mercredi 23 janvier 2008

Tout seul... elle m'a laissé tout seul...

Vous, je ne sais pas, forcément. Moi, en revanche (revanche de quoi ?), je supporte de moins en moins d'être laissé pour compte tout seul. C'est très curieux, car, deux ou trois jours avant que cela ne se produise, l'idée me séduit plutôt. Mais, dès que je me retrouve sans Irremplaçable (si vous n'avez pas d'irremplaçable, passez votre route : vous allez vous faire chier...), je commence à me demander ce que je vais faire de mes os - et de plus en plus tôt. Même picoler m'ennuie, c'est dire.

Messieurs, sommes-nous tous à ce point aliénés ? J'aimerais savoir si, vous retrouvant seul, parfois, chez vous, vous errez ainsi, à l'intérieur de votre propre vie ? (Non, juste pour savoir...) Est-ce que la nuit est réellement plus épaisse, ou bien c'est juste moi ?

10 commentaires:

  1. Mais le pire c'est qu'elle va revenir ...

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  2. Je viens pour déposer une invitation...
    des bizettes

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  3. N'ayant pas d'Irremp (à part moi-même) pour me séparer de moi-même, mon avis est sans valeur.
    Ceci étant, il ne faut pas que l'absence soit trop longue, parce qu'on s'ennuie vite à faire des bêtises tout seul (ou du moins sans témoin). Voilà.

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  4. Martin, merci : je sens que l'autre va rappliquer dard-dard (comme disait San-Antonio...).

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  5. Dans mon cas, c'est quand la nuit est partagée que je me pose des questions...

    Etant habituellement seule avec moi-même, je suis plus tranquille: je sais en quoi je peux me fier à moi-même et je connais mes catastrophes quotidiennes. Gérer les miennes est déjà lourd, alors avoir un homme à charge... ;-)

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  6. On peut se consoler en se branlant dix fois par jour mais bon ! c'est fastidieux à la longue ...


    iPidiblue

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  7. Pareil. Exactement. Sauf que la nuit, je dors (je suis en grève : ne vous attendez pas trop à des phrases complexes).

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  8. Je vous envoie Carla pour faire le joint !

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  9. moi, ça me rappelle toujours la chanson "que c'est long que c'est long dix-huit jours !"

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  10. Mon pauvre Didier vous aussi vous êtes une veuve de guerre !

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.