lundi 21 décembre 2020

Renversement du domaine muselier

 

Lorsqu'un humain et son chien déambulent par les rues de la ville, il est désormais bien facile de discerner lequel des deux est l'animal : c'est celui qui ne porte pas de muselière.

16 commentaires:

  1. joli staff. je ne ferai aucun commentaire sur cette joggeuse. allez si. la montre est un signe qu'elle gère son temps. Et la brassière qu'elle se veut sportive bien qu'elle soit au pas. Et directive, elle tient son canis court. En final c'est une prudente, elle a mis un gilet fluo pour que les chasseurs ne la confondent pas avec diane. joyeuses fêtes tiens, en parlant de biches.

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  2. Dans ce cas, ce n'est pas l'humain et son chien mais le chien et son humain, non ?

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    1. C'est une question débattue depuis la plus haute antiquité. Et la réponse tarde à venir !

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  3. Et là je me demande si ce billet va générer plus de commentaires que l'autre histoire de thon. Ou était-ce du maquereau ?
    Ben v'là que j'ai pu ma tête.

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  4. Est-ce que le clebs a une attestation l'autorisant à promener sa maîtresse ?

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  5. Au contraire, c'est dans l'ordre des choses, les humains sont bien plus méchants !

    Bibi

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  6. Ce magnifique chien bien coiffé, le pelage brillant, l’air vif et belle allure promène son amie humaine, duement muselée, car ses lieux de vie sont de plus en plus malsains, jusqu’à ce qu’un jour peut être, son espèce jadis si flamboyante, disparaisse de la surface du globe.
    Ainsi parlait Zarathoustra ... ou pas
    Hélène

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    1. Ensuite, les chiens se demanderont si les hommes ont réellement existé ou si ce n'est qu'une légende, comme dans ce fameux livre.

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    2. Moi, j'aime bien "Le Pêcheur" du même Clifford ...

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    3. Moi pas connaître… Il est vrai que la science-fiction n'est pas mon domaine d'élection.

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    4. Ce "fameux livre" découvert lorsque j'étais en 5éme il me semble, et toujours relu avec grand plaisir. Du coup vais laisser Littel de côté et essayer de remettre la main sur mes cabots.

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    5. De quel Littel parlez-vous ? J'espère pour vous que vous n'êtes pas en train de perdre votre temps à lire l'énorme et pâteux roman du dénommé Jonathan, sur lequel tout le monde s'extasiait il y a quelques années, y compris les jurés du Goncourt. Ce qui m'avait conduit à gâcher quelques heures de ma vie, celles que j'ai employées à lire cette grosse bouse informe.

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    6. Ben si ! Et je me trouve fort bien de retourner chez Simak. Je ne suis pas si lettré que je puisse m'autoriser ne serait-ce que l'esquisse d'une critique mais j'avoue que je suis un peu fatigué de ce bouquin. Un détail m'insupporte au possible : l'exercice intellectuel auquel je m'astreins en permanence avec les équivalences entre grades allemands et français. J'en perds le peu de latin qui me reste. C'est dire.

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    7. Ce roman est excessivement mauvais : abandonnez-le sans remords aucun. L'auteur s'est noyé dans sa documentation et tombe dans tous les pièges du mauvais roman "historique".

      Le succès phénoménal de cette daube a été pour moi, à l'époque, un profond sujet d'étonnement.

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  7. Apres " demain les chats"; peut-être "demain les chiens".

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.