jeudi 30 juillet 2015

Le journal est dans son kiosque


Celui de juin.

32 commentaires:

  1. Enfin, de la belle lecture ! Merci beaucoup.
    (Tiens, Jégou n'est pas encore passé dire bonjour ?)

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    1. Je crois savoir qu'en ce moment, ce malheureux Nicolas travaille « comme cent mille nègres » (dixit Flaubert : du calme, les assoces, du calme !).

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    2. Eh ben voilà ! Vous voyez, quand vous voulez…

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    3. C'est parce que vous m'avez envoyé un mail pour dire que des mal baisées parlaient de moi.

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    4. Je ne me serais jamais permis de m'avancer à ce point, à propos de la sexualité de Marco Polo…

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  2. Je peux remplacer Jégou, c'est facile :

    "Tiens, qu'est-ce qu'elle me veut la connasse ? Va te faire tirer ailleurs, espèce de pouf ! Et malpolie en plus !"

    Bon, c'est vrai, je n'ai pas mis les fautes d'orthographe et les coquilles.

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    1. Je n'aurais pas dit "tirer" mais "mettre" ou "foutre".

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    2. C'est ça, les pasticheurs débutant : ça croit avoir attraper le style et ça se plante.

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    3. Qu'est-ce que j'ai pas attraper, moi ?

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    4. Ce que vous n'avez pas attraper ? Eh bien, l'usage des participes passés, déjà…

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    5. Ah ! Ah ! Je vous ai bien eu ! Relisez le message qui précède le mien et vous verrez que vous êtes tombé dans mon piège !
      Diabolique, n'est-ce pas ?

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  3. Notons que je reconnais assez facilement ma grossièreté mais pas assez vulgaire pour appeler les gens de leur nom de famille et les chercher dans les commentaires d'un blog.

    Je vais donner une leçon de commentaire : mon cher Didier, votre journal est un ravissement, comme d'habitude, écrit avec la finesse qui vous caractérise mais avez vous remarqué que, pour la première fois que j'ai le plaisir de vous lire en diagonale, vous n'y parlez pas de blogs.

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    1. Me voilà payé – et amplement ! – de six années d'efforts et d'abnégation quotidiens : j'en ai les larmes aux cils.

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    2. Mais quel miracle avez-vous accompli là Monsieur Goux ?
      Voilà Nicolas qui vous honore d'un magnifique commentaire, fort bien tourné et plein d'humour.
      Il m'épate aujourd'hui ce garçon...

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    3. Nicolas est un garçon épatant.

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  4. En lisant Paludes-qui-n'est-pas-Paludes , on saura ce que vaut Michel Desgranges comme critique...
    Par ailleurs, Tocqueville est certainement un des écrivains les plus cités et les moins lus...

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    1. Mais ici on peut apprendre ce qu'est un âne bâté !

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    2. Quel époustouflant sens de la répartie ...

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  5. Où l'on apprend que vous avez douze lecteurs du journal-je pense qu'il s'agit d'une façon de parler- et qu'il vous faut peu ou prou neuf mois pour accoucher de votre roman.
    Où j'apprends que derrière chaque personnage semble se cacher l'auteur et son dessein, chose que j'ignorais ou que je ne souhaitais pas voir, préférant sans doute que les personnages soient vraiment vivants et que le romancier se contente de les voir et les décrire pour nous.

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    1. Cela vous surprend vraiment, que l'auteur soit, plus ou moins, dans chacun de ses personnages ? Et en quoi cela les empêcherait-il d'être "vivants" ?

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  6. C'est quand paraît votre journal mensuel que bloguesquement, je me rends compte que le mois touche à sa fin. Alors chaque mois, je le lis avec plaisir

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  7. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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    1. Quand je ressentirai la nécessité d'un correcteur de grammaire a posteriori, promis, je vous ferai signe.

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  8. Pourtant j ' avais mis un gentil petit " smiley " souriant ...
    Je suis un type qui a fait UNE année d ' école en tout et pour tout . J ' ai appris le reste en lisant
    des gens comme vous et je leur suis éternellement reconnaissant d ' écrire à peu près correctement !
    C ' était donc une gentille moquerie , rien d ' autre . Désolé de vous voir le prendre , heu , pas très bien ...
    Sans rancune !

    Jérôme

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.