Alors, là, pour une première, on a évolué dans le grandiose. Hier soir, après avoir traversé Levallois dans les deux sens pour aller récupérer le pantalon acheté à midi, je me suis retrouvé à la terrasse de L'Ambiance, avec Brice, pour écluser quelques mousses (pas beaucoup ; moins que Nicolas, en tout cas). Puis, comme le Brice en question était attendu chez lui, il est parti. Du coup, moi aussi, bien que non attendu. Sur le trajet, j'ai dîné d'un sandwich dit "mixte", comprenez jambon-emmental (pas mauvais, bizarrement : vrai jambon, vrai fromage et surtout vrai pain). Ensuite de quoi, j'étais au lit à 9 h 20 très précisément.
Bien entendu, ce matin, j'étais parfaitement éveillé dès six heures et demie. Et, à huit heures, sur la terrasse de la place Pompidou, alors que les cravates-chemisettes chipotaient sur leur croissant et leur crème, j'attaquais au pâté-cornichons, arrosé d'eau-qui-pique. Virile, l'ambiance, non ?
Bien entendu, ce matin, j'étais parfaitement éveillé dès six heures et demie. Et, à huit heures, sur la terrasse de la place Pompidou, alors que les cravates-chemisettes chipotaient sur leur croissant et leur crème, j'attaquais au pâté-cornichons, arrosé d'eau-qui-pique. Virile, l'ambiance, non ?
Ah bé oué, c'est pas le tout d'avoir la garçonnière, faut faire son garçon maintenant.
RépondreSupprimerEt avec le paté, un croissant?
Des bizettes, je me ferais du crin blanc si j'étais Catherine, vous devenez un bad boy.
Un ballon de côtes du Rhône n'aurait-il pas été plus approprié avec le paté cornichon?
RépondreSupprimerDidier : j'ai pensé à vous mercredi soir, sur la terrasse de Bastard, noyé dans mon verre de Tariquet !
RépondreSupprimerOlivier p, je suis un peu de votre avis.
Le ballon de côtes à huit heures du matin ? Plus la santé...
RépondreSupprimerPluton : vous êtes allé à Plieux ?
Mélina : j'aime pas les croissants !
De là à pratiquer l'autolyse au perrier dés potron minet...
RépondreSupprimerPourtant, un croissant camembert, c'est fameux !
RépondreSupprimerJe vous le dis l'air de la ville vous fait le plus grand bien, vous n'êtes pas une fille de la campagne !
RépondreSupprimeriPidiblue de ceux qui font le trottoir avec plaisir
On voit bien que vous avez le bourdon au milieu de vos papillons et vos libellules ...
RépondreSupprimeriPidiblue mais quelle mouche l'a piqué ?
Oui Didier, nous étions à Plieux mercredi, reçus par Mme Lloan, le Maître étant en Angleterre. Il faut bien le grand menu Bastard pour rester dans la ligne du fonds Marcheschi !
RépondreSupprimerP.S : pas vu le hibou...
Pluton : je pense que RC a dû virer le hibou depuis lulure (vu son inefficacité prévisible...).
RépondreSupprimerMoi aussi j'ai bu du Perrier, une fois.
RépondreSupprimer@Nicolas
RépondreSupprimerEt ça fait quel effet?
Aucun. Ca fait partie de la recette de la Mojito.
RépondreSupprimerC'est les bulles qui font bobo la tête...
RépondreSupprimer(À mon avis.)
Un avis d'expert ?
RépondreSupprimerMoi j'ai fait un cent mètres après avoir bu une bouteille de Perrier mais je courais trop vite, j'ai été disqualifié !
RépondreSupprimeriPidiblue privé de podium par la faute à pas de chance
Voyez Didier, des sommités le confirment, le Perrier a des effets secondaires.
RépondreSupprimerEssayez l'EPO ( Eau-Pastis-Olives) .
La première manifestation tangible (certes douloureuse) c'est qu'il vous pousse des tongs, mais après, vous jouez à la pétanque en écoutant les cigales, place Thierry Pompidou, comme Avenue Georges le Luron.
Ce que je dis est rigoureusement et scientifiquement prouvé!
C'est éminemment intéressant tout ça.
RépondreSupprimerVivent les blogs.
Bêcheuse anonyme !
RépondreSupprimeriPidiblue place des fêtes bowling center
Pluton: du Tariquet, du Tariquet... J'ai consulté le Net pour savoir ce que c'est.
RépondreSupprimer(bande d'ivrognes, mauvais garçons!)
Je n'y connais rien du tout en vins, mais j'aime les noms de vin, les étiquettes, la façon dont les gens en parlent. Surtout les hommes d'ailleurs. Dès qu'un homme commence à parler de vin, hop, un autre répond avec dans le ton quelque chose d'aimable, de copain (covin ?) Rien que d'en parler à trois, hop, on entend presque le tintement des verres, il y a dans le ton la gourmandise de celui qui va déguster la première gorgée, et le dialogue devient trinquage. Je ne vois pas souvent les femmes se mêler de cette eucharistie.
RépondreSupprimerSuzanne
Suzanne, méfiez-vous : le lyrisme vous guette...
RépondreSupprimerHips !
Ce n'est pas le lyrisme ce sont les hommes qui la guettent au tournant ...
RépondreSupprimeriPidiblue profiteur de faibles femmes
Quelle folle soirée effectivement et parisienne en plus.... On ne nous dit pas tout à nous autres - ceux des banlieues et autres petites villes !!! On ne nous dit pas tout.
RépondreSupprimerEn plus Suzanne qui pense que les femmes n'apprécient pas le vin... étonnant... et pour faire dans le lyrisme dont parle Ddier Goux, je vais vous citer le début de ce texte que je trouve dix-vins....
Une bien belle histoire :
C'était il y a quelque temps, au bal de la "Nuits St Georges,
que j'ai rencontré la petite Juliénas,
Une fille drôlement Gigondas,
Un sacré beau Meursault bien charpentée,
et sous sa robe vermillon un grand cru classé,
avec des arômes de cassis et de fraises des bois.... etc... etc...
Et pour Nicolas j'ajouterais ceci,
il me semble que dans "le jeu de dames breton" les pions sont remplacés par des petits verres "pleins" de préférence...
alors avis aux amateurs...
Anonyme: je ne dis pas que les femmes n'apprécient pas le vin, mais que les conversations ballon de rouge pâté cornichon sont des trucs de gars. Enfin, de ce que j'en vois. Je ne connais pas non plus tous les gars, ni toutes les femmes, il y a des femmes sommeliers, je sais.
RépondreSupprimerJe cherche dans ma mémoire de lectrice des textes écrits par des femmes, des passages de livres (de polars, c'est l'été) qui te donnent envie de boire, de faire tourner entre les doigts une bouteille montée de la cave, une sans étiquette (la cuvée du patron, vous savez bien). Joli moment quand le verre, sous l'effet de la condensation, s'emperle d'une petite sueur qui dégouline en rigoles s'il fait chaud à la terrasse. (oui, Didier, le lyrisme c'est MAL, tant pis). Je pense aussitôt à des tas de polars de mecs (Ah, ADG et ses Gris de Loire que Pépère tirait du fleuve où ils raffraîssaient au bout de leur ficelle) mais aucun nom d'auteurE ne me vient à l'esprit.
Euh, à part ça, vivement l'automne.
Suzanne
J'ai fait un petit tour des blogs des gens qui écrivent ici. Mélina Loupia, j'ai essayé de laisser un commentaire sur le vôtre, sous le premier article.pas de réponse possible. ja suis allée essayer de répondre sous le deuxième, ça me copie des tas de lignes de code. Bref. Votre blog m'a fichu le cafard, je n'y retournerai plus. Je n'ai pas compris le coup de gagner du fric avec son blog et les articles sponsorisés. C'est vous qui écrivez l'article et des sous tombent dans une boite quand on clique sur le lien ? Je trouve ça pire que naze, cette pub qui semble se moquer d'elle même, ces conneries de façons de céder avec clins d'oeils autobienveillants aux injonctions de ces conneries de marques de fournitures scolaires et ce, dès la fin juillet à peine. Vive la vacance du bon sens, de l'intelligence, de tout de tout. Il faut déjà subir quand on allume une télé, une radio (ouf, pas France-Culture). Je boycotte d'office de genre d'hommesandouicherie, la presse gratuite financée par "nos annonceurs".
RépondreSupprimerVous avez réussi à me filer un petit cafard.
Suzanne
Tout ça c'est des menteries ..; filles et garçons c'est la même chose Suzanne !
RépondreSupprimeriPidiblue spin-doctor
Non je voulais dire Suzanne filles et garçons c'est du pareil au même ça vaut rien du tout ! Il n'y a que les anges avec leurs petites ailes qui soient corrects dans la vie !
RépondreSupprimeriPidiblue au pays des anges sans queue
Si, si si, je le vois ce verre qui s'emperle d'une petite sueur et, zut alors, je salive déjà.
RépondreSupprimerQuant au ballon de rouge pâté cornichons, c'est un truc de mec assurément, mais bon :
si le pâté était breton,
et le pain fait maison,
dirais-je non !!!!!
Le ballon de rouge du matin : quand même pas, j'en conviens.
Pas de nom en signature, pourquoi?
Un énigme pour Nicolas...
Mais l'est très fûté,ce gars-là
L'a déjà son idée n'est-ce-pas.
l'a sûrement deviné...
Une bretonne exilée...
hein ?
RépondreSupprimerNicolas,
RépondreSupprimerFais un effort !!!!!
Que diable !!!!!
@ Ipidiblue... gardienne d'anges...
RépondreSupprimerDes anges avec leurs petites ailes,
corrects dans la vie !!!!
Serais-je déjà au Paradis ???
je veux bien qu'un anonyme me parle, mais si c'est pour me demander un effort...
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