Le délateur rabique Gauche de Combat, dans sa dernière giclée de fiel, postillonne à propos d'un site internétique belge – peu importe lequel, c'est
totalement sans intérêt. Il conclut ses éructations toxiques par cette
phrase : « Quoiqu’il en soit, ce sale type n’est définitivement pas un
allié dans nos luttes, d’un côté comme de l’autre de la Meuse… » GdC,
l'homme qui prend la Meuse pour une frontière, comme d'autres prenaient
le Pirée pour un homme, ou la ligne Oder-Neisse pour un rail de coke… en plus de mélanger “quoique” avec “quoi que” – il est vrai que ce sympathique dénonciateur n'est plus à un couac près.
Ah, ils sont brillants, je vous jure, nos traqueurs de nazis virtuels, nos redresseurs de torts géographomanes, nos petits pères gestap'dur !
Pourtant,j'ai toujours entendu parler de " nos amis d'outre-Quiévrain"
RépondreSupprimerEA
Hors sujet, comme d'hab', hein !
SupprimerQuel rapport entre Quiévrain – qui est un village – et la Meuse qui est un fleuve ?
J'étais persuadé que Quiévrain désignait un fleuve, une rivière, ou au moins un ruisseau ! Mais quelle idée d'utiliser cette expression en prenant comme référence un village proche de la frontière belge, comme il doit il y en avoir tant d'autres !!! Les Allemands sont-ils " nos amis d'outre-Strasbourg", les Espagnols " nos amis d'outre- Hendaye", etc. ?
SupprimerEA
Au départ, "nos amis d'outre-Quiévrain" est une expression de chroniqueurs sportifs. Du reste, je crois bien que personne ne l'emploie à part eux.
SupprimerSa pertinence reste un mystère…
(Wiki) L'expression Outre-Quiévrain est utilisée en France comme figure de style pour désigner la Belgique. Contrairement aux expressions plus anciennes et plus usitées d'Outre-Manche (pour le Royaume-Uni) ou d'Outre-Rhin (pour l'Allemagne) désignant la géographie naturelle de la frontière, Outre-Quiévrain fait référence à la ville frontalière belge de Quiévrain, ancien important point de passage ferroviaire entre les deux pays. Du xixe siècle jusqu'à la Première Guerre mondiale, Quiévrain abritait la gare-frontière de la ligne Paris-Bruxelles. Les trains s'arrêtaient et les voyageurs étaient soumis au contrôle de la douane, installée dans une aile du bâtiment. Passé la gare, on était « outre-Quiévrain »
SupprimerEA
Et on peut aussi parler d'un autre, qui a table ouverte dans nos médias, qui prenait d'Halicarnasse (Denys), pour un nom de famille.
RépondreSupprimerC'est sûr, comme le disait ma grand-mère, qu'on n'est pas rendu.
Je l'avais oublié, celui-là !
SupprimerLa fréquentation de blogs tenus par des individus vivant au premier degré ne fait que confirmer le manque d'élévation de notre triste époque.
RépondreSupprimerOn nous a menti : la décadence n'est pas une séquence historique festive. C'est au contraire un truc long, interminable, ennuyeux, que l'on s'acharne thérapeutiquement à prolonger par tous les moyens palliatifs possibles.
Et ça, personne ne le dénonce.
'videmment.
C'est qu'il n'est pas très facile de dénoncer un truc interminable et ennuyeux…
SupprimerDidier, juste pour me rafraîchir la mémoire.
RépondreSupprimerLa Meuse, c'est bien ce fleuve qui coule dans le sens nord/sud prenant sa source à la frontière entre le Portugal et la Suède pour se jeter dans la mer Cassepieds ?
J'ai tout bon ?
Tout juste, Auguste !
SupprimerVous oubliez sa boucle vers le lac Lagoda.
SupprimerReste, pour les amoureux de la langue française, que le mystère de l'expression " Outre-Quiévrain" n'est pas résolu par l'explication de Wikipedia.
SupprimerJusqu'aux années 1960 et plus, pour aller dans la péninsule ibérique, il fallait changer de train à Hendaye ( l'écart des rails n'étant pas le même ), qui était donc bien plus qu'un poste-frontière ; et pourtant, aucun journaliste sportif n'a jamais utilisé l'expression "nos amis d'outre-Hendaye " pour désigner les Espagnols ( ou " nos ennemis d'outre-Hendaye", pour Miroir-Sprint, qui était communiste ).
EA
Merci !
SupprimerDe quoi ?
SupprimerEA
De m'avoir rafraîchi la mémoire et confirmé mes très très vieux souvenirs !
SupprimerLa Meuse.
RépondreSupprimerJ'ai donc fait mes recherches sur la Meuse.
Voici ce que ça donne:
Meuse, qui se dit 'Maas' en néerlandais. Ce qui donne Maastricht, la ville sur la Meuse.
Côté héraldique, c'est quand même pas terrible : un ange qui a été faire ses classe à Moscow.
C'est d'un baroque !
Manquerait plus que ce soit une viking et qu'elle refuse de baiser au nom du catholicisme.