Gloussé tout à l'heure en découvrant cette information, piquée dans le marais touitteresque (c'est moi qui souligne) :
En Irlande, les victimes de “violences conjugales” pourront désormais prendre un congé payé de cinq jours sans fournir de preuve à leur employeur.
Autant dire que tout Irlandais marié dispose dorénavant de cinq jours de congés supplémentaires. J'en suis bien sûr fort content pour eux, mais j'imagine déjà l'indignation des célibataires, des pacsés, des à-la-colle et des veufs, hurlant à la discrimination.
À moins qu'il ne soit plus nécessaire d'être marié, en Irlande, pour “bénéficier” des bienfaits de la violence conjugale ?
Va-t-on bientôt voir défiler dans les rues de Dublin d'interminables théories de manifestants, brandissant des pancartes vindicatives pour réclamer “la violence conjugale pour tous” ?
Je n'en serais même pas surpris.
Est-ce qu'on peut poser plusieurs fois par an nos congés pour violences conjugales sans preuve ?
RépondreSupprimerC'est exactement la question que Catherine et moi nous posions. Vous imaginez l'épouse ou le mari qui se prendrait une beigne par semaine ? Il ou elle pourrait rester tranquillement chez lui jusqu'à la retraite…
SupprimerC'est même limite une incitation, là...
SupprimerToutes ces sociétés parties en Irlande pour le taux favorable d'impositions. Il faut bien que le vulgus pecus récupère des bonus.
RépondreSupprimerLes droits d'auteur sont très faibles en Irlande.
RépondreSupprimerVous n'êtes pas concerné, M. Goux, of course, vu vos tirages.
Le Rabouilleur
Très belle illustration.
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