Sur le blog qui se trouve en lien trois ou quatre messages plus bas, les choses se précisent, les visages se dévoilent, les remugles atteignent doucement les narines. Pour cause de manque de courtoisie, je me suis fait traiter successivement de "gros con", puis de "trou du cul", ce qui ne donne pas une idée très haute des connaissances anatomiques des PJGM de ce bouge.
Pour finir, la tenancière a déclaré que si je parlais ainsi que je le faisais, c'est parce que j'avais une petite bite, argument d'une délicatesse toute féminine, comme on voit.
Gros con, trou du cul et petite bite : je peux partir en week-end tranquille, je suis paré de tous les côtés.
Pour finir, la tenancière a déclaré que si je parlais ainsi que je le faisais, c'est parce que j'avais une petite bite, argument d'une délicatesse toute féminine, comme on voit.
Gros con, trou du cul et petite bite : je peux partir en week-end tranquille, je suis paré de tous les côtés.
Dites donc le mardi soir vous envisagez déjà de partir en week-end je ne voudrais pas faire mon Georges - surtout qu'il est parti en vacances - mais enfin il y aurait comme un abus que cela ne m'étonnerait pas !
RépondreSupprimeriPidiblue et la petite sauterie du mardi chez Didi
Voilà ce qu'il en coûte de mettre son nez dans le méat du néant
RépondreSupprimerJe n'avais pas remarqué que ledit méat était fréquenté par de distingué critiques littéraires, en sus !
RépondreSupprimer"Tel Pirandello ou Beckett, il pointe, souvent malgré lui, la vacuité et l'absurdité de la nature humaine."
MM. P. et B. sont en bonne compagnie, à jouer à "pointe-que-veux-tu" avec vous...
La lecture des vraies qualités et faux défauts de Néa me fait songer à ce fameux extrait des "Lettres persanes" :
RépondreSupprimerhttp://fr.wikisource.org/wiki/Lettres_persanes_-_Lettre_L._Rica_%C3%A0***
Nea néant
RépondreSupprimerC'est vrai que si j'avais un peu plus de temps, j'irai jouer le troll ne serait-ce que pour rabattre le trop insupportable Ego pouffiat de certains.
RépondreSupprimerCe qui n'est pas trop votre cas Didier (il y a quand même pire que vous)
Aussi, je me permets de me lâcher hic et nunc (c'est l'endroit ou jamais ailleurs :
Didier, votre note est nulle à chier !
Ah, ça fait du bien !
Merci !
Je vous en prie, Martin : quand on peut rendre service, n'est-ce pas...
RépondreSupprimerDidier vous en faites trop. Qu'alliez-vous faire dans cette galère ? Vous auriez mieux fait de faire le repassage plutôt que de visiter un blog d'un intérêt très mineur (ce n'est pas Epouse qui va me contredire). Dame Nea croit que de toutes façons elle a toujours raison et que peut-on faire face à des croyances ? je vous le demande !
RépondreSupprimerRegardez donc : le verbe faire revient 5 fois dans mes misérables lignes ! Pas la peine de se mettre la rate au court-bouillon pour si peu, hein ?
Larkéo qu'est pas troll du tout