vendredi 22 décembre 2023

Depardieu et ses anges sexualisés


 La trêve des confiseurs fait rage,  les bulles pétillent déjà dans les bouteilles encore bien closes, approchent à pas feutrés les douceurs de Noël…

Pendant ce temps, la volaille qui s'imagine “féministe” (elle ne l'est évidemment plus, et en aucune façon : à développer plus tard, l'heure du goûter approche…) continue de réclamer l'érection toutes allumettes crépitantes du bûcher de Gérard Depardieu. Comme il s'agit visiblement d'une grande cause nationale — au moins ! —, ces dames sont désormais rejointes par l'arrière-garde des petits mâles woketeux, le professeur Saint-Graal en tête, comme il fallait le prévoir. 

Pour cet universitaire rigoureux — mais il n'est là qu'à titre d'exemple, la troupe charognarde est fournie derrière lui —, balancer une vanne grasse sur une gamine de dix ou douze ans (vanne que la dite gamine n'a même pas entendue), c'est faire la preuve que l'on est un “agresseur pédocriminel”. Celui-là, si demain on devait rouvrir des Kolyma et des Dachau, il ne faudra pas le prier longtemps avant le voir grimper, vieil écureuil tout frétillant, jusqu'au sommet de l'un des miradors d'angle. Un vrai petit Boudarel en demande d'emploi…

Et puis, alors : quoi de plus bouffon que cette accusation d'avoir “sexualisé une fillette” ? Ils n'ont jamais lu Sigmund Freud, tous ces vertueux à torchères ? Ils pensent réellement, sérieusement, que les enfants de la planète Terre ont patiemment attendu la venue d'un gros acteur castelroussin pour se “sexualiser” ? Je ne suis pas un fervent admirateur de celui que Nabokov appelait “le charlatan viennois”, mais tout de même…

Ce sont d'ailleurs ces mêmes enfants, ces angelots éthérés, à qui, désormais, dès l'école primaire, on persuade que l'homosexualité est quasiment un don du Ciel, que vouloir changer de sexe est le moindre de leurs droits et que, vraiment, ils auraient bien tort de s'en priver si tel est leur bon plaisir. 

Mais comment peut-on vouloir changer de sexe à un âge où, d'après tous les oracles saint-graaliens et la cohorte des MeTooBambins, on est censé n'en pas encore avoir ?

24 commentaires:

  1. Ce sont d'ailleurs ces mêmes enfants, ces angelots éthérés, à qui, désormais, dès l'école primaire, on persuade que l'homosexualité est quasiment un don du Ciel, que vouloir changer de sexe est le moindre de leurs droits et que, vraiment, ils auraient bien tort de s'en priver si tel est leur bon plaisir.

    Bravo !
    (impossible de me connecter à mon compte Google...)
    F.M.

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    1. Ces abruti-e-s (il fallait bien ça !) asilaires ne se rendent même pas compte qu'ils ne sont plus QUE contradictions et apories.

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  2. Les contradictions et les apories peuvent même se tasser un peu dans leur esprit pour laisser place à la jalousie car je suis sûr qu'ils auraient aimé sexualiser la jeune Miou-Miou ... s'ils en avaient été capables !

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    1. Depuis quand les violeurs professionnels se soucient-ils du plaisir de leurs victimes ?

      DG

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  3. Chaque "affaire" me renvoie à mon adolescence et aux personnages de la mythologie grecque : les Erinnyes 🙂
    Hélène

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  4. Et en plus, la fillette prenait réellement son pied sur son canasson.

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  5. Ça me renvoie à mon adolescence car c'est à l'occasion des cours de latin que j'ai fait la connaissance des erinnyes (et non parce que je m'identifiais à elles 🙂)
    Hélène

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    1. Pourtant, elles sont plutôt grecques que latines, ces braves Euménides…

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    2. @ Didier
      Bien sùr qu' elles étaient grecques, mais pendant les cours de latin notre prof nous parlait également des grecs.
      Mes cours préférés, ma prof préférée.
      C'est vraiment triste d'avoir réduit l'éducation nationale à son plus simple dénominateur (et encore ...)
      Hélène

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    3. Vous avez bien faire d'ajouter "et encore" : le plus simple dénominateur étant d'apprendre à lire, écrire et compter, il semble que ce ne soit plus qu'un rêve des temps anciens.

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  6. Tout bien pesé, ce serait les héritières des "amazones" qui nous escagassent pour un oui. M'étonnerait pas alors que la position : chevauchée "en amazone" a été inventée pour ces empêchées du clito. signé Gérard. D

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    1. Mais non : les Amazones, justement, montaient avec les deux jambes du même côté. La position a été introduite en France par Catherine de Médicis, cette femme remarquable que les féministes post-modernes devraient bien revendiquer comme totem – si elles connaissaient son existence.

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  7. Démonstration impeccable. Désormais, on n'a plus le droit de dire des conneries.

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    1. Sauf si ce sont des conneries qui font barrage à l'extrême droite raciste, xénophobe, féminicide, non-durable, climato-sceptique, antivax et pro-Poutine.

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  8. Je suis surpris que vous repreniez in extenso, sur Freud, les propos d’Élisabeth Lévy. Je vous croyais capable de plus d'autonomie.

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    1. Les grands esprits, parfois, se rencontrent...

      DG

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  9. Je m'engueule tout les jours avec ma tribu wokiste de gonzesses sur ce con de gégé.
    J’assume totalement d'être un vieux con.
    J’ai même dit qu’il est allé en Corée du nord pour ce faire cloner et revenir en force les faire chier.
    Une armée de gégé.😂
    En tant qu’ex cavalier, membre du club disparu de horse ball très select des ‘Éponges de Sevran’ dont je suis un des derniers spécimens. J’allais dire mohican, mais ce joyeux bordel penchait plus vers Attila.
    je ne peux que rapporter ici la maxime, haut et fort en levant nos godets, qu’on entamait en coeur, au club house lors des troisième mitans de nos successives branlées :
    A nos chevaux !
    A nos femmes !
    Et à ceux qui les montent !
    je bois par saint Georges et VIVE LA CAVALERIE !!
    et un tonitruant :
    A la poussière ….

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  10. Ce matin, en lançant Twitter, j'ai remarqué de "Freud" était dans la liste des mots les plus cités. J'ai donc consulté les résultats de recherches. On a bien une bande de tarés...

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    1. J'espère que ça ne vous surprend pas trop…

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    2. Que les gens soient tarés, non. Mais qu’ils se fatiguent à le démontrer…

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    3. On en revient toujours à Audiard, in fine : les cons, ça ose tout ; c'est même à ça qu'on les reconnaît.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.