« Guerre en Ukraine : des bébés nés par GPA attendent leurs parents dans un abri anti-aérien de Kiev. »
J'imagine que les dits parents, qu'ils soient 1 ou 2, genrés, dégenrés voire regenrés de frais, ne doivent pas
être très pressés d'aller les chercher dans cette un peu trop bruyante couveuse. Ils le seraient encore moins, d'ailleurs, tous ces sauveurs de planète et de climat, si on leur représentait l'énormité de leur empreinte carbone quand ils iront chercher leur commande en avion, au lieu de l'avoir bricolée à la maison, comme il se pratiquait couramment en des temps fort anciens.
J'ai tout de même une pensée un peu émue pour ces petits humains qui auront connu leur baptême du feu avant leur baptême tout court. Bien que, comparé à ce qui les attend sûrement, ce ne soit là que petite bière, simples hors-d'œuvre.
Ou, si l'on préfère : zakouskis.
La GPA étant de l'exploitation du corps de la femme pour des raisons financière, c'est un truc purement libéral que j'aurais du mal à qualifier de progressiste. J'intervenais en tant que progressiste exclusif fréquentant ce blog.
RépondreSupprimerCela étant, je m'en fous totalement du moment que l'abri anti-aérien est bien bâti sur des normes environnementales correctes avec une bonne isolation en respectant HSE ou HRE ou l'autre machin dont j'a oublié le nom.
Oui, enfin, en général, les partisans de la GPA ne se recrutent guère chez les cathos tradis…
SupprimerCela dit, personnellement, étant pour que les femmes fassent ce qu'elles veulent de leurs organes, je suis tout à fait en faveur de la GPA. Ainsi que de la prostitution, histoire de rester cohérent avec moi-même.
À propos des cathos tradis, il devraient peut-être balayer de temps en temps devant leur porte, car (Genèse 30):
Supprimer"-Lorsque Rachel vit qu’elle ne donnait point d’enfants à Jacob, elle porta envie à sa sœur, et elle dit à Jacob : Donne-moi des enfants, ou je meurs !
-La colère de Jacob s’enflamma contre Rachel, et il dit : Suis-je à la place de Dieu, qui t’empêche d’être féconde ?
-Elle dit : Voici ma servante Bilha ; va vers elle ; qu’elle enfante sur mes genoux, et que par elle j'aie aussi des fils."
Comment on dit déjà? Ah oui: "émoji-se-rouler-par-terre-de-rire".
Eh bien, je laisse aux cathos tradis, si d'aventure il en passe par ici, la charge de vous répondre. Et je sens que ça ne va pas leur être facile !
SupprimerC’est sûr que des Cathos tradi il y en a à tous les coins de rue, d’ailleurs ils s’expriment en latin, c’est même à ça qu’on les reconnaît. Vade retro satanas, in vino veritas, veni vide vici, avé Caesar morituri te salutant, zut, je suis démasquée ! 🙂
SupprimerHélène
Mais c'est justement le contexte qui fait tout ! On appelle cela de l'ironie, je crois…
RépondreSupprimerUn futur bourgeois, possédant et cynique, n'en doutons pas.
RépondreSupprimerPourquoi croyez-vous que j'ai introduit les dragées ici ?
RépondreSupprimerPour Pierre Bergé, ça me désole aussi, mais je ne vais pas changer d'avis à cause de ce vieux con mort. De toute façon, il en va de la GPA comme de toutes les innovations "techniques" : si c'est faisable, ce sera fait ; et nul ne pourra s'y opposer.
Bah il faut bien satisfaire ces pau’v parents orphelins d’enfants, quoi m ... !
RépondreSupprimerSi ces bébés étaient un peu responsables, ils penseraient à eux au lieu d’avoir peur des bombes.
Des fois je me demande pourquoi Didier Goux pense à l’envers.
Il va falloir lui apprendre l’humanisme et le woke (pour les légumes sautés, délicieux.)
Hélène
Catherine cuisinait beaucoup au woke, fut un temps…
SupprimerJe crois que la GPA s'est pratiquée de tous temps, bien avant l'invention des fivettes, par insémination "naturelle" d'une fille ayant besoin de sous.
RépondreSupprimer( Je vois venir le jour où personne ne comprendra l'expression "insémination naturelle", même pas les écolos ).
Il est bien connu que la GPA remonte à la plus haute Antiquité : voir le commentaire de M. Brunet.
SupprimerJe n'ai pas lu une seule fois le mot tapette. Mais qu'est-ce qui vous arrive ?
RépondreSupprimerC'est bien normal puisque ce mot n'a jamais fait partie de mon vocabulaire : je me contente ordinairement du bon vieux "pédé", qui a fait ses preuves…
SupprimerEt pourtant, pédé renvoie à pédérastie = l'attirance sexuelle pour les jeues garçons, à ne pas confondre ni avec homosexualité ( attirance pour les adultes du même sexe), ni avec pédophilie(attirance pour les jeunes des 2 sexes).
SupprimerCe serait bien si vous arrêtiez, de temps en temps, de jouer les petits profs… surtout pour nous "enseigner" des choses que tout le monde sait déjà.
SupprimerMais, si tout le monde le sait déjà, comment expliquer l'usage généralisé du terme "pédé" dans le sens d' "homosexuel mâle" ?
SupprimerJe sais : j'ai lu tous les San-Antonio…
RépondreSupprimerCe problème est le cas typique de sujet clivant dont raffolent les abjects et malsains politiciens, et les avocats cupides et limités.
RépondreSupprimerIl est impossible de faire une loi générale, car il n'y a que des cas particuliers.
Vous pourriez être taxé de raciste à l'exemple de notre (légèrement enrobé ) ami commun de ne pas avoir choisi une illustration piquetée de diversité.
RépondreSupprimerC'est sûrement mon inconscient nauséabond qui a parlé pour moi !
SupprimerLe meilleur film sur le sujet de la GPA reste Rosemary's baby.
RépondreSupprimerMia Farrow joue le rôle d'une gourde intégrale avec un naturel confondant.
Après avoir vu ce film, Woody Allen a décidé de la marier.
Ensuite, la génétique a forcément mal joué et les chats ne font pas des chiens.
Tiens ! je n'avais jamais envisagé le film de Polanski sous cet angle ! C'est assez bien vu.
SupprimerMaupassant a écrit une nouvelle sur le thème de l'adoption dont j'ai vu l'adaptation à la télévision, du temps où il y avait de bonnes fictions.
RépondreSupprimerUn riche couple stérile cherche à adopter un enfant et visite de pauvres familles paysannes de Normandie. Deux mères de famille ont des attitudes opposées, et on constate que l'enfer est pavé de bonnes intentions.
Une fille de ferme du même Maupassant est une belle histoire sur la stérilité masculine, mais elle finit bien, pour une fois.
Sauf que l'adoption et la GPA ne sont pas tout à fait la même chose… si j'ai bien tout compris à ces histoires qui ne m'intéressent en rien !
SupprimerÉtonnant, que le bouleversement du monde auquel nous assistons ( et dont les modifications des formes de maternité/paternité font partie et iront très vite) ne vous intéresse pas... Pourtant, avec les amis Xijipeng et Poutine ( entre autres), la guerre des civilisations de Huttington à rendu bien naïve la fin de l'Histoire de Fukuyama !
SupprimerIl est vrai qu'on s'intéresse beaucoup moins aux histoires dont on ne connaîtra pas la suite...
Zakouski... C'est comme cela que nous appelaient certains de nos professeurs, ma sœur et moi, eu égard à notre nom de famille un peu compliqué à prononcer. Associer des personnes d'origine polonaise à un hors d’œuvre russe à l’insu de leur plein gré, quelle bassesse !
RépondreSupprimerC'est quoi, cette clope, qui apparaît après votre nom, dans vos commentaires ?
RépondreSupprimerAh, zut : je m'aperçois que c'est déjà ancien, peut-être même depuis le début du blog ? Sans doute y suis-je sensibilisé parce que j'ai arrêté il y a 2 ans ( mais c'était trop tard...)
Supprimer( suite) Votre cardiologue est au courant ?
RépondreSupprimerObligée de venir prendre l'air sur le blog de Didier Goux, tellement c'est devenu irrespirable sur les blogs que j'aimais. Hameçonnée, il y a peu, par le terme "claquemurage" qui m'a amusée pendant des semaines, j'ai mieux supporté les automates qui défilent dans le métro avec leur filtre à café ridicule sur le museau. Alors, à chaque coup de cafard, je repense à cet hilarant néologisme lu ici et le moral revient. Voilà, c'est dit. Je vous autorise à vous payer ma tronche.
RépondreSupprimerL'image du filtre à café me réjouit à mon tour ! Nous voilà donc à un partout…
SupprimerIl y aura des blagues dans votre journal du 1er avril ?
RépondreSupprimerS'il y en a une, alors elle est d'un goût extrêmement douteux…
SupprimerVous devriez changer de petit doigt.
SupprimerTout ce que je peux vous dire, c'est qu'il sera… disons : inhabituel.
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