– Nous ne devons nous fier qu'aux vertus du riche. Le moindre gain à la loterie fait disparaître celle du pauvre.
– Le barbare se contente de détruire ; le touriste profane.
– L'adulte intelligent est celui en lequel perdure l'enfant et meurt le jeune homme.
– À la tyrannie de nos supérieurs il ne nous est pas impossible de résister ; mais la tyrannie de nos égaux est irrésistible.
– Avec qui n'est pas un peu lassé de tout, il ne vaut pas la peine de dialoguer.
– La sexualité, si l'on en croit certaines confidences, tiendrait plus du châtiment que du mécanisme de reproduction.
– La vieillesse du jeune rebelle, comme celle des reines de beauté, n'est pas exempte de pathétique.
– La séparation de l'Église et de l'État peut convenir à l'Église, mais elle est funeste à l'État parce qu'elle le livre au pur machiavélisme.
– La prolifération des parasites est appelée croissance du secteur tertiaire de l'économie.
– Ceux qui nous confient douter de l'immortalité de l'âme ont l'air de croire que nous tenons à ce que leur âme soit immortelle.
– Celui qui ne croit pas aux miracles croit à des balivernes.
– Aussi longtemps qu'on ne le prend pas au sérieux, celui qui dit la vérité peut survivre dans une démocratie. Ensuite, la ciguë.
Ayant appelé Courteline à la rescousse, voici ce qu'il propose aujourd'hui :
RépondreSupprimer"Il est évident que la femme peut égaler l'homme en niaiserie, mais à l'homme seul revient la gloire d'être à l'occasion la Brute, dans toute l'abomination et dans toute l'étendue du terme."
En l'honneur des belles allitérations de Maître Goux, qu'à nos dimanches distilla...
RépondreSupprimerEt j'aime assez cet aphorisme :
"L'adulte intelligent est celui en lequel perdure l'enfant et meurt le jeune homme."
Prions afin que ce silence de deux jours n'ait pas été causé par une hernie des méninges !
RépondreSupprimerPfff...
SupprimerMille excuses, jazzman, mais je n'ai pas réussi à trouver mieux !
SupprimerMais qu'importe votre : "Pfff..." ! Comme me l'expliquait un de mes jeunes amis : "Avec les femmes c'est comme avec la mayonnaise, quand elle a pris, on peut tout se permettre !"
Je ne suis pas certain qu'on puisse tout se permettre avec la mayonnaise.
SupprimerJe ne saurais dire car je n'ai jamais monté une mayonnaise de ma vie !
SupprimerPersonne n'a encore eu l'idée d'évoquer Véronique et Davina, dans Gym Tonic ?
RépondreSupprimerBon...je sors...pardon Didier !;)
Oui, et bien ça ne va plus du tout.
RépondreSupprimerMoyennant ce paresseux copié-collé d'aphorismes dont on commence à comprendre la mécanique (au point que nous pourrons en faire bientôt qui seront impossibles à distinguer de ceux du Maître), on se retrouve du dimanche à jeudi sans billet de vous.
Il est vrai que je deviens assez fainéant, ces temps derniers. Mais je n'ai guère envie de pondre un billet sur chaque livre que je lis…
SupprimerD'autant que vous ne sauriez vous mettre en concurrence avec Odette et Nana !
SupprimerUn peu de politique, alors ? Voyez Nicolas Jégou, qui ne cesse de nous expliquer l''inutilité et la stupidité des réseaux dits sociaux sur lesquels il passe son temps !
SupprimerJ'ai perdu complètement le peu d'intérêt que j'éprouvais pour la politique : la certitude de notre mort m'étant désormais acquise, les modalités de l'agonie me laissent à peu près indifférent.
SupprimerEt puis c'est pratique, votre billet de dimanche dernier va pouvoir servir aussi pour dimanche prochain.
SupprimerJe n'oserais jamais faire ça : j'aurais trop peur que personne ne s'en aperçoive…
SupprimerAttendez-vous à des remontrances de Barbara Bonsaï. Enfin dès qu'elle aura publié son article mensuel d'octobre.
RépondreSupprimerContre vents et marées, tout le monde est là, au garde à vous, en attendant la suite !
RépondreSupprimerNOTE DE SERVICE :
RépondreSupprimerLe Big Brother "Open_ID" d'AOL a décidé que je ne m'appellerai désormais plus Alain Bar mais d5969c70-7155-11e6-b88b-7fdb8d0ec081 .
Après tout pourquoi pas... Il y en a bien qui s'appellent Merdive ou Marie-Clafoutis ...