mercredi 20 janvier 2016

Le bien-slogan


Nous sortions de déjeuner, l'amiral Woland et moi, hier. Sa voiture était garée à droite, mon bureau se trouvait à l'opposé, nous aurions donc dû nous séparer au coin d'Anatole-France et de Baudin. Je l'entraînai pourtant de quelques mètres vers chez moi, afin qu'il découvre, à la verticale d'un abribus, cette… cette quoi, d'ailleurs ? Publicité ? Annonce ? Mise en garde ? Allez savoir. En tout cas, je voulais recueillir son opinion sur cette chose que, deux heures plus tôt, j'avais découverte avec un certain ébahissement.

Source secondaire d'étonnement, pour moi : pourquoi cette malheureuse, encombrée d'enfant jusqu'aux mamelles, contemple-t-elle une pauvre guenille ? Woland, mieux au fait que moi de la vie des jeunes femmes modernes, m'assura qu'il s'agissait visiblement d'un body. Soit. Avec le recul, je reviens sur ma position première, et pense qu'il s'agit bel et bien d'une guenille destinée à vêtir la descendance, le petit Saturnin à naître.

Évidemment, à mon premier passage, c'est le slogan, qui m'avait arrêté devant l'abribus. Qui, quel moissonneur d'une éternelle sottise, avait en s'en allant négligemment jeté ce vocable bancal à la RATP ? Mal-logement, en effet, était déjà raide : combien d'incultes à cravates a-t-on réuni à la table ronde, au trente-troisième étage d'une tour de la Défense, pour valider cet accouplement contre-nature d'un adverbe et d'un nom, liés de force par leur trait d'union ? Et qui pourra nous dire de quelle manière, selon quel biais, en vertu de quelle mystérieuse osmose se transmet un mal-logement ? Les gènes ? L'héritage ? La course de relai ? Autre chose qui m'échappe ?

Enfin, et Woland et moi nous séparâmes là-dessus, que peut bien foutre dans un mal-logement cette jeune blonde au teint frais, impeccablement coiffée, maquillée comme une pute de l'Est, au jean miraculeusement ajusté ? 

Et pourquoi cette feignasse n'a-t-elle pas repeint son mur avant d'y accrocher son cadre à la con ?

Après tout cela, une dernière question démultipliée : qu'est-ce que ce slogan de mongolien cherche à nous dire ? Quel message ont tenté de faire passer les mal-syntaxes qui l'ont conçu ? Bref : qu'est-ce qu'on est censé faire ?

64 commentaires:

  1. Bonjour,
    Je dois vous avouer que j'ai eu à peu prés les mêmes interrogations que vous en découvrant les différentes affiches de cette campagne de la fondation abbé pierre. Vous remarquerez que tous les "mal-logés" sont bien blancs, des vrais "de souche", pas l'ombre d'un noir, d'un magrébin ou autre "allophone arrivant" comme disent les gens du camp du bien, que nenni!
    Alors effectivement, Que faire ? mettre la main au portefeuille histoire de s'acheter une conscience? ou se dire qu'il faudrait dans un futur très proche, élire des gens assez courageux pour redresser la barre du navire France qui depuis des décennies va à la dérive?? GfB

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    1. Peut-être que le plomb est sans effet sur les allophones ?

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    2. Je connais une sorte de plomb qui serait efficace...GfB

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    3. Oui, les pilules du bon docteur Parabellum dosées à 9x19mm. Une le matin, rien le soir.

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  2. Vous culpabiliser ; il s'agit de vous culpabiliser. D'une manière ou une autre. C'est votre faute, c'est votre faute, c'est votre très grande faute !

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    1. Je dois reconnaître qu'il m'arrive encore de temps en temps, malgré mon grand âge, d'aller en douce injecter un peu de plomb dans les pots de couleurs des peintres en bâtiment. Comme ça, pour le plaisir de voir ensuite étouffer les pauvres.

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  3. Magnifique papier peint en tout cas.

    Mais je vous trouve injuste : pour une fois qu'on veut aider les blondes à mieux s'en sortir !

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  4. c'est un body pour bébé ; elle va avoir un bébé, elle fait le trousseau du bébé; et elle n'est pas maquillée.
    J'imagine que le message s'adresse aux propriétaires et aux bailleurs : supprimer le plomb ; je le trouve au contraire très clair, et c'est bien là ce qui m'ennuie : si avec un mot aussi atroce, totalement opposé à ce qu'est la langue française, on réussit à être à peu près intelligible, notre pauvre langue est très très mal partie.

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    1. Pour avoir vu la photo de près et en grand, je puis vous assurer qu'elle est maquillée.

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  5. Et qui nous dit que votre "jeune blonde au teint frais, impeccablement coiffée", n'arbore pas, en plus, un "faux ventre de femme enceinte" ?

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    1. Ce serait vraiment trop affreux !

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    2. Pas possible !!... les faux-ventres ne sont pas portés par des blondes mais par des "montpelliéraines" bénéficiant de logements sociaux des plus salubres....
      http://www.lejdd.fr/Societe/Faux-ventre-de-femme-enceinte-a-Montpellier-pourquoi-la-piste-terroriste-est-privilegiee-765589

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    3. Les Charcuteries Olo22 janvier 2016 à 14:39

      Une femme enceinte, même terroriste, n'est pas dangereuse: elle s'est déjà fait sauter.

      Désolé, je sors..

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  6. Il est tout de même amusant que dans les couloirs-mêmes de la Propagandastaffel vous soyez encore sensible à une affichette somme toute banale et discrète.

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  7. Elle est non seulement maquillée, mais a eu soin de faire ses mèches blondes (quand on sait le prix que ça coûte ! ) Comme vous dites Didier, elle aurait pu penser à rafraichir son mur avant.
    Le mal-logement rejoint le mal-entendant, le mal-voyant, auxquels nous sommes soumis depuis un bon moment déjà. C'est le mal-français.

    Que peut-on faire ? Rien, parce qu'on est des mal-comprenant !

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    1. Non, là, c'est bien pis que les exemples que vous citez. En effet, si l'on considère "voyant", par exemple, comme un participe présent "adjectivé", l'emploi d'un adverbe devient licite (même si le résultat obtenu est grotesque). Alors que, on aura beau faire, "logement" est et restera un nom commun, n'acceptant donc nullement l'adverbe.

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    2. C'est vrai, j'y ai pensé après avoir écrit ma réponse. Et même mal-bouffe ça peut être pris comme un verbe, bouffer mal.
      Du coup, je reste sans voix, coite. Je suis une "mal personne" et il est bien possible que bientôt cette expression : mal-logement fasse florès.
      On peut s'attendre à tout, hélas.

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    3. Il suffisait d'écrire logemant: substantif "participé" avant d'être "adjectivé". C'est pourtant simple!

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    4. Que dire alors des substantifs tels que malheur, malaise, malfaisance, malhonnêteté, etc. ?
      Mallogement, je vous l'accorde, dépassant l'horreur droitdelhomarde.

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    5. La société moderne en pince pour les droits-de-l'homards…

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    6. En plus, ce n'est même pas un vrai appartement de pauvre. Il manque l'écran plat de 120cm de diagonale.

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    7. Je maintiens que ça ne vaut pas le "en situation de rue" d'Hidalgo.

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  8. Quelques pistes d'interprétation :
    - La consommation de plomb est addictive : Lorsqu'on commence à en absorber jeune on devient sauturnique (ta mère) et pour éviter les frais on loue des logement dont les murs contiennent du plomb et on les lèche.
    - Le saturnisme affaiblit les capacité mentales et le jugement. L'enfant affecté, devenu adulte, à prix égal, préférera un logement insalubre et exigu à tout autre.
    - Certains baux exigent que les descendants du locataire reprennent le logement de leurs parents à la mort de ces derniers.
    - Le goût pour le logement est atavique ainsi les aristocrates rêvent d'un château et les misérables d'un taudis. C'est dans les gènes, on n'y peut rien.

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  9. J'appréciais beaucoup le blog de votre camarade "amiral woland".
    Malheureusement c'est devenu un club privé où il faut montrer patte blanche.
    Pourriez-vous intercéder en ma faveur et me faire bénéficier d'une invitation?
    Merci

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    1. Je le peux d'autant moins que je suis dans la même situation que vous : pas invité ! À vrai dire, je ne m'étais même pas avisé que son blog fût devenu privé.

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    2. J'étais abonné à ce blog de défense des koalas mais depuis qu'il est privé, mes multiples demandes d'accéder au blog sont restées vaines...
      Je n'ose faire une demande identique à celle que Brindamour a faite (ou fait...ne soyons pas macho !) au taulier...

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    3. Je vous rassure, je suis le seul membre du club. Plus personne n'y a accès à part moi.

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    4. Donc vous êtes vivant.
      Tant mieux.

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  10. "le petit Saturnin à naître".

    Trop fort !
    Et soudain une angoisse : et si c'était une fille ?

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    1. Je vous laisse choisir, entre Saturnine ou Saturnette (Saturnaine risquerait de nous valoir des procès, de la part des gens-de-petite-taille…).

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    2. allons allons, gens-de-petite-taille , ça reste bien en deçà de nos capacités créatives en terme de néologisme
      dans la même veine, on pourrait envisager "mal-toisés" avec son corollaire "la mal-toisance se transmet aux enfants" (et c'est vrai qu'avec mon père qui culmine à 1,60 m et ma mère à 1,55 m , je vérifie le théorème )

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    3. Je propose :
      personnes verticalement défavorisées ou verticalement contrariées

      PhD

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    4. Pour les néologismes forgés par les cravatés des ministères et des agences de kommunicazion ( aka propaganda staffel) ,on restera toujours un cran en dessous de ce qu'un vrai délirant pourrait produire
      Ça en devient même gênant pour le délirant en question, voyez
      À chaque fois, j'ai l'envie d'aller leur proposer mes services
      Et chaque fois, je me pense en mon for intérieur "résiste ! confiture aux pourceaux...."

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  11. Quoi ???? L'Amiral circule dans Paris en voiture ???? SALAUD DE POLLUEUR !!!!

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    1. Merde ! je n'aurais sans doute pas dû dénoncer…

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    2. si je découvre que c'est un crossover ou un 4X4 diesel je m'en vais de ce pas dénoncer cet immonde pollueur a toutes les assos écologistes de la terre et de l'univers

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  12. "qu'est-ce que ce slogan de mongolien cherche à nous dire ?"

    Si vous ne le savez pas, ce qui est normal, les marchands de sommeil percuteront très vite.

    hélène dici

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  13. Je suis allé faire un tour sur le site de la fondation abbé Pierre, le mal-logement non seulement se transmet, mais se respire également, les deux affiches y sont longuement expliquées.
    Manifestement, elles n'ont pas atteint le but prévu.
    J'y ai aussi découvert un jargon intéressant, il faut par exemple être solidaire et rendre acteur et cette fondation se dit au cœur de la post-urgence.

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  14. Billet méchant et sans intérêt. je préfère le précédent où vous prenez en otage commercial un Houellebecq qui ne vous laissera même pas la goutte de foutre à avaler après l'avoir longuement sucé. Par manque de charité chrétienne... probablement. Mais vous le comprendrez je n'en doute pas une seconde. Désolé, mais je suis de mauvaise humeur ce soir. J'espère que tes ventes rembourseront quelque peu les frais engagés, car c'est bien de l'auto édition?

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    1. "car c'est bien de l'auto édition". Alors là, dans le style coup bas on ne fait pas beaucoup mieux... A moins que la maison d'édition "les belles lettres" ne vous disent rien, auquel cas, je raye la mention précédente et je le remplace par: Alors là, dans le style inculture, totale et crasse on ne fait pas beaucoup mieux.

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    2. Naturellement ! Les Belles Lettres sont les rois de l'auto-édition depuis environ une centaine d'années : tous les érudits dans votre genre savent cela.

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    3. Plutarque, Cicéron, Dion Cassius, Sénèque et pas mal d'autres ont d'ailleurs été les premiers clients de cette maison, connue dans le petit monde de l'auto édition, par le biais de Guillaume Budé qui a joué les entremetteurs via sa célèbre librairie.

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    4. Bah... finalement, je retire ce que j'ai dit. Après vérification, il aurait peut-être mieux fallu une auto-édition pour rentabiliser le bouzin. Désolé... toujours cette mauvaise humeur.

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    5. Ha cap'tain caca nous en pose un petit....
      Logique, en définitive

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    6. Dans les auteurs publiés chez les belles lettres, vous avez oublié, mauvaises personnes que vous êtes, le très rafraîchissant Philippe Muray

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    7. @Captainhaka Mao-rit a moitié dans ton lit Bon ok, je sors

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  15. Ce type de néologisme permet un élément prédominant dans cette culture de l'oubli, celui de nous faire culpabiliser... Tout en donnant autorité à celui qui emploie ce langage moderne, sans saveur ni légitimité.

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  16. Le mot « saturnisme » s'inscrivant en blanc sur le reflet blanc du ventre de la jeune femme, un lecteur pressé, pour peu qu'il soit muni d'un écran de piètre qualité comme le mien, peut lire : « L'intoxication au plomb d'une femme enceinte provoque le stalinisme chez son bébé. » Et là, le lecteur pressé se demande vraiment : que faire ?

    Alain

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  17. C'est une affiche dans l'air du temps.
    Il y a... mettons, encore dix ans, on adressait le message aux parents. Nous avions sur l'image une famille, ou un enfant assis par terre au pied d'un mur lépreux, par exemple, et un texte du style "votre enfant est en danger".
    Maintenant, on demande à celui qui lit l'affiche de protéger les parents. On utilise pour cela l'innocence d'une jeune femme blonde au ventre arrondi. Elle est belle, qui sont les salauds qui voudraient empoisonner cette femme pauvre ?

    Dans la réalité, les enfants qui vivent dans des vieux immeubles parisiens en léchant des jouets sur lesquels se dépose de la poussière pleine de plomb ont une maman qui ne lit pas bien le français, qui confie sa marmaille au plus âgé pendant qu'elle va faire quelques ménages ou récupérer deux trois trucs pour vêtir ou nourrir tout le monde. Ce n'est pas très accrocheur pour récupérer des dons. On rirait cyniquement des tas de linge empilées, du désordre épouvantable, de la crasse qui dégouline partout,du nombre des enfants et de l'obésité des parents...
    En tout cas, qu'ils soient menés par le bout du nez par d'insupportables mômes qui choisissent pour eux la voiture, expliquent comme on doit les soigner, les distraire et claquer pour eux un max de fric, bref par ces monstres d'"enfants prescripteurs" ou exhibés dans les émissions de télé réalité comme des impotents débiles subissant les méchancetés de leurs adolescents crétins et désaxés, les parents, les pauvres parents... sont les grands absents de la famille.

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  18. En cherchant "mal-logement" sur gougueule afin de trouver cette affiche pour pouvoir l'agrandir un peu plus, je me suis vu proposer cela : http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/2012/04/05/577339/images/principale/Bergstrom%20over%20Paris,%201976.jpg
    ...et effectivement, je suis scandalisé de constater qu'au XXIe siècle, on puisse proposer un aussi petit logement avec un lit "collé" à la fenêtre (bonjour le froid), à une telle hauteur sans considération pour le possible vertige de l'occupante qui n'a même pas assez de revenus pour s'habiller et s'acheter une télé digne de ce nom !!!!
    Je suis indigné comme l'aurait été l'immense Hessel !!!...

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  19. "Mal-logement" est abusif pour cette annonce lorsque l'on constate la présence d'un mur en marbre d'Italie et d'un cadre avec des ornements dorés accroché au-dessus d'une commode bien pratique pour contenir le bordel laissé par la feignasse.
    On ferait mieux de s'occuper des sans-papiers sans-logis tripoteurs d'occidentales !!
    Ce serait plus humaniste et tendance...

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  20. "Bref : qu'est-ce qu'on est censé faire ?"

    C'est pourtant simple. Dès que vous avez connaissance des agissements d'un de ces ignobles marchands de sommeil qui profitent de la misère du peuple pour s'enrichir, vous vous saisissez de votre plume pour écrire une jolie lettre de dénonciation républicaine et solidaire au préfet de votre département. C'est, si j'en crois les énergumènes de la gauche, une tradition française. Elle était certes ignoble sous Pétain, mais dans notre république une, indivisible, laïque, sociale, etc., elle devient vertueuse.

    S'agissant de mal-logement, vous ne gagnerez pas un fifrelin, mais si vous connaissez un de ces ignobles richards qui fraudent le fisc, là il vaut mieux signer votre missive vengeresse mais néanmoins civique, car vous serez rémunéré au prorata du fric récupéré. Comme quoi les pratiques qui avaient cours durant l'occupation arrangent les bidons de tout le monde.

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    1. En résumé " crache ton fric ,bourgeois ! "
      J'ai bon ?
      Ou alors "contribuez ,monsieur le tribuable"
      Ou encore "aboule la TVA ,le smicard !"
      C'est la dernière qui a ma préférence, tant il est vrai qu'en A-france, il y a de moins en moins de contribuables et de bourgeois et de plus en plus de smicards

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  21. Je traverse Paris en bus et en métro,pourtant je n'ai pas vu cette affiche. Je me demande si les publicitaires de la RATP ne l'ont pas apposée près de votre lieu de travail liste pour vous ennuyer car ils sont pervers ces gens là..
    La dame n'a point d'argent pour se loger mais elle peut s'offrir un tableau douteux pour l'accrocher sur le mur.
    La question que je me pose est :" Pourquoi une leucoderme?"; une migrante , cela aurait été moins porteur, donc moins de fric.
    Mais il est vrai que je suis un poil soupçonneux.

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  22. Elle porte haut... Sûrement une fille ...

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  23. A Marseille, nos pauvres ont droit au saturnisme chronique mais sont parfois victime de la forme foudroyante lorsqu'ils vont se balader le soir.

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  24. Pourquoi canardez-vous Saturnin ?
    Une fois de plus, vous avez plombé l'ambiance...

    Désolé
    Duga

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  25. Notons qu'à force de vouloir éradiquer la notion de Noël dans nos célébrations festives et citoyennes de décembre, on revient à la notion de saturnales.
    Droopyx

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  26. Pourquoi "maquillée comme une putain de l'Est" ?

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.