jeudi 19 octobre 2017

Enfin quelqu'un qui ne se moque pas du monde…

Danielle D., 1er mai 1917 – 17 octobre 2017.

Une centenaire sérieuse, comme on les aime : 
ni pas assez, ni trop d'années.

9 commentaires:

  1. Agaçant,à partir d'un certain âge, cet harcèlement sépulcral de toutes ces belles femmes qu'on a connues toute sa vie - pour peu qu'on soit un peu cinéphile- et qui s'en vont en ayant l'air de vous dire "Alors, tu viens, chéri ?"

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  2. Splendide cravate, avec toutefois un léger négligé au noeud. Dommage, tout notaire vous le confirmerait.

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  3. Dans sa petite Simca, la jeune avocate traverse Paris et chante à tue tête (mais juste et savamment) pour rejoindre la cellule de son premier client - croit-elle. C'est dans Un mauvais garçon, un film roublard et souriant tout de même. Elle y était adorable.

    Le cinéma français n'a pas suscité beaucoup d'actrices de ce calibre. Il me semble même qu'elle fut seule dans sa catégorie.

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  4. Weinstein débutait à cette époque et il se contentait encore d'une cravate.

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  5. Une centenaire qu'on regrette de ne pas avoir connue jeune. Quelle classe!

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  6. Une autre vénérable vieille dame ne passera pas le cap des cent un ans : la Maison Rigo, un bel hôtel particulier bâti en style néo-mosan, dont la destruction ordonnée par les autorités communales de Liège paraît aussi injustifiable qu'inéluctable.
    (Cf. mon blogue.)

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    1. "(Cf. mon blogue.)"

      C'était la coupure publicitaire ?

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    2. Ben oui, mais c'est de la publicité pour la bonne cause. J'aurais eu quelque scrupule à faire de la publicité s'il n'y avait pas eu un intérêt plus important en jeu.

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  7. Jolies dates, le placophile que je suis, aussi, apprécie.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.