lundi 5 novembre 2007

Portrait du taulier en Misanthrope

Et ne faut-il pas bien que Monsieur contredise ?
À la commune voix veut-on qu'il se réduise,
Et qu'il ne fasse pas éclater en tous lieux
L'esprit contrariant qu'il a reçu des cieux ?
Le sentiment d'autrui n'est jamais pour lui plaire ;
Il prend toujours en main l'opinion contraire,
Et penserait paraître un homme du commun,
Si l'on voyait qu'il fut de l'avis de quelqu'un.
L'honneur de contredire a pour lui tant de charmes,
Qu'il prend contre lui-même assez souvent les armes ;
Et ses vrais sentiments sont combattus par lui,
Aussitôt qu'il les voit dans la bouche d'autrui.


Mais, on s'est connu où, au juste, ce Poquelin et moi ?

7 commentaires:

  1. Sur un chantier, pendant que son père tapissait ça et là.
    Des bizettes, vas donc, je ne te hais point.

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  2. En effet, la méthode en est toute nouvelle
    Car vous aimez les gens pour leur faire querelle
    Ce n'est qu'en mots facheux qu'éclate votre ardeur
    Et l'on n'a jamais vu un amour si grondeur

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  3. Vous voilà ! Je vous ai envoyé un mail, ne vous trouvant plus à l'adresse habituelle.
    Me voila rassurée !

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  4. C'est normal que je trouve bizarre qu'on parle de Corneille en commentaire à cette note ? (ou non, et je suis complètement chtarbée ?)

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  5. Bon, pas de réponse, j'ai dû dire une énorme conn**ie, je m'en vais...

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  6. Pas de parano, Chloé ! J'étais juste pas là...

    Et, oui, on est passé de Molière à Corneille, par la seule volonté de Mélina !

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  7. Ah ! donc j'avais pas si tort, finalement...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.