Non, rien… c'est seulement que j'en avais un peu assez de tomber sur le râtelier jaunissant de Son Éminence Lévy (je sais, ça sonne bizarre ; presque aporétique…), chaque fois que j'ouvrais ce blog. Il fallait tourner la page… Mais, comme je n'ai, malgré d'intenses efforts cérébraux, trouvé d'inspiration pour vous écrire le moindre poulet, laissez-moi, en guise d'amuse-esprit temporaire, vous proposer ce petit Poussin.
Joli Poussin vu du Plessis, cependant. Et délicate attention.
RépondreSupprimerNicolas Poussin
RépondreSupprimerPaysage avec Orphée et Eurydice (1650-1653)
Musée du Louvre, aile Richelieu
Huile sur toile, 124 x 200 cm, collection de Louis XIV.
(…) Réflexion sur la présence soudaine et inattendue de la mort, Poussin, je cite Diderot, « jette au milieu d’une scène champêtre l’épouvante et l’effroi ».
Épouvante et effroi que l’on retrouve dans le Paysage avec Orphée et Eurydice, au sujet comparable : l’apparition brutale, imprévue et irrationnelle de la mort dans une nature idyllique. Alors qu’Orphée célèbre ses noces au son de la lyre, Eurydice, qui cueillait des fleurs, est piquée par un serpent et pousse un cri. Un pêcheur étonné se retourne. Orphée, imperturbable, n’a rien vu, n’a rien entendu…
La bande son.
RépondreSupprimerJe comprends, ce Lévy c'était un vrai pousse-au-crime ;)
RépondreSupprimer"Râtelier jaunissant", qui plus est, mis en valeur par le blanc immaculé de sa chemise ! Vous avez bien fait de tourner la page.
RépondreSupprimerExquise harmonie consolatrice en ce mois de janvier sibérien, noyé sous les particules fines de la pollution...
RépondreSupprimerVotre jeu de mots m'a fait sourire, c'est déjà ça ! à défaut d'inspiration, donnez de vos nouvelles : Catherine va bien ?
RépondreSupprimerUn mot au sujet de Breaking bad, peut-être?
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