mercredi 4 janvier 2012

D'après mon expérience récente…


Les jeunes Japonaises sont toutes petites, toutes menues, mais elles mangent comme trois déménageurs européens – surtout au petit-déjeuner. Et, souvent, elles s'appellent Chihiro.

18 commentaires:

  1. Tiens, un martyre qui accède au 7 vierges...

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  2. aux sept vierges bien sûr, mais c'est un martyre peu expérimenté, les dix mille c'est pour plus tard...

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  3. L’est timide ou quoi ?
    Et ça lui sert à quoi le bloc-note posé sur le muret ?
    (je note que M.Goux a jugé utile de mettre son pantalon "de sport"…)

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  4. Vierges, vierges, vous vous avancez beaucoup !

    Plouc : Vous me verriez revêtu de mon jogging, vous vous feriez pédé aussi sec.

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  5. Mais qu'est-ce que vous foutez avec des Japonaises qui sont par nature immigrées chez nous (ça m'étonnerait que vous soyez passé par le Japon, y'a plein d'étrangers qui se croient chez eux, là bas).

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  6. J’ignore superbement votre réponse qui transpire d’un je-ne-sais-quoi de narcissisme adolescent. Sabs vouloir vous décevoir, vous n’êtes pas mon type…
    Ceci-dit, vous ne répondez pas à la question : à quoi sert le bloc-note, nœud central, oserais-je dire, de l’image (oui, j’ai passé l’âge…) ?
    Seriez-vous comme Déesskâ qui tenait sur un petit carnet le décompte du "matériel" consommé ?
    Non, je ne crois pas ; lui ne faisait pas sa prière avant…

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  7. Pris sur le net pris sur le fait ( accompli ) :


    Une petite Japonaise, Chihiro, s'ennuie dans la voiture qui l'emmène
    avec ses parents vers leur nouvelle maison. Après avoir pris un chemin de
    traverse, la voiture s'arrête devant un étrange tunnel, que le trio décide
    de franchir... pour y découvrir bientôt un monde merveilleux et inquiétant
    où l'on n'aime guère les humains, et où des animaux plus ou moins
    imaginaires, tous loufoques, sont aux petits soins pour les dieux
    pachydermiques qui viennent se baigner là sous l'égide de la sorcière
    Yubaba. C'est dans cet univers plein de poésie et Lewis-Carrollesque à
    souhait que la petite Chihiro va, aidée par un mystérieux garçon, vivre
    maintes péripéties et rencontrer moult personnages extraordinaires.

    Les images tout d'abord sont extraordinaires. Ce n'est pas du Pixar,
    mais il faut bien le reconnaître, même pour un mordu d'images de synthèse,
    c'est cent fois plus beau : les peintures animées qui s'étalent sous nos
    yeux suscitent une réelle émotion esthétique, au milieu des couleurs
    chatoyantes d'un univers onirique que baigne une lumière magique.
    Certaines scènes « réalistes », notamment la vue depuis le train, rendent
    mieux que ne pourrait le faire aucun film le sentiment réel d'une telle
    situation : sensation d'éloignement, de profondeur, de départ, il y autre
    chose que la représentation picturale, c'est vraiment de l'art.

    La structure narrative elle-même est très dynamique, on ne s'ennuie pas
    au milieu des personnages étonnants (et pourtant si familiers) dont le
    nombre important n'apporte cependant aucune confusion. Et comme si la
    densité de l'histoire ne suffisait pas à capter l'intérêt du spectateur,
    d'innombrables touches d'un humour subtil mais irrésistible viennent sans
    arrêt relever le récit.

    Juste un mot sur la bande-son : les bruitages sont parfaits, par exemple
    celui des boules de suie, et la musique d'Hisaishi, si elle n'est pas
    d'une originalité flagrante, participe au même titre que les merveilleuses
    couleurs à l'atmosphère du film.

    Tout cela pourrait n'être qu'une jolie coquille un peu creuse mais déjà
    passionnante. Il n'en est rien, et le film affiche avec une clarté
    déconcertante son discours sur ce qui fait l'homme dans une société rongée
    par le matérialisme, sur les dangers qui le guettent, la démission,
    l'abrutissement, la fusion avec le système, la déshumanisation opérée par
    ce système inhumain. La métaphore est d'ailleurs claire dès le départ, et
    il est passionnant de suivre en toute conscience le développement du
    propos.

    Pour finir sur une note de subjectivité, je range le Voyage de Chihiro
    au panthéon de mes, disons, 5 films préférés.

    Bref, un pur chef d'oeuvre.

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  8. À mon avis, c'est la feuille de match…

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  9. Et quel est donc ce sport qui se joue en culotte et soutien-gorge?
    Voilà qui devient intéressant.

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  10. Avec toutes ces Asiates à poil, on se croirait chez Roland Jaccard.

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  11. Aristide, a priori du "lingerie football".

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  12. Aristide, si vous ne connaissez pas la lingerie football: http://www.dailymotion.com/video/xgmkg9_lingerie-football-league_sport

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  13. Nicolas, c'est mon filleul qui vit au Japon et est venu nous présenter son amie. C'est lui l'immigré…

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  14. Vous avez un immigré dans la famille. De mieux en mieux. La carrière de réac de Didier va toucher à sa fin.

    Il n'a plus qu'à s'inscrire au Front de Gauche et à bloguer sous pseudonyme. Gauche de Con Bas, lui irait bien, tiens !

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  15. Adrien n'est pas un immigré mais un émigré – nuance…

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  16. Oui, mais au Japon, c'est un immigré. Et là-bas, ils choisissent les meilleurs…

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  17. Pour en avoir vu pas mal lors des petits dej de l'hôtel, en effet, ce sont de vraies ogres, la hantise des femmes de chambre qui doivent sans cesse réapprovisionner le buffet !

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  18. Les japonaises sont en générales des femmes exquises.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.