Je suis en train de le terminer. Il est assez ardu, surtout pour quelqu'un comme moi qui ignorait à peu près tout de la pensée de Clausewitz. Mais, en fin, je surnage.
On retrouve bien entendu tous les thèmes de Girard, mais avec une coloration beaucoup plus apocalyptique que précédemment. Effet de l'âge ?
Eh bien, je viens de remettre en état le partage de mon profil et vous pourrez accéder à l'HSQ plus simplement... Ce sont les petites subtilités de Blogger.
Moi non plus je ne connais fichtrement rien à Clausewitz, sinon les grandes lignes. Le ton apocalyptique est de circonstance, lorsqu'approche plus dangereusement la grande faucheuse... Ok c'est à la mode en ce moment (cf Maurice G. D. et consorts...), mais je doute que René Girard soit sensible à la mode?
Quel sens de la formule! Alors, il est bon ce dernier opus girardien? Fidèle à lui-même je suppose?
RépondreSupprimerJe suis en train de le terminer. Il est assez ardu, surtout pour quelqu'un comme moi qui ignorait à peu près tout de la pensée de Clausewitz. Mais, en fin, je surnage.
RépondreSupprimerOn retrouve bien entendu tous les thèmes de Girard, mais avec une coloration beaucoup plus apocalyptique que précédemment. Effet de l'âge ?
Elise : pourquoi ne peut-on accéder à votre blog en cliquant sur votre nom ?
RépondreSupprimerEh bien, je viens de remettre en état le partage de mon profil et vous pourrez accéder à l'HSQ plus simplement... Ce sont les petites subtilités de Blogger.
RépondreSupprimerMoi non plus je ne connais fichtrement rien à Clausewitz, sinon les grandes lignes. Le ton apocalyptique est de circonstance, lorsqu'approche plus dangereusement la grande faucheuse... Ok c'est à la mode en ce moment (cf Maurice G. D. et consorts...), mais je doute que René Girard soit sensible à la mode?