Je sais, je sais : j'ai tout laissé ouvert pendant des années. Et j'aimais bien mes commentateurs "turbulents". Seulement, de "turbulent" à "systématiquement pénible", il m'a semblé qu'il y avait une marge béante…
Mais enfin, chacun s'arrange comme il l'entend, bien sûr.
Au début, vous "critiquez" Denis et son refus de voter pour des partouzeurs. Votre antipuritanisme vous honore. Un peu avant la fin, vous parlez des poules que vous faites venir pour vos orgies zoophiles avec Charlus. Faut bas abuser tout de même. Un peu de retenue.
A la toute fin, pour parlez de Gérard Depardieu pour jouer l'étroit mousquetaire. Ce n'est pas sérieux.
Vous devriez pas taper si fort sur les cathares. J'ai vu ma reum pratiquer l'endura en EHPAD. Ces albigeois d'occitans ont une sacrée volonté.En fait je me suis rappelé sa passion pour les cathares ( j'en ai chier étant minos des randos annuelles à Montsegur, ça grimpe dur) en lisant votre note. D'où j'ai réalisé qu'elle avait choisie cette sortie. comme quoi.,c'était une note perfide mais utile .
Je vous le concède, le côté joyeux lurons m'a échappé aussi. Ils vivaient perchés dans un moyen âge,disons très moyen. Il n'empêche je soupçonne ma daronne de s'être réincarnée en chat. C'est sûrement l'une des raisons pour que ma moitié refuse absolument d'en reprendre 😂
Vous avez écrit " Comme le notait Louis XVI le 14 juillet 89 à propos de sa chasse du jour : aujourd'hui, rien.". Louis XVI n'a pas écrit "aujourd'hui", mais juste "rien", d'autant qu'il ne remplissait pas ce journal au jour le jour mais généralement le mois suivant.
pour arriver jusqu'ici c'est... difficile - code et recode et confirmation - mais j'y suis arrivée, la bavarde que je suis désespérait de mettre son grain de sel inutile dans vos commentaires, on est bien peu de chose (y a t-il un s à chose, dit- on désespérait ou désespérais ?) - tout ça pour dire que Carol Oates et Harrisson ont été mes deux dernières lectures et il y en aura d'autres, inspirées par votre journal. Voilà. Peu de chose-s, donc.
Votre “désespérait” est impeccable, et j'écrirais “choses” au pluriel, mais sans garantie. Sur ce, je retourne à Harrison, qui s'impatiente de me voir tarder alors qu'il piétine dans la Péninsule Nord du Michigan.
Flower Power, quelle belle exposition ! Moi
RépondreSupprimerLe parking aussi était très bien !
SupprimerArrêtez de publier les commentaires des anonymes. Pourquoi pas les épouser, non plus ?
SupprimerNJ
Un "moi" n'est jamais anonyme : tous les psychanalystes vous le diront…
SupprimerJe sais, je sais : j'ai tout laissé ouvert pendant des années. Et j'aimais bien mes commentateurs "turbulents". Seulement, de "turbulent" à "systématiquement pénible", il m'a semblé qu'il y avait une marge béante…
RépondreSupprimerMais enfin, chacun s'arrange comme il l'entend, bien sûr.
Au début, vous "critiquez" Denis et son refus de voter pour des partouzeurs. Votre antipuritanisme vous honore. Un peu avant la fin, vous parlez des poules que vous faites venir pour vos orgies zoophiles avec Charlus. Faut bas abuser tout de même. Un peu de retenue.
RépondreSupprimerA la toute fin, pour parlez de Gérard Depardieu pour jouer l'étroit mousquetaire. Ce n'est pas sérieux.
Si les poules sont majeures et consentantes, on ne peut accuser Charlus de rien.
SupprimerVous devriez pas taper si fort sur les cathares. J'ai vu ma reum pratiquer l'endura en EHPAD. Ces albigeois d'occitans ont une sacrée volonté.En fait je me suis rappelé sa passion pour les cathares ( j'en ai chier étant minos des randos annuelles à Montsegur, ça grimpe dur) en lisant votre note. D'où j'ai réalisé qu'elle avait choisie cette sortie.
RépondreSupprimercomme quoi.,c'était une note perfide mais utile .
Oh, vous savez, les Cathares, je n'ai rien contre eux : c'était juste pour le plaisir d'être un peu désagréable…
Supprimer(Cela dit, ils n'avaient pas l'air particulièrement amusants non plus : on dirait un peu des protestants en pire…)
Je vous le concède, le côté joyeux lurons m'a échappé aussi. Ils vivaient perchés dans un moyen âge,disons très moyen. Il n'empêche je soupçonne ma daronne de s'être réincarnée en chat. C'est sûrement l'une des raisons pour que ma moitié refuse absolument d'en reprendre 😂
SupprimerJuste un rien, si je puis me permettre, c'est ce qu'a écrit Louis XVI à la date du 14 juillet 1789.
RépondreSupprimerNon. Là c’est quand il parlait de toi.
SupprimerNJ
Euh… oui… c'est même exactement ce que j'ai écrit…
SupprimerPouvez retourner vérifier : c'est le mardi 5…
SupprimerVous avez écrit " Comme le notait Louis XVI le 14 juillet 89 à propos de sa chasse du jour : aujourd'hui, rien.". Louis XVI n'a pas écrit "aujourd'hui", mais juste "rien", d'autant qu'il ne remplissait pas ce journal au jour le jour mais généralement le mois suivant.
RépondreSupprimerEt le 21 juillet 1793, il a écrit "Coupez"
RépondreSupprimerÉtant mort depuis le 21 janvier, il aurait eu du mal...
SupprimerDG
pour arriver jusqu'ici c'est... difficile - code et recode et confirmation - mais j'y suis arrivée, la bavarde que je suis désespérait de mettre son grain de sel inutile dans vos commentaires, on est bien peu de chose (y a t-il un s à chose, dit- on désespérait ou désespérais ?) - tout ça pour dire que Carol Oates et Harrisson ont été mes deux dernières lectures et il y en aura d'autres, inspirées par votre journal. Voilà. Peu de chose-s, donc.
RépondreSupprimerVotre “désespérait” est impeccable, et j'écrirais “choses” au pluriel, mais sans garantie. Sur ce, je retourne à Harrison, qui s'impatiente de me voir tarder alors qu'il piétine dans la Péninsule Nord du Michigan.
SupprimerDG