samedi 1 mars 2025

Si Versailles m'était Condé

 


J'en ai enterré, du beau et grand monde, en février !

19 commentaires:

  1. Si je ne pas dire à la VP que vous racontez des blagues machistes, je vais lui dire que vous achetez du pain bio.

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  2. Bon courage pour le scanner. Je suis passé par là il y a peu, c'est assez flippant... Surtout au moment où l'on reçoit le produit de contraste. Mais ça fait de belles images ! 😀

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    1. Bof... des scanners, à l'époque de mon opération du rein, j'ai dû en passer une douzaine. Donc : pure routine...

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  3. En tout cas, voilà qui me donne la furieuse envie d'un aller-retour en jet privé à Los Angeles pour en rapporter des malles entières de fringues neuves et inutiles. Et, bien sûr, en me tapant deux T-Bones steaks, à l'aller et deux autres au retour.
    Chiche ! Mais je préférerais New York.
    Moi

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    1. Pense à rapporter le gras des T-Bones pour Charlus...

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  4. A propos de la douleur thoracique et à l’épaule droite, j’ai vécu la même chose et c’était pas marrant.
    En fait c’était un problème de vésicule biliaire.
    Mille scanners plutôt que ces douleurs !
    Hélène

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    1. Ma toubibesse a émis en effet l'hypothèse "vésicule". Y a plus qu'à attendre le verdict de M. Scanner.

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    2. En attendant ne vous faites pas trop de bile...

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  5. J’ai dû faire un ou deux tours au petit pois dans ma désormais bien vide caboche, pour comprendre votre mot himmel dont mes sept années d'études de la langue de Goethe ne me disait rien et que google lui, traduit par 'paradis' .Avant de revenir à ma maîtrise étendue et reconnue de la phonétique, pour comprendre le clin d’oeil au : repousser les slaves à l'est.
    En parlant de paradis nationaliste, ce nouveau mouvement si tendance, la mode étant un éternel recommencement, j'aurai mieux fait d'apprendre le russe qui vient de vassaliser avec brio les states. Ce Poutine dont la ville de saint Pétersbourg m'a tant tourneboulé est LE tsar qui fera certainement de l’ombre à pierre le grand, wait and see.
    Sinon, bon courage pour la pure routine .

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    1. Pour un scanner, nul besoin de courage : une solide patience y suffit...

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    2. Vous avez raison de noter que ce mois de février est mieux que le précédent.
      Ou plutôt les sujets abordés sont plus à ma convenance.
      J'ai bien ri, comme d'habitude, et vos évocations de lectures m'ont bien intéressée, car moi aussi je me demandais si je n'allais pas me procurer une bio de ce "grand" Condé.

      Vous dites Barbey d'Aurevilly pas si extraordinaire, et c'est peut-être vrai, même si j'ai une forte prédilection pour lui (le fait de vivre à Valognes y est pour beaucoup) mais si vous tombez dessus, je vous recommande ses Memoranda.
      Des notes prises au jour le jour durant quelques périodes de sa vie et qui sont trop marrantes.
      On y apprend qu'il faisait venir son coiffeur pratiquement tous les jours pour boucler sa "chevelure rebelle" et qu'il avait l'habitude de boire le soir au coucher, un verre d'eau de Cologne avec parfois un peu de sucre, pour se calmer !
      Merci encore pour ce Journal, j'en raffole !

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    3. Tss ! vous m'avez lu trop vite : j'ai dit que je trouvais ce journal plus INintéressant que d'habitude...

      Pour Barbey, je connais des lecteurs — mon ami Desgranges notamment — qui le placent très haut. Mais je persiste dans mon dénigrement !

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  6. Cretinus Alpestris1 mars 2025 à 17:30

    Un moyen simple de régler le problème d'ambivalence de vos ouvrages en bibliothèque : placez simplement dans votre rayon "gastronomie" un carton au format A5 où il est écrit "Le Festin se trouve au rayon Revel".

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    1. Voilà qui demanderait un cerveau plus puissamment organisé que le mien…

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  7. Avec tout ça j’ai oublié de vous féliciter pour ce joli jeu de mot. Sacha en serait tout aise.
    Hélène

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  8. Sur la rencontre de Voltaire et de Talleyrand en 1778, vous écrivez : « une sorte de passage de témoin entre deux esprits supérieurs »
    Bien vu.
    Mais à mon humble avis, ce fut bien plus que ça : ce fut une transmission entre deux époques, entre deux « siècles » (si cette mesure veut dire grand-chose aujourd’hui où l’on peine encore à passer au vingtième).

    « Une haquenée juvénile » : excellent !
    Moi, qui bien avant d’avoir de l’acnée aimait jouer aux Lego et avec les mots, je vous félicite. Le problème sera de placer ce truc dans une conversation : ça risque d’être épique — voir hippique, œuf course…

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    1. À propos des deux époques, il me semble me rappeler que j'en parle quelques jours après (ou avant...).

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