière, ou au moins un ruisseau ! Mais quelle idée d'utiliser cette expression en prenant comme référence un village proche de la frontière belge, comme il doit il y en avoir tant d'autres !!! Les Allemands sont-ils " nos amis d'outre-Strasbourg", les Espagnols " nos amis d'outre- Hendaye", etc. ?

      EA

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    3. Au départ, "nos amis d'outre-Quiévrain" est une expression de chroniqueurs sportifs. Du reste, je crois bien que personne ne l'emploie à part eux.

      Sa pertinence reste un mystère…

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    4. (Wiki) L'expression Outre-Quiévrain est utilisée en France comme figure de style pour désigner la Belgique. Contrairement aux expressions plus anciennes et plus usitées d'Outre-Manche (pour le Royaume-Uni) ou d'Outre-Rhin (pour l'Allemagne) désignant la géographie naturelle de la frontière, Outre-Quiévrain fait référence à la ville frontalière belge de Quiévrain, ancien important point de passage ferroviaire entre les deux pays. Du xixe siècle jusqu'à la Première Guerre mondiale, Quiévrain abritait la gare-frontière de la ligne Paris-Bruxelles. Les trains s'arrêtaient et les voyageurs étaient soumis au contrôle de la douane, installée dans une aile du bâtiment. Passé la gare, on était « outre-Quiévrain »

      EA

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  2. Et on peut aussi parler d'un autre, qui a table ouverte dans nos médias, qui prenait d'Halicarnasse (Denys), pour un nom de famille.
    C'est sûr, comme le disait ma grand-mère, qu'on n'est pas rendu.

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  3. Cretinus Alpestris9 juin 2020 à 09:00

    La fréquentation de blogs tenus par des individus vivant au premier degré ne fait que confirmer le manque d'élévation de notre triste époque.

    On nous a menti : la décadence n'est pas une séquence historique festive. C'est au contraire un truc long, interminable, ennuyeux, que l'on s'acharne thérapeutiquement à prolonger par tous les moyens palliatifs possibles.

    Et ça, personne ne le dénonce.

    'videmment.

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    1. C'est qu'il n'est pas très facile de dénoncer un truc interminable et ennuyeux…

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  4. Didier, juste pour me rafraîchir la mémoire.
    La Meuse, c'est bien ce fleuve qui coule dans le sens nord/sud prenant sa source à la frontière entre le Portugal et la Suède pour se jeter dans la mer Cassepieds ?
    J'ai tout bon ?

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    1. Vous oubliez sa boucle vers le lac Lagoda.

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    2. Reste, pour les amoureux de la langue française, que le mystère de l'expression " Outre-Quiévrain" n'est pas résolu par l'explication de Wikipedia.
      Jusqu'aux années 1960 et plus, pour aller dans la péninsule ibérique, il fallait changer de train à Hendaye ( l'écart des rails n'étant pas le même ), qui était donc bien plus qu'un poste-frontière ; et pourtant, aucun journaliste sportif n'a jamais utilisé l'expression "nos amis d'outre-Hendaye " pour désigner les Espagnols ( ou " nos ennemis d'outre-Hendaye", pour Miroir-Sprint, qui était communiste ).
      EA

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    3. De m'avoir rafraîchi la mémoire et confirmé mes très très vieux souvenirs !

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  5. La Meuse.
    J'ai donc fait mes recherches sur la Meuse.
    Voici ce que ça donne:
    Meuse, qui se dit 'Maas' en néerlandais. Ce qui donne Maastricht, la ville sur la Meuse.
    Côté héraldique, c'est quand même pas terrible : un ange qui a été faire ses classe à Moscow.
    C'est d'un baroque !
    Manquerait plus que ce soit une viking et qu'elle refuse de baiser au nom du catholicisme.



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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.