mardi 1 décembre 2020

Dûment Dumas

 

On n'a pas mal ferraillé, au Plessis, en novembre


37 commentaires:

  1. Je viens de vois que ça fait 10 ans que vous publiez ce journal (le premier numéro a été publié début décembre 2009 mais portait sur une période débutant fin juillet). Ca s'arrose !

    (Pour être honnête, je dois avouer que je cherchais quand vous aviez publié pour la première fois des commentaires sur mon blog : ma recherche a été rapide).

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    1. Et elle a donné quoi, votre recherche ?

      Pour le journal, cela ferait plutôt 11 ans, non ? On aurait dû arroser l'année dernière…

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    2. Dès le premier mois.

      A oui, tiens ! Onze ans... J'ai tendance à oublier 2020...

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    3. Dès le premier mois de quoi ? De votre blog ? C'est impossible : quand vous l'avez ouvert, je ne savais même pas que les blogs existaient ! Ou dès le premier mois du mien, en février 2007 ?

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    4. Dès le premier mois du journal.

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    5. Ah, je viens enfin de comprendre ce que vous disiez : vous parlez de commentaires fait par moi, dans MON journal, à propos de VOTRE blog. Votre phrase étant ambiguë (ce qui est bien son droit), j'avais d'abord compris que vous recherchiez le premier commentaire laissé par moi sur votre blog…

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  2. Ma remarque n'était nullement machiste, elle était dynastique…

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  3. Pour la chanson de Sheila, cela aurait pu être pire, une de Aya Nakamura, entendue dès le matin.
    Pour les timbres de Noël, vous pouvez suggérer à Madame Catherine de les créer elle elle-même, cela est possible sur le site de La Poste.

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    1. Je transmets (bien qu'à mon avis elle doive déjà le savoir…).

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    2. Impossible, d après ce que j’ai compris, pour l’étranger.

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    3. Ah zut j’ai oublié de signer : Catherine

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    4. C'est possible, il n'y a pas de restriction (mais c'est un peu chiant).

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  4. Il est vrai que pour l'étrangèr, les timbres de collection ne peuvent être utilisés, si vous n'êtes pas pressé, je reprends le travail ( isolement terminé), je demanderai à un collègue guichetier.

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    1. C’est gentil. Rien d’urgent, mon courrier pour l’étranger est parti. Mais pour la prochaine fois. Merci, Catherine

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  5. 2 remarques :

    1- Claude François a réussi à faire adapter sa chanson Comme d' Habitude par Franck Sinatra (My way). C'est de la guimauve, mais je crois bien que c'est un cas unique d'adaptation France =>USA et non l'inverse;

    2- Je suis surpris de vous voir plonger dans cette opération de marketing que sont les séries : un choix vous amène à 5 à 7 soirées de fidélisation à une chaîne, alors qu'un film, ce n'est qu'une soirée. Et comme il y a lieu d'être inquiet sur l'avenir des salles de cinéma, compte tenu des inconnues sur l'avenir de la Covid et des vaccins, on peut se demander si on n'assiste pas à la fin de ce produit assez original qu'est un film.

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    1. Vous racontez doublement n'importe quoi :

      1) Et les Feuilles mortes de Prévert ? Et La Mer de Trenet ? Et le Que reste-t-il de nos amours ? du même ? Et la Vie en rose de Piaf ? Et le Et maintenant de Bécaud (repris lui aussi par Sinatra ? Et je ne cite que les premiers qui me viennent à l'esprit immédiatement.

      2) En quoi une série est-elle davantage un produit de marketing qu'un film ? Elles ne me "fidélisent à rien du tout, puisque je ne reçois aucune chaîne de télévision. Et il y a déjà un certain nombre d'années que l'originalité et l'audace se trouvent bien davantage du côté des meilleures séries que des films (beaucoup de séries HBO par exemple). Quant aux salles de cinéma, je n'y ai pas mis un orteil depuis 1991 ou 92 : c'est vous dire si, de leur avenir, peu me chaut !

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    2. J'ignorais pour le point 1.

      Pour le 2;


      - une série vous fidélise à un distributeur ( Netflix, Disney ou autres), ou, si c'est sur une chaîne ( où les séries sd multiplient) et qu' elle vous plait,à plusieurs soirées, d'où montée de son Audimat;

      - je conçois qu'il n'y ait pas de salles de cinéma à Pacy-sur-Eure, mais un film sur grand écran et dans une salle où il faut rester silencieux, ne pas se lever pour aller pisser ni répondre au téléphone, et sans coupures publicitaires, c'est quand même autre chose qu'un film à la télé, fût-ce sur grand écran.( mais,évidemment, je vous accorde qu'on ne peut pas fumer) De plus,la télé, quel que soit l'intérêt de ce que l'on y regarde, a un indéniable effet soporifique.
      Évidemment, on peut toujours regarder Autant en Emporte le Vent sur son smartphone dans le métro...

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    3. Oh, le silence dans les salles est tout relatif, si j'en crois mes souvenirs ! D'autre part, il n'y a aucune coupure de publicité sur Netflix… et encore moins dans les DVD qu'il nous arrive d'acheter. Enfin, je ne réponds jamais au téléphone, et je suis bien heureux de pouvoir "mettre sur pause" quand j'ai envie d'aller pisser au milieu du film !

      Mais bon : je conçois fort bien que l'on préfère le "vrai" cinéma…

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  6. Je suis allé lire l'article consacré à Camus. C'est un bel exercice d'hagiographie. J'ai failli en rire, mais c'est presque touchant aussi.

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    1. Apparemment, Camus l'a trouvé très bien. Donc, tout est pour le mieux. Je maintiens, moi, que ce genre d'outrance est radicalement contre-productif, comme on dit en jargon. Mais je me trompe peut-être…

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    2. Mais, je pense bien, que ça a dû lui plaire, à Camus : il est humain, cet homme ! Moi-même, si mes louanges m'étaient chantées, j'y prendrais un plaisir extrême. Du reste, vous avez raison, c'est bien le seul intérêt que je vois à la chose : personne d'hostile ou même de neutre à l'égard de Camus ne sera acquis à sa cause par la lecture de ce panégyrique.

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    3. C'est-à-dire qu"il faudrait a avoir lu Camus auparavant... Mais je me demande souvent si le succès de certains auteurs ne vient pas seulement d'une formule heureuse qui résume leur oeuvre et rend inutile sa lecture : Le Grand Remplacement,Il faut imaginer Sisyphe heureux, Je suis Mme Bovary, etc.: tout est dit !

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    4. D'abord, Monsieur Arié, parler de "succès" au sujet de l'œuvre de Camus me paraît un tantinet exagéré. Ensuite, quasiment toute son œuvre – et elle est considérable – était écrite avant qu'il ne forge son concept de "grand remplacement".

      Enfin, il est hautement probable que Flaubert n'ait jamais prononcé la phrase qu'on se plaît à lui attribuer.

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  7. Prêter le flan ? Si Atlantico a oublié un t, vous avez oublié un c !
    C'est curieux cette ignorance de la place de la particule pour un historien tout de même ; il a bien dû lire ses confrères ?

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    1. Ma gourmandise m'a enduit avec de l'erreur !

      Sinon, ses confrères historiens sont à peine moins erratiques que lui, pour ce qui concerne la particule…

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  8. Et moi je ne savais pas qu'on pouvait tondre les feuilles mortes (qu'on ramasse à la pelle et que mon père jouait au piano quand ma grand-mère me glissait à l'oreille : va demander les feuilles mortes à papa)

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    1. On les broie plus qu'on ne les tond. Ce qui les incite à disparaître beaucoup plus vite. Mais, évidemment, le résultat n'est pas très esthétique…

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    2. Tirez les premiers, Messieurs les Angrais !

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  9. Comme votre chien Charlus, je viens d'avoir la satisfaction intellectuelle de comprendre à peu près tout ce que vous racontez dans votre journal de novembre (malgré mes grosses lacunes en Histoire Géo, Littérature etc...), ce qui m'encourage à laisser ce commentaire anonyme que je n'oublie pas de signer :
    Bibi (c'était le nom de mon chien)

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    1. Vous avez bien de la chance d'avoir tout compris : moi, me relisant, je n'en suis pas tout à fait sûr…

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  10. À la lecture:
    "Je reste tout à fait étonné que l'on s'obstine à parler des “caricatures” de Mahomet : comment pourrait-on dessiner la caricature de quelqu'un dont on ignore absolument le visage ? Les gens emploient des mots dont ils ignorent totalement le sens, simplement parce qu'il est venu frapper leur oreille par hasard. Non seulement “les gens”, chez qui ce serait excusable, mais les journalistes, les politiciens, etc., c'est-à-dire des individus qui sont plus ou moins censés savoir ce qu'ils disent (oui, je sais : moi aussi, en l'écrivant, ça m'a fait rire…)."
    les caricatures, m'en fous, mais c'est plutôt la question de la représentation...car Mahomet, en tant que tel (le prénom, le nom), est déjà une représentation de Mahomet (l'homme, le prophète...), lorsqu'on dit ou écrit Mahomet, c'est une représentation de l'homme (on ne sort Mahomet de sa poche pour le présenter) et non une présentation, c'est un peu comme le fameux ceci n'est pas une Pipe de Magritte, évidemment ce n'est pas une pipe qui se fume mais une représentation de la pipe, or idem écrire ou dire Mahomet est une représentation du prophèt, donc déjà une contravention à l'interdiction de la représentation...

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  11. Vendredi 27 novembre sur l'article de François Bousquet à propos du Nième procès de Renaud Camus, vous critiquez sans oser le faire la comparaison avec le seppuku de Mishima.
    Il y a pourtant des points communs entre eux. J'en vois trois. Pour le reste, je n'ai pas lu l'article en question.

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  12. " Mis en suspension toutes mes lecteurs frondeuses"
    En tant qu'un des douze fidèles lecteurs de votre journal (dont la livraison de novembre m'a bien plu) je m'avoue choqué par ce passage. En effet, il est triste de se voir féminisé comme tarlouze et attaché à votre suspension avant de se voir traité de "frondeuse".

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    1. Ouarf ! Celle-là, c'en est une belle !

      Cela dit, vous auriez pu m'indiquer la date de la bévue, ça m'aurait éviter de me retaper tout le pensum pour l'aller corriger…

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    2. Bon, ça va : j'ai trouvé tout de suite…

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.