Sans trop se soucier de savoir s'il ne risque pas d'être taxé d'appropriation culturelle, Charlus fait ses dévotions à la crèche inuite tout juste installée par sa maîtresse sur notre buffet de souche.
Les Inuits… ce peuple fier et frigorifié, dont le nom est indissolublement lié au merveilleux de la Nativité, puisque c'est à l'un de ces humbles anonymes en fourrure et peau de phoque que l'on doit le chant de Noël universellement connu et entonné :
Inuit chrétien, c'est l'heure solenneeeelle
Où l'homme Dieu descendit jusqu'à nous !
(Si avec ça les inquisiteurs du multicul' ne me font pas grimper sur leur bûcher à coups de pompes équitables dans le fondement, je serai assuré d'avoir toutes les puissances du Ciel de mon côté…)
Inuit, l'heure du crime...
RépondreSupprimerQuand on pense que l'auteur du texte, Placide Cappeau, était plutôt anticlérical dans son genre... Ironie de l'histoire des tubes d'église!
RépondreSupprimer@René-Paul Henri: merci pour ce partage de la version de Tino Rossi! Ces voix du passé sont toujours émouvantes.
Le Tino maintenant... Rien ne me sera donc épargné ?
SupprimerDG
Avec sa crête d'Iroquois..., l'appropriation culturelle est-elle de mise?
RépondreSupprimerPère B.
Charlus ressemble à un iroquois contemplant ses voisins esquimaux.
RépondreSupprimerOn dirait que deux grands esprits viennent de se rencontrer !
SupprimerDG
Dans ce temple de la sagesse et de la pensée qu'est la case du saint ermite Didier...
SupprimerPère B.