Sourire de surprise et de connivence en lisant l'entrée de mardi 29 sur le film de Franju ! Épatée aussi par la coïncidence/synchronicité : ce mois de juin a été pour moi celui de la séparation d'avec notre lieu de villégiature de 22 ans : un petit appartement dans le grand château de La Bretesche (devenu vers 1960 une vulgaire copropriété...), vendu, vidé, mais pas encore oublié. L’inénarrable navet de Franju a été entièrement tourné là-bas. Au moins c'était rigolo de reconnaître des lieux connus comme étant devenus les salons de nos voisins ; rien n'avait été tourné "chez nous" (étage des domestiques ou cousins pauvres). Merci de l'occasion donnée pour ce petit hommage-souvenir !
Bonjour Tilly, durant vos séjours vous avez dû être voisins de l'auteur Jean-François Parot alors, qui signait les "Enquêtes de Nicolas Le Floch, commissaire de police au Châtelet" (Lattès et 10/18), et résidait au château de La Bretesche à l'année je crois. Il est mort il y a trois ans en mai 2018.
Si je fais deux commentaires au sujet du journal du mois, j'ai droit à une prime ?
"On dira ce qu'on voudra : c'est tout de même bien pratique, cette “modération”" : essayez d'expliquer cela à Elie Arié : on ne censure pas, on vire les enquiquineurs malavisés (ça veut dire "casse-couilles", cherchez pas).
Une petite faute pour bien commencER le mois (5ème §). Dimanche 27, 2ème §, hoquet de contentement : "et goûteuse chez chez le premier".
Ce n'est que pour vous faciliter le travail de révision de pré-édition, dans quelques mois.
Atlantico, ils le font exprès ou quoi ?
Je ne sais pas si c'est la même boîte qui recycle les mêmes en porte-savons bariolés vendus dans les magasins "bio", mais ce n'est pas donné à ce prix-là le réemploi pour tenir sa savonnette au sec : 13€ et quelques, pièce ! Un vrai cadeau de Noël...
L'assiette palestinienne - vous m'avez bien fait rire - n'a pas explosé ; Dame Mildred si ? Et sinon c'était bon ?
J'ai lu, par hasard,ce matin, sur Wikipédia, la vie d'Isadora Duncan, puis celle ( moins originale)d'un de ses amants, Sergueï Essenine. Ceci se passait à une époque assez récente, et, pourtant,j'ai l' impression que nous assistons à une mutation de l'humanité bien plus profonde que celle de votre " Grand Remplacement ".
On voit, je crois,de moins en moins de gens, comme les 2 que j'ai cités, qui vont au bout d'eux-mêmes, sans se poser la question du prix à en payer. Aujourd'hui, ce qui me semble primer, c'est au contraire la recherche de la sécurité, et de la routine ( chacun la sienne) que rien ne risquerait de perturber. Impression fausse ?
Sourire de surprise et de connivence en lisant l'entrée de mardi 29 sur le film de Franju !
RépondreSupprimerÉpatée aussi par la coïncidence/synchronicité :
ce mois de juin a été pour moi celui de la séparation d'avec notre lieu de villégiature de 22 ans : un petit appartement dans le grand château de La Bretesche (devenu vers 1960 une vulgaire copropriété...), vendu, vidé, mais pas encore oublié.
L’inénarrable navet de Franju a été entièrement tourné là-bas.
Au moins c'était rigolo de reconnaître des lieux connus comme étant devenus les salons de nos voisins ; rien n'avait été tourné "chez nous" (étage des domestiques ou cousins pauvres).
Merci de l'occasion donnée pour ce petit hommage-souvenir !
En effet, la coïncidence est plaisante !
SupprimerBonjour Tilly, durant vos séjours vous avez dû être voisins de l'auteur Jean-François Parot alors, qui signait les "Enquêtes de Nicolas Le Floch, commissaire de police au Châtelet" (Lattès et 10/18), et résidait au château de La Bretesche à l'année je crois. Il est mort il y a trois ans en mai 2018.
Supprimer"Je trouve déjà fort agaçant l'emploi de “perdu” en place de “mort” quand il s'agit des humains [...]".
RépondreSupprimerJe suis désolé mais le "vous l'avez perdu où ?" est encore plus agaçant : si elle savait où, il ne serait pas perdu.
Pas du tout ! Catherine voulait savoir si elle l'avait perdu en ville, en forêt, dans les champs, etc.
SupprimerElle aurait également pu le perde au poker.
SupprimerOu le perdre de réputation.
SupprimerIl est sûr que, de ce point de vue, je ne suis plus que l'ombre de moi-même…
RépondreSupprimerSi je fais deux commentaires au sujet du journal du mois, j'ai droit à une prime ?
RépondreSupprimer"On dira ce qu'on voudra : c'est tout de même bien pratique, cette “modération”" : essayez d'expliquer cela à Elie Arié : on ne censure pas, on vire les enquiquineurs malavisés (ça veut dire "casse-couilles", cherchez pas).
Je vous mets une bière de côté…
Supprimer"casse-couilles", cherchez pas."
SupprimerQuelqu'un cherche vos couilles pour les casser et ne les trouve pas ? Alors, ce n'est peut-être pas la peine...
@ Didier Goux : comme c'est agréable, de se sentir populaire dans tous les blogs où l'on s'aventure...
SupprimerGolo, "duchesse à tabouret" selon Charlus...
RépondreSupprimerUne petite faute pour bien commencER le mois (5ème §).
Dimanche 27, 2ème §, hoquet de contentement : "et goûteuse chez chez le premier".
Ce n'est que pour vous faciliter le travail de révision de pré-édition, dans quelques mois.
Atlantico, ils le font exprès ou quoi ?
Je ne sais pas si c'est la même boîte qui recycle les mêmes en porte-savons bariolés vendus dans les magasins "bio", mais ce n'est pas donné à ce prix-là le réemploi pour tenir sa savonnette au sec : 13€ et quelques, pièce ! Un vrai cadeau de Noël...
L'assiette palestinienne - vous m'avez bien fait rire - n'a pas explosé ; Dame Mildred si ? Et sinon c'était bon ?
On a "perdu" Mildred malheureusement .
RépondreSupprimerJean-Balkacem
Après la lecture de votre journal du mois.
RépondreSupprimerJ'ai lu, par hasard,ce matin, sur Wikipédia, la vie d'Isadora Duncan, puis celle ( moins originale)d'un de ses amants, Sergueï Essenine.
Ceci se passait à une époque assez récente, et, pourtant,j'ai l' impression que nous assistons à une mutation de l'humanité bien plus profonde que celle de votre " Grand Remplacement ".
On voit, je crois,de moins en moins de gens, comme les 2 que j'ai cités, qui vont au bout d'eux-mêmes, sans se poser la question du prix à en payer. Aujourd'hui, ce qui me semble primer, c'est au contraire la recherche de la sécurité, et de la routine ( chacun la sienne) que rien ne risquerait de perturber.
Impression fausse ?
En tout cas, ce ne sont pas des flèches, vos poneys : voilà bien une semaine que je les ai sifflés et ils ne sont toujours pas là…
RépondreSupprimer( très connu) De Fontenelle, mort à 99 ans et 11 mois,à quelqu'un qui lui demandait " Comment cela va-t-il ?" : " Cela ne va pas, cela s'en va".
RépondreSupprimerMais bien sûr que la vie a un sens, un sens unique hélas.
RépondreSupprimerA part ça, un frère aux cheveux longs vous rend tout à coup plus accessible.
Hélène
Est ce que bibi veut ajouter quelque chose ou bien peut on fermer le ban ?
RépondreSupprimerLe suspense est à son comble…
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