La lecture, à quelque vingt ans de distance, des éditoriaux et chroniques de Jean-François Revel* est éclairante à plus d'un titre – en plus d'être un vrai plaisir de l'esprit –, au moins en ceci qu'elles permettent de voir que le déni pratiqué par la gauche est resté absolument le même depuis au moins un demi-siècle, aussi massif et inentamable ; il a simplement changé d'objet.
Voilà encore vingt ou trente ans, les affidés du PCF, avec les socialistes comme idiots utiles, nous expliquaient, de ce ton péremptoire donné par la fausse bonne conscience, que les tyrannies et les carnages de masse ne pouvaient en aucun cas être attribués au communisme, mais à des formes dévoyées du communisme ; et que ceux qui mettaient en place ces tyrannies et perpétraient ces carnages (qu'ils avaient néanmoins approuvés et soutenues quelque temps auparavant) relevaient d'un stalinisme mal expurgé qu'un vrai communiste ne pouvait que condamner – ce qu'ils ne faisaient par ailleurs jamais. Le fait que nulle part dans le monde ne se soit jamais instauré un communisme qui ne présente pas automatiquement ces deux caractéristiques, jointes à une ruine économique irrémédiable, ne les troublait en aucune façon. Et l'on nous enjoignait fermement de ne pas confondre (on ne disait pas encore amalgamer à cette époque…) le brave ouvrier français encarté avec je ne sais quel tortionnaire tchékiste, barbudo cubain ou rééducateur de camp maoïste.
Aujourd'hui, alors qu'on les espérait enterrés à jamais, ils sont de nouveau là, un peu amochés et flageolants, certes, tels des zombis fraîchement sortis des nécropoles, pour nous expliquer – du même ton péremptoire – qu'il faut bien se garder de confondre islam et islamisme, que les musulmans ne sont que douceur et mansuétude, tandis que les terroristes sont des malades sanguinaires qui n'ont rien compris à leur propre religion, même quand ils semblent en réaliser à la lettre les textes fondamentaux et intangibles. D'ailleurs, nous affirment-ils encore, les vrais croyants – les pacifiques, les intégrés, ceux de chez nous, les musulmans à béret basque et à baguette sous le bras – ne vont pas manquer d'organiser des marches de protestation, afin de clamer au monde leur dégoût et leur révolte de ce qu'on fait en leur nom ; prenez patience, ça se met en place, c'est une affaire de jours, de semaines tout au plus ; ne soyez donc pas si impatients, par la barbichette d'Oulianov ! Et ils n'ont pas assez de mots flétrisseurs pour désigner ceux qui, comme leurs pères et grands-pères naguère et jadis, affirment calmement l'identité dangereuse entre leurs gentils et leurs méchants, ou du moins le probable enrôlement, plus ou moins contraint, de ceux-là par ceux-ci, dès que les circonstances leur seront devenues favorables ; ce à quoi s'emploient activement nos belles âmes, immuablement supplétives des tyrannies en vogue.
* Jean-François Revel, Fin du siècle des ombres, Fayard.
"Et l'on nous enjoignait fermement de ne pas confondre (on ne disait pas encore amalgamer à cette époque…) le brave ouvrier français encarté avec je ne sais quel tortionnaire tchékiste, barbudo cubain ou rééducateur de camp maoïste."
RépondreSupprimerMais on ne pouvait pas, objectivement, les confondre !
Et on ne peut pas en vouloir à ceux qui ont voulu le communisme, tel qu'il serait idéalement... On peut en vouloir à ceux qui savaient ce qui se faisait d'horrible dans les pays communistes, et qui l'ont tu.
Moi j'en veux aux connards d'islamogauchistes bêlant sur le mode "touche pas à mon niqab", aux pourvoyeurs de gamines qui vont prendre le voile en Syrie, à tous ceux qui s'efforcent de comprendre, d'expliquer et de dédramatiser "le fantasme islamophobe"... à tous ceux qui ont mis une burqa gluante et crasseuse sur leurs soi-disant idées de gauche, réservant leurs plus longs hurlements pour Sarkozy ou Le Pen, comme si leur projet politique était pire que n'importe quelle charia.
"Mais on ne pouvait pas, objectivement, les confondre !" : pourquoi ?
SupprimerCe sont les circonstances qui font le larron. L'"ouvrier français encarté" (lire le communiste, je ne cible pas une catégorie !) n'a jamais eu l'occasion de montrer qu'il pouvait faire aussi bien que le "rééducateur de camp maoïste".
Encore que le Français avait déjà fait ses preuves pendant les guerres de religions et la révolution. Il n'a plus rien à prouver. Ce qui ne semble pas être le cas des nouveaux venus...
C. Monge
« Mais on ne pouvait pas, objectivement, les confondre ! »
SupprimerObjectivement relève du plus pur verbiage marxiste, ce qui ne manque pas de sel !
« On peut en vouloir à ceux qui savaient ce qui se faisait d'horrible dans les pays communistes, et qui l'ont tu. »
C'est-à-dire à peu près tout le monde sachant lire ! Quant à ceux dont vous parlez, ils ne se sont jamais contentés de se taire, jusque dans les années quatre-vingt : ils ont tout fait pour discréditer et avilir ceux qui proclamaient la vérité. Il n'y a qu'à se reporter aux attaques ignobles des communistes (et aux "réserves" jésuitiques des socialistes) au moment où il n'a plus été possible d'ignorer des Boukovski, Sakharov, et surtout Soljenitsyne.
Permettez-moi d'ajouter que les mœurs internes au PCF, que toute une littérature permettait d'appréhender, étaient rigoureusement les mêmes : culte de la personnalité, unanimisme obligé, cooptation généralisée des cadres et des dirigeants maquillée en démocratie de polichinelle en uniforme d'opérette, caporalisme, suspicion généralisée, enquêtes policières, pratique de l'ostracisme et de l'exclusion. La seule différence est que cette dernière n'aboutissait pas au goulag ou à la balle dans la nuque parce que — et uniquement parce que — le PCF n'était pas au pouvoir.
Supprimer...et surtout Soljenitsyne...Deux Siècles Ensemble...
Supprimer"Mais on ne pouvait pas, objectivement, les confondre !"
SupprimerAh bon ? Mais alors, dois-je comprendre que ce sont des agents infiltrés du KGB, grimés en communistes et cégétistes, gauloise maïs au coin du bec, qui ont subtilisé 5.000 armes de guerre, avec leurs munitions, dans les stocks de l'usine Manufrance en faillite, pour aller ensuite les planquer dans un entrepôt de la NMPP à Saint-Ouen ?
"Quant à ceux dont vous parlez, ils ne se sont jamais contentés de se taire, jusque dans les années quatre-vingt : ils ont tout fait pour discréditer et avilir ceux qui proclamaient la vérité. "
SupprimerJe crois que c'est clair : Quant à ceux dont vous parlez, ils ne se sont jamais contentés de se taire, jusque dans les années quatre-vingt : ils ont tout fait pour discréditer et avilir ceux qui proclamaient la vérité.
"C'est-à-dire à peu près tout le monde sachant lire ! "
RépondreSupprimerNon, pas au début... C'était un beau rêve. L'ouvrier qui voulait que le seuil de l'école soit ouvert à ses enfants, Germinal, et tout et tout... jusqu'à ce que le rideau se déchire.
Kundera était communiste, jusqu'à ce qu'il prenne conscience, brusquement, qu'il s'était trompé, qu'il avait été trompé. Et lui, il était en plein dedans. Les communistes français qui rêvaient de lendemains qui chantent croyaient sincèrement qu'ils chanteraient juste, que tout ce qu'on pouvait dire du mal du communisme était de la propagande capitaliste. Il a fallu du temps pour réaliser ce qu'était le communisme appliqué, puis encore du temps pour comprendre que ce n'était pas applicable. Mais les ouvriers français qui chantaient l'Internationale jusqu'à ce que les chars russes envahissent la Tchécoslovaquie n'étaient pas des salauds complices de crime contre l'humanité. Enfin, pas sciemment.
Dès les années vingt, les témoignages ont commencé d'arriver. En 1936, le retentissant Retour d'URSS de Gide, le J'ai choisi la liberté de Kravchenko après la guerre, etc.
SupprimerDu reste, je n'accusais pas l'ouvrier encarté. Lui, il a juste été ce qu'a déclaré Montand lorsque ses yeux se sont (enfin) ouverts : con et dangereux. Montand qui, d'ailleurs, a au moins eu le mérite de le reconnaître et de le dire publiquement, ce qui est toujours mieux que cette vieille raclure de Danielle Mitterrand, qui a continué de révérer Castro jusqu'à sa mort.
Mais enfin, bon, le communisme est un sujet réglé et ce n'était pas vraiment le mien…
En 1967-68, notre professeur d'histoire, communiste bon teint, lorsqu'on lui parlait des victimes du stalinisme répondait qu"on ne fait pas d'omelette sans casser d’œufs""... C'est dire l'ampleur de sa désillusion !
Supprimeroui, et où voulez-vous en venir? Massacrer tous les musulmans!
RépondreSupprimerAnne-Laure
Finalement, il n'y a que vous qui me compreniez…
Supprimer"massacrer tous les musulmans ?" Il faut reconnaitre que meme ça, ils le font très bien tous seuls Et anne laure non plus n'a besoin de personne pour écrire des conneries
SupprimerAnne-Laure, irremplaçable Anne-Laure… Quel esprit de synthèse, quelle lucidité instantanée, acérée, précise et nuancée à la fois ! C'est de l'art.
SupprimerDes communistes qui condamnaient il y a trente ans les horreurs soviétiques ? Des tièdes alors car le gros de la troupe, lui, s'enchantait plutôt à visiter l'URSS et ne considérait les massacres du peuple réel que comme un passage nécessaire pour le bien du Peuple idéalisé. L’assujettissement des "cocos" aux valeurs des droits de l'Homme ne s'est fait que plus tard.
RépondreSupprimerÀ qui répondez-vous ?
SupprimerFinalement, en ce gugusse là et vous, il n'y a guère de différence, sinon de pure forme,
RépondreSupprimerMonsieur D.Goux..... http://lecondujour.wordpress.com/2014/09/25/jcelfassi-ajoutons-encore-de-lignominie-a-lhorreur/
Vous pouvez toujours vous dissimuler sous votre allure si précieusement littéraire, vous ne duper personne. D'ailleurs, la puanteur de vos idées est venue jusqu'à moi, c'est dire.
Le problème est que je n'ai exprimé aucune "idée" dans ce billet : je me suis contenté de mettre en lumière la permanence qui existe entre les ex-admirateurs (et quand je dis "ex"…) du communisme sous toutes ses formes et les actuels islamolâtres, notamment dans leur façon de bâillonner par la morale leurs contradicteurs. Cela dit, je comprends que ça ne vous plaise qu'à moitié, puisque vous faites partie de ces peu reluisants personnages. Et votre commentaire est la meilleure illustration de ce que je dis dans le billet : pas le moindre argument, juste un petit jet d'invective. Il y a cinquante ans vous m'auriez traité de fasciste ou de hyène dactylographe, et aujourd'hui de "nauséabond". Ce qui montre que, en plus, vous n'êtes même pas capable d'originalité dans l'expression.
Supprimerces gens la, dont gauchedecombat est l'exemple type, nous font la morale et nous assimilent carrement au mal absolu...mais ce sont les premiers a se moquer des bigots et du clergé, cherchez l'erreur C'est vrai que le clergé de nos jours est devenu médiatique, politique ou encore associatif Et ce sont ces clampins qui nous accusent de ne pas avoir de cerveau, et de faire primer l'émotion sur la raison, ptdr Jégoun conseille a ses détracteurs de prendre leurs cachetons, je proposerais a gauche de combat d'écrire plutot sur ce qu'il aime vraiment et qui est plus a sa portée, comme par ex la mode, la musique, la drague, la culture pop et la vie citadine Au moins dans ces domaines la, je suis sur qu'il racontera beaucoup moins de conneries et qu'il évitera de tomber lui meme dans les travers qu'il dénonce, c'est a dire la haine, le simplisme et le manichéisme
SupprimerPfff ! Même s'il se lançait dans un blog cuisine ses recettes seraient imbouffables !
SupprimerSur Facebook, j'aurais liké !!!
SupprimerVous pouvez, l'article s'y trouve.
SupprimerL'homme de gauche n'est pas toujours un supplétif zélé de la tyrannie, c'est assez souvent un imbécile heureux.
RépondreSupprimerNous apprenons que la famille du touriste décapité appelle à la retenue et condamne toute récupération politique. Les messages de haine ne sont pas les bienvenus, etc. Le sieur Gourdel appréciait même la culture du Maghreb et se voulait un champion de la tolérance, nous dit-on.
Un beau message d'espoir, en somme.
« L'homme de gauche n'est pas toujours un supplétif zélé de la tyrannie, c'est assez souvent un imbécile heureux. »
SupprimerC'est ce que je dis à la première ligne du deuxième paragraphe : communiste = supplétif, socialiste = idiot utile.
Quant à la famille de Gourdel et à sa réaction désormais convenue : qui a dit que la souffrance et le deuil devaient obligatoirement déboucher sur la lucidité ou conférer je ne sais quel surcroît d'intelligence ?
Certes.
SupprimerOn peut leur avoir demandé avec insistance de tenir ce genre de propos. Faut pas stigmatiser, faut pas faire d'amalgame.
SupprimerAprès tout, ça ne fait jamais que trente ans que nous subissons le terrorisme islamique : Saint-Michel, Londres, New-York, etc. ad nauseam. Marrant d'ailleurs que personne ne relève que depuis l'attentat de la rue Corpernic, tous les attentats visant des juifs en France ont été le fait de groupes musulmans.
Il faudrait vraiment avoir mauvais esprit pour commencer à regarder avec inquiétude les djellabas et niqab qui se promènent dans nos rues, sans parler des Khelkal, Merah, etc. qui eux ont fait le choix de ne pas être détectables.
« depuis l'attentat de la rue Corpernic, tous les attentats visant des juifs en France ont été le fait de groupes musulmans »
SupprimerCe qui n'empêche pas que, à chaque nouvel attentat, et avant tout début d'information policière sérieuse, nos amis progressiste pointent l'extrême droite néo-fasciste comme un seul Jean Moulin.
Je suis d'accord avec Suzanne, nananère. En outre, le communisme est mort, l'islamisme mourra...
RépondreSupprimerEt il y a trente ans, il y avait des admirateurs de l'URSS, c'était des communiste, chez nous. Pour ma part, je peux défendre les musulmans sans être musulman. Et je ne crois pas pouvoir être accusé de musulmanisme : je n'ai jamais eu la moindre complaisance.
Il y a trente ans, les communistes de France (qui étaient d'ailleurs les premiers à taper sur les immigrés, ou, du moins, il y a 35 ans) étaient une majorité à admirer les communistes russes (ils voulaient ça pour eux). Là, les musulmans de France sont une minorité à admirer les salopards en Irak ou en Syrie (ou ailleurs). Mettons qu'il ait 6 millions de musulmans en France dont 6000 salopards, ça en fait 1 pour 1000 (et même s'il y en a 60 000, ça fait 1 pour 100 et si vous êtes persuadé qu'il y en a 600 000, ça ne fait qu'un dixième).
On ne peut pas tout comparer. J'ai moi même été communiste mais vu mon âge, c'était surtout par principe, pour être plus à gauche que Mitterrand... Je n'ai jamais défendu l'URSS ou la Chine, mais uniquement l'idéal (qui, comme on sait et comme je savais à l'époque, ne tient pas puisqu'il nécessite une privation des libertés donc une dictature avec forcément des salopards qui émergent).
C'est bien joli, tous ces chiffres que vous tirez de votre moumoute, mais ils ne correspondent rigoureusement à rien de sérieux. À part peut-être le premier, qui est le plus préoccupant de tous : 6 millions de musulmans en France, ça fait bien 5,5 millions de trop.
SupprimerEt je note que vous semblez trouver rassurant le fait qu'il ne pourrait y avoir "que" 600 000 partisans de l'État islamique parmi nous, alors que nous sommes en guerre contre le dit État et que celui-ci a appelé ses partisans à nous égorger sans faiblir.
Enfin, comme dirait Élodie, le plus grave danger que nous courons, c'est l'islamophobie.
…“Mettons qu'il ait 6 millions de musulmans en France dont 6000 salopards, ça en fait 1 pour 1000 (et même s'il y en a 60 000, ça fait 1 pour 100 et si vous êtes persuadé qu'il y en a 600 000, ça ne fait qu'un dixième).“
SupprimerSoyons précis: 6 millions pour France info et 3 millions pour France Inter ! Voilà de la précision de service public ! (Remarquez, les autres (ceux qui ne sont pas de service public) sont tout aussi précis. Alors vos statistiques sur les “milliers de salopards“ ont du plombs dans l'aile.
Mais je ne trouve rien rien de rassurant. Il y en aurait qu'un seul, je l'obligerait à manger du cochon et à boire du vin algérien.
SupprimerOh, non, pas le vin algérien, c'est trop horrible ! Même moi, je n'oserais pas… Même Woland aurait pitié…
SupprimerDisier, il faut faire un exemple.
SupprimerY, je donne évidemment des chiffres au hasard, ce que le taulier souligne et qui est évident, mes statistiques n'ont aucun plomb dans l'aile et le fait que tu les soulignes prouve que tu voudrais que l'on voudrait admettre que tous les types avec des tronches d'arabes sont de dangereux islamistes.
Tant qu'à parler chiffres, autant être rigoureux : Ennahda, le parti islamiste tunisien a réuni le suffrage d'un tiers des franco-marocains. 12% des musulmans en France sont favorables à la lapidation des femmes adultères, 17% pour l'application de la charia (sondage Ipsos 2004 sur la pratique de l'islam mais inutile de le chercher : il a mystérieusement disparu).
Supprimer17% sur vos six millions, c'est juste un million de moyenâgeux en France, une broutille sans doute pour les esprits jégouliens.
Il n'est même pas certain que tous les types ayant des tronches d'Arabes soient réellement arabes : c'est quand même bien la preuve qu'ils sont fourbes, donc terroristes en puissance, non ?
SupprimerJe connais une famille de "Sarrazin", près de chez moi... Dois-je en conclure qu'ils sont dangereux ?
SupprimerAussi bien, il y en a des juifs comme vous et moi.
SupprimerLes Sarrazins ne sont pas tous de la même farine.
SupprimerSauf que le trait de Nicolas passe à côté de la cible. On se fiche de la tronche. Les pakistanais sont majoritairement musulmans et n'ont pas le type franchement sémite. Alors qu'un chrétien irakien l'a vraiment lui. Et les nègres de Boko Haram, ils ont une gueule d'arabe ?
RépondreSupprimerEt les Juifs inuits ? Ils ont des tronches de Sémites, les Juifs inuits ?
SupprimerPas plus que Sammy Davis Junior.
SupprimerLes socialistes sont persuadés que les musulmans seront de bons supplétifs pour les garder au pouvoir comme le furent les communistes durant des années et ensuite essayer de les dissoudre comme le fit Mitterrand, ils ont oublié une seule chose sont depuis 16 siècles sous le dogme religieu qui les soumet.
RépondreSupprimerIslam signifiant "résignation », « reddition », « soumission », « allégeance », sous-entendant « à Dieu »: ils voteront donc comme un seul homme pour des partis mahométans légalement inscrits sur les listes électorales mais ils sera trop tard pour bouter hors de France, nos futurs égorgeurs.
Je me souviens, en 1978, d'un ami, apprenti journaliste comme moi, et d'extrême gauche, m'expliquant avec un demi-sourire entendu que les partis progressistes iraniens allaient utiliser l'ayatollah Khomeiny (qui venait tout juste de quitter Neauphle-le-Château) le temps qu'ils auraient besoin de lui, puis qu'ils se débarrasseraient de cette vieille baderne d'un simple froncement de sourcils : on a vu…
Supprimer1978 ou 1979 ? Plutôt 79, à la réflexion.
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