Agaçant,à partir d'un certain âge, cet harcèlement sépulcral de toutes ces belles femmes qu'on a connues toute sa vie - pour peu qu'on soit un peu cinéphile- et qui s'en vont en ayant l'air de vous dire "Alors, tu viens, chéri ?"
Dans sa petite Simca, la jeune avocate traverse Paris et chante à tue tête (mais juste et savamment) pour rejoindre la cellule de son premier client - croit-elle. C'est dans Un mauvais garçon, un film roublard et souriant tout de même. Elle y était adorable.
Le cinéma français n'a pas suscité beaucoup d'actrices de ce calibre. Il me semble même qu'elle fut seule dans sa catégorie.
Une autre vénérable vieille dame ne passera pas le cap des cent un ans : la Maison Rigo, un bel hôtel particulier bâti en style néo-mosan, dont la destruction ordonnée par les autorités communales de Liège paraît aussi injustifiable qu'inéluctable. (Cf. mon blogue.)
Ben oui, mais c'est de la publicité pour la bonne cause. J'aurais eu quelque scrupule à faire de la publicité s'il n'y avait pas eu un intérêt plus important en jeu.
Agaçant,à partir d'un certain âge, cet harcèlement sépulcral de toutes ces belles femmes qu'on a connues toute sa vie - pour peu qu'on soit un peu cinéphile- et qui s'en vont en ayant l'air de vous dire "Alors, tu viens, chéri ?"
RépondreSupprimerSplendide cravate, avec toutefois un léger négligé au noeud. Dommage, tout notaire vous le confirmerait.
RépondreSupprimerDans sa petite Simca, la jeune avocate traverse Paris et chante à tue tête (mais juste et savamment) pour rejoindre la cellule de son premier client - croit-elle. C'est dans Un mauvais garçon, un film roublard et souriant tout de même. Elle y était adorable.
RépondreSupprimerLe cinéma français n'a pas suscité beaucoup d'actrices de ce calibre. Il me semble même qu'elle fut seule dans sa catégorie.
Weinstein débutait à cette époque et il se contentait encore d'une cravate.
RépondreSupprimerUne centenaire qu'on regrette de ne pas avoir connue jeune. Quelle classe!
RépondreSupprimerUne autre vénérable vieille dame ne passera pas le cap des cent un ans : la Maison Rigo, un bel hôtel particulier bâti en style néo-mosan, dont la destruction ordonnée par les autorités communales de Liège paraît aussi injustifiable qu'inéluctable.
RépondreSupprimer(Cf. mon blogue.)
"(Cf. mon blogue.)"
SupprimerC'était la coupure publicitaire ?
Ben oui, mais c'est de la publicité pour la bonne cause. J'aurais eu quelque scrupule à faire de la publicité s'il n'y avait pas eu un intérêt plus important en jeu.
SupprimerJolies dates, le placophile que je suis, aussi, apprécie.
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