A propos d'expertise, je ne suis pas spécialement d'accord avec vous ce qui n'est pas très grave. Au boulot, par exemple, j'ai de l'expérience et de la compétence mais sur certains points, ça frise l'expertise dans le sens où j'agis en tant qu'expert et pas en tant qu'expérimenté, ce qui fait, d'ailleurs, que ma hiérarchie prendra mon avis pour une expertise.
Pour le reste vous parlez trois fois de moi. Pour la dernière, il y a une parenthèse en trop dans la phrase. Pour la deuxième, cela n'a rien à voir avec un prédiction d'autant que je me plante lamentablement. Je pensais que la confinature aura lieu dans deux semaines alors qu'elle a eu lieu la semaine suivante.
Pour la première (le 23), je me demande comment vous arrivez à de telles conclusions. Nous étions à une époque où le futur reclamurage était déjà évident (il a été annoncé 5 jours plus tard) et je ne fait que dire "avant de confiner, le gouvernement aurait dû patati patata" (notamment sur le télétravail) ce qu'il a fait six jours plus tard.
Une épisode croquignolet de "Cinoche" d'Alphonse Boudard se passe dans la fameuse maison d'Épalinges. L'auteur y brosse un portrait de Simenon (transformé en peintre de renom) pas piquet des hannetons.
C'est amusant: dès le début de votre passage du 4/10 consacré à l'éloge de Jérôme Leroy dans Causeur, j'ai aussitôt pensé à Jean Daniel... retrouvé logiquement en fin de paragraphe. Avouez qu'il aurait été aussi amusant qu'impensable de trouver dans le Nouvel Obs un article du critique littéraire en chef démolissant un bouquin de Jean Daniel.
Difficile de dire du mal des livres des autres alors qu'on espère des retours d'ascenseur quand un petit nombre de gens sont à la fois écrivains ( enfin: auteurs de livres), journalistes, critiques littéraires, directeurs de collections dans des maisons d'édition et réalisateurs d'émissions littéraires à la télévision.
C'est charmant Moulins, un quartier ancien avec des maisons à colombage ! " Il fera jour demain" le mot de passe des "Habits noirs", un feuilleton des années 70 que j'aimais bien ; je devrais essayer le bouquin, à petites doses... Les traducteurs parlent aussi mal que leurs contemporains qui ont inventé la maltraitance, le mal-logement et les femmes qui tombent enceintes
C'est mieux et plus qu'un café : une excellente brasserie, où Catherine et moi avons déjeuné lors de notre unique (à ce jour) passage à Moulins, voilà quelques années.
"ce que je leur reprocherait, c'est d'avoir choisi" ... Je suis un esprit simple ,qui lit lentement , et ne connait pas bien les conjugaisons ... qui plus adore les gags à base de boomerang , "c'est celui qui dit qui fait" ... vous me gâtez
Vous êtes matinal.
RépondreSupprimerA propos d'expertise, je ne suis pas spécialement d'accord avec vous ce qui n'est pas très grave. Au boulot, par exemple, j'ai de l'expérience et de la compétence mais sur certains points, ça frise l'expertise dans le sens où j'agis en tant qu'expert et pas en tant qu'expérimenté, ce qui fait, d'ailleurs, que ma hiérarchie prendra mon avis pour une expertise.
Pour le reste vous parlez trois fois de moi. Pour la dernière, il y a une parenthèse en trop dans la phrase. Pour la deuxième, cela n'a rien à voir avec un prédiction d'autant que je me plante lamentablement. Je pensais que la confinature aura lieu dans deux semaines alors qu'elle a eu lieu la semaine suivante.
Pour la première (le 23), je me demande comment vous arrivez à de telles conclusions. Nous étions à une époque où le futur reclamurage était déjà évident (il a été annoncé 5 jours plus tard) et je ne fait que dire "avant de confiner, le gouvernement aurait dû patati patata" (notamment sur le télétravail) ce qu'il a fait six jours plus tard.
« Pour la première (le 23), je me demande comment vous arrivez à de telles conclusions »
SupprimerSi vous croyez que je m'en souviens !
Ancien Lausannois, je me souviens que Simenon avait logé dans une de ces tours (est-ce la première ou la seconde, je ne sais plus...) :
RépondreSupprimerhttps://www.google.ch/maps/@46.5186068,6.6079424,3a,86.9y,195.36h,115.37t/data=!3m7!1e1!3m5!1sJPp429KVx_u0wmwXKeIzUg!2e0!6s%2F%2Fgeo2.ggpht.com%2Fcbk%3Fpanoid%3DJPp429KVx_u0wmwXKeIzUg%26output%3Dthumbnail%26cb_client%3Dmaps_sv.tactile.gps%26thumb%3D2%26w%3D203%26h%3D100%26yaw%3D90.61834%26pitch%3D0%26thumbfov%3D100!7i13312!8i6656
Avant de finalement emménager à la "Villa Rose" de l'Avenue des Figuiers, bien plus cosy mais avec une vue sur le Léman moins étendue.
Et, avant ça, il y avait eu la monstrueuse maison d'Épalinges, qui faisait furieusement penser à une clinique.
SupprimerOui, le "bunker" :
Supprimerhttps://www.letemps.ch/suisse/bunker-georges-simenon-epalinges-sera-demoli-lundi
Une épisode croquignolet de "Cinoche" d'Alphonse Boudard se passe dans la fameuse maison d'Épalinges. L'auteur y brosse un portrait de Simenon (transformé en peintre de renom) pas piquet des hannetons.
SupprimerJe l'ai lu il n'y a pas si longtemps : le passage est en effet savoureux.
SupprimerC'est amusant: dès le début de votre passage du 4/10 consacré à l'éloge de Jérôme Leroy dans Causeur, j'ai aussitôt pensé à Jean Daniel... retrouvé logiquement en fin de paragraphe.
RépondreSupprimerAvouez qu'il aurait été aussi amusant qu'impensable de trouver dans le Nouvel Obs un article du critique littéraire en chef démolissant un bouquin de Jean Daniel.
La "déontologie" voudrait qu'on ne parle pas, dans un journal donné, des travaux extérieurs des divers collaborateurs de ce journal. Autant rêver…
SupprimerDifficile de dire du mal des livres des autres alors qu'on espère des retours d'ascenseur quand un petit nombre de gens sont à la fois écrivains ( enfin: auteurs de livres), journalistes, critiques littéraires, directeurs de collections dans des maisons d'édition et réalisateurs d'émissions littéraires à la télévision.
SupprimerLe vieux français, oui… mais aussi un affreux jargon franglais dont les Québécois n'ont même pas conscience.
RépondreSupprimerS'ils n'en sont pas encore à dire "touzétoutes" à tout bout de champ, on peut leur pardonner !
RépondreSupprimerC'est charmant Moulins, un quartier ancien avec des maisons à colombage !
RépondreSupprimer" Il fera jour demain" le mot de passe des "Habits noirs", un feuilleton des années 70 que j'aimais bien ; je devrais essayer le bouquin, à petites doses...
Les traducteurs parlent aussi mal que leurs contemporains qui ont inventé la maltraitance, le mal-logement et les femmes qui tombent enceintes
C'est mieux et plus qu'un café : une excellente brasserie, où Catherine et moi avons déjeuné lors de notre unique (à ce jour) passage à Moulins, voilà quelques années.
RépondreSupprimer"ce que je leur reprocherait, c'est d'avoir choisi" ... Je suis un esprit simple ,qui lit lentement , et ne connait pas bien les conjugaisons ... qui plus adore les gags à base de boomerang , "c'est celui qui dit qui fait" ... vous me gâtez
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