L'autre matin, sur son blog, le Professeur Cingal affirmait assez péremptoirement, en tout cas un peu vite, que le terme “islamogauchiste” ne correspondait à aucune réalité identifiable, que c'était un non sens. Je suis bien navré de devoir le contredire – et, ce faisant, impressionné de me lever seul contre l'Université tout entière –, mais je dois le proclamer : non seulement le mot recouvre une réalité, parfois même une réalité explosive, mais il est en outre permis d'en donner la définition précise, ce que je fais ici pour la première fois, non sans une certaine émotion :
Un islamogauchiste est un type particulier de communiste
qui milite activement pour l'avènement de
la dictature du proléchariat.
Comme, n'étant pas de gauche, je demeure insensible aux miroitements trompeurs de la richesse, le mot que je viens de créer restera entièrement libre de droits jusqu'à la consommation des siècles.
Y'a pas un t à proléchariat ?
RépondreSupprimerC'est comme pour bistro(t) : au gré de chacun.
SupprimerJ'avais d'abord mis un t, pour ressembler à "prolétariat", puis je me suis dit qu'il était préférable – pour les durs de la comprenette – de mettre plutôt l'accent sur "charia", et donc de supprimer le t.
Mais, sur le sujet, je reste dubitatif…
Finalement, après relecture, j'ai rétabli le t final…
SupprimerUn t acquis de dure lutte !
SupprimerVoire de turlutte…
SupprimerExcellent !
RépondreSupprimerCela dit l'islamogauchiste se recrute plutôt chez ce genre particulier de communistes que sont les trotskistes que les communistes détestent.
Les troskystes ne sont qu'une variante des communistes. Ils ont en commun l'essentielle : leur goût pour la tyrannie.
SupprimerC'est justement ça la différence entre le prolétariat et le proléchariat !
RépondreSupprimeren même temps, le paradis soviet avec les 70 babouchka en récompense....hein ?
RépondreSupprimerExcellent mon cher ; excellent!!!!
RépondreSupprimer