jeudi 10 février 2011

Et en admettant même…

Personnellement, je ne déteste pas plus les étrangers que mes voisins. Je suis même fort satisfait des contacts épisodiques et brefs que je puis avoir avec les uns comme avec les autres. En revanche, non seulement j'apprécierais peu que le voisin en question vienne s'installer dans mon salon – façon Abdallah dans Tintin – sous prétexte que ma maison est plus confortable que la sienne et mon frigo mieux rempli, mais je finirais par me fâcher et devenir méchant s'il se mettait dans l'idée de faire également venir son beau-frère, qui habite la rue suivante, ses cousins qui vivent dans le village d'à côté, et sa vieille mère qui dépense une fortune pour sa maison de retraite. Et il aurait beau être poli, aimable, voire prévenant, mon voisin, ça ne changerait rien à l'affaire.

C'est une chose qui m'a frappé, hier, en lisant certains des commentaires ayant atterri sur ce blog ces derniers jours – je parle de ceux qui concernent mes billets musulmanofuges. Il y est très souvent question de délinquance, de criminalité, d'incivilités, etc. Certains commentateurs pointent la lourde responsabilité de nos frères exogènes dans l'augmentation d'icelles ; d'autres aussitôt reprochent aux premiers de manipuler de simples faits divers dans des buts idéologiques (car chercher à sauver du naufrage ce qui pourrait l'être encore, cela s'appelle un but idéologique).

Tout ce petit monde semble donc considérer que le problème (ou le non-problème…) ce sont les immigrés délinquants. Or, non, pas du tout. Le problème, comme l'a parfaitement vu et simplement dit Brice Hortefeux il y a déjà quelque temps, c'est le nombre de migrants qui se déverse chaque année sur le sol de France. (Nombre qui se trouve bien sûr aggravé, surmultiplié, par la radicale et hostile étrangèreté de l'islam à l'encontre de tout ce qui n'est pas lui, mais ce n'est finalement qu'une question annexe, presque un point de détail.)

En admettant même que les musulmans renoncent à récriminer à tout propos, à bloquer les rues les soirs de prière et à exiger des mosquées à chaque tournant de rue ; en admettant même qu'ils adoptent les jolis principes de la laïcité d'un cœur bondissant de gratitude ; en admettant même que leurs enfants renoncent à bolosser les nôtres au nom du respect qu'ils estiment leur être dû ; en admettant même que, du jour au lendemain, on ne rencontre plus que des souchiens estampillés dans les prétoires des tribunaux et les cours fermées des maisons d'arrêt ; en admettant même qu'ils deviennent radicalement autres que ce qu'ils sont aujourd'hui, il n'en resterait pas moins qu'assister à la colonisation de quartiers, de villes et sans doute bientôt de départements entiers serait encore un fait inacceptable – tout comme il semble inacceptable aux Tibétains d'être progressivement minoritairisés sur leur propre terre, et pour des raisons à peu près semblables.

Bien sûr, il serait plus facile de vivre au milieu de musulmans athées que de crypto-jihadistes ; d'étrangers s'appliquant à nous ressembler plutôt que nous reprochant à grands cris de ne pas devenir assez vite comme eux. Mais ça ne réglerait rien. Parce que le fond du problème, la vérité ultime, c'est que nous ne voulons pas devenir musulmans, nous n'avons aucun désir de nous africaniser – nous n'avons même pas tellement envie de les avoir chaque jour sous les yeux, et chaque jour plus nombreux que la veille.

Simplement parce que nous sommes encore capables de marquer la différence essentielle qui existe entre un invité et un monte-en-l'air. D'autant que le cambrioleur, lui, généralement, essaie au moins de ne pas troubler la quiétude de ceux qu'ils dépouille. Surtout s'il opère de nuit.

128 commentaires:

  1. Et oui !
    C'est pour ça que c'est une chance d'avoir un pays qui ne pratique pas l'intégration et l'assimilation, que la dernière chose à espérer c'est une politique de droite qui anéantirait les chances de "collapse" en réduisant le nombre d'excités. (je pars du principe qu'un "collapse" est bien plus probable qu'une politique de droite qui se mettrait à émigrer nos pépites par ferry).

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  2. En admettant.. blah blah: tiens vous faites de la science-fiction maintenant ???
    et , by the way, un musulman n'est jamais athée.. mais cela va de souâ; bien sûr... Geargies.

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  3. Oui.
    Rien, absolument rien à retrancher.
    Meci de dire si justement les évidences.

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  4. C'est un billet qui a au moins le mérite de l'honnêteté. Il est évident pour ma part que je me fous que les français de souche soient mis en minorité, ne l'étant pas - loin s'en faut, hélas. Que fera-t-on des ritaux réfractaires ? Charter aussi ? Moi qui n'aime pas l'avion...

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  5. " Il est évident pour ma part que je me fous que les français de souche soient mis en minorité, ne l'étant pas - loin s'en faut, hélas. Que fera-t-on des ritaux réfractaires ?"

    Mon Dieu.... Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...

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  6. Oui vous avez raison, mais le problème est que vous ne pouvez pas avoir raison, vous aurez donc tord. Nous n'en sommes plus là où vous le décrivez. Le problème est que de toute façon l'on ne vous demande pas votre avis. Et que vous le vouliez ou non, il est prévu de vous remplacez. D'ici vingt ans, selon certain démographes , les Français de souche, seront minoritaires. Comme aux Amériques, avec un peu de chance, vous pourrez espérer que l'on vous mette tel un indiens dans une réserve , mais Il y a aussi la possibilité que l'on décide de vous supprimer. Ce jour là, vous remercierai tous les acteurs de ce joli film d'indiens : tous les gouvernements qui se succèdent à la barre depuis la fin de la guerre, vos gouvernants actuels et les suivant s'en battent comme de l'an quarante et sont les organisateurs de ce grand remplacement, les américains qui ont imposé leur système multiculturaliste, leur culture, leur américan Way of life au sortir de la guerre. Le Medef qui pensent que vous coûtez trop cher, la Gôche et la Droîte et même bientôt le FN qui rejoint petit à petit tout ce monde là. Aujourd'hui la bourse de New York a annexé un peu plus celle de Paris. Nous n'avons plus de souveraineté sur notre territoire, sur notre économie, sur notre culture. La cabane est tombé sur la tête du chien qui dormait. Aujourd'hui le chien pense qu'il se réveille, alors qu'il n'a pas compris qu'il est mort.

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  7. Attention le Savonarole de la pureté blanche, j'ai nommé XP, vient d'arriver.
    Peut-on imaginer une seule seconde un monde uniquement peuplé de XP
    Bon, Dieu, non, vive la diversité!

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  8. Oui, XP, c'est le vôtre aussi. Il est à nous tous et nous sommes tous à Lui.

    C'était une remarque potache, je le concède. Hier, j'ai failli écrire que toute cette question de l'Islam n'était qu'un prétexte et qu'à ce titre, il se trouvait sur ce site un bon gros paquet d'hypocrites. Au moins, Didier, cette accusation ne peut vous être faite. Carine a aussi fait son "coming out". C'est très bien, tout est plus clair désormais.

    Vous aurez toujours de la délinquance, des quartiers de merde, des analphabètes crasse, mais vous les aurez blancs, européens et c'est ce que vous voulez. Cela a le mérite d'être clair. Puisqu'on est encore sous le règne de la démocratie, vous avez le droit de tenir cette position comme d'autres ont le droit d'en tenir de contraires.

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  9. "D'ici vingt ans, selon certain démographes , les Français de souche, seront minoritaires."

    Ah ben voilà, ma remarque potache n'a pas manqué sa cible. La souche, ah, la souche, ou le racisme botanique. C'est beau.

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  10. XP et Pierre,

    Laissez donc Dieu en dehors de cela.

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  11. "Laissez donc Dieu en dehors de cela."

    Mais pas touche à allah et Cie, chameliers en gros, "chez mahomet", maison de confiance ?

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  12. En plein délire, le pauvre Dorham. Je connais un bon médecin qui passe quelquefois ici…

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  13. Non, je ne délire pas. D'ici 20 ans, les Georges seront minoritaires. Cela se fête !

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  14. Suis-je bête. Les Georges seront minorité dans la minorité. Votez pour Georges et pour une population française réduite à celle de l'Ile de Ré !

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  15. L'Ile d'Elbe, c'est mieux encore.

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  16. "Vous aurez toujours de la délinquance, des quartiers de merde, des analphabètes crasse, mais vous les aurez blancs, européens et c'est ce que vous voulez." (Dorham)

    Euh... non. Si vous vous privez des populations qui apportent avec elles la délinquance et l'analphabétisme, si vous vous privez de ceux qui créent leurs propres "quartiers de merde" en chiant dans leurs ascenseurs et en jetant leurs couches usagées par la fenêtre, si vous vous privez de ceux qui apportent avec eux la pauvreté, l'excision, la polygamie, la consanguinité, les maladies mentales consécutives, le viol comme arme de guerre ethnique, le Sida, la tuberculose et la gale (pour ne mentionner qu'une faible partie des "bienfaits" de l'immigration actuelle), il va de soi que vous ferez reculer radicalement tous les fléaux sus-mentionnés.

    De même que vous les avez fait exploser en ouvrant les portes aux populations en question.

    C'est évident, mais c'est trop simple pour qu'un Degauche le comprenne.

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  17. Dorham : vous pouvez continuer à jouer au Rital d'opérette, mais vous risquez de vous apercevoir un de ces jours, que vous êtes français-de-souche, que vous le vouliez ou non.

    D'autre part, en effet, il est préférable de laisser Dieu en dehors de tout cela. Mais la religion c'est plus dur.

    Encore d'autre part : l'islam n'est pas un prétexte, c'est une circonstance hautement aggravante. Personne n'en a après les Chinois (sauf peut-être les musulmans justement) parce qu'ils se tiennent tranquilles. Mais si demain ils arrivent à représenter 10 % de la population, à occuper des villes presque entières et, en outre, à exprimer très clairement le mépris que leur inspire les 90 % restants, alors là, en effet, ils commenceront à poser un problème important, tout musulmans qu'ils ne seront pas.

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  18. Tiens ! Dorham a raison.

    Je passe là pour m'abonner aux commentaires, on devrait rigoler.

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  19. La République de Noirmoutiers ! ça a de la gueule, non ?

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  20. Et maintenant, voilà Nicolas qui se croit à l'abri parce qu'il est Breton de souche…

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  21. À tous : je suis au boulot, lequel arrive en rang serré sur mon bureau. Donc, je laisse les commentaires ouverts à tous les demandeurs d'asile qui viendront à passer, mais je m'absente pour quelques heures.

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  22. Didier,

    J'ai dit que c'était potache (ou d'opérette, très bien, ça...). Je le sais bien que je suis français. La France est mon pays et je me contrefous de l'Italie.

    Pour certains, je maintiens que c'est un prétexte. Les racistes d'autrefois n'avaient plus le droit de l'être parce que c'était MAL ! Ils ont heureusement l'Islam pour revenir à leurs premières Amours.

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  23. Tortttttttttttttttttt.
    On tord un bras, on a tort.
    Bordel.

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  24. Marchenoir,

    Je ne vais pas débattre avec vous. Juste une chose, la première et la dernière. La Pauvreté est un état qui fabrique d'elle-même ces phénomènes. En 20 ans, vous aurez recréé ce que vous croyez avoir détruit.

    Voyez ce que sont les cités de Naples où il n'y a que des européens. CQFD.

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  25. Nicolas est à l'abri parce que le Jour Sanglant, il sera au café, comme tous les jours.

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  26. Pour ma part j’ai un autre point de vue (pour une fois) que le maître des lieux.
    Ce qui me gène n’est pas tant la quantité que la qualité de ceux qui s’accumulent en France.
    Le changement ne me déplait pas en tant que tel mais parce qu’il n’apporte aucune amélioration. Je verrais arriver avec plaisir des milliers de bouddhistes qui pourraient selon moi apporter un enrichissement culturel ici et aider les souchiens à acquérir plus de sagesse.
    Bref je ne trouve pas notre civilisation parfaite au point qu’il ne faille plus toucher à un de ses cheveux, par contre je me désespère de la voir tondue.

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  27. "Marchenoir,

    Je ne vais pas débattre avec vous."


    ***

    J'adore les mecs qui commencent par dire ça, puis qui s'empressent de "débattre", dès la ligne suivante. D'ailleurs, je n'ai rien compris à vos salades.

    C'est quoi, la Pauvreté avec un P majuscule ? C'est une divinité ? Vous avez inventé une nouvelle religion ?

    Vous pensez que la pauvreté crée l'excision et le viol ? Vous pensez que la pauvreté est une bonne chose ? Vous pensez que c'est malin, dans un pays sinistré par le chômage, d'ouvrir les portes à des tomberaux de pauvres analphabètes qui vont s'empresser de s'inscrire à l'aide sociale ?

    Vous pouvez me citer un seul avantage, un seul, de l'immigration de masse telle que nous la connaissons en Europe ?

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  28. Mais enfin, Dorham, quel rapport pouvez-vous bien voir entre ce qui se dit ici et un quelconque racisme Il est question de ne pas accepter l'invasion, même progressive, de son pays par des étrangers, et qui plus est des étrangers aux mœurs radicalement différents des nôtres (pour ne pas dire antagonistes…). Nullement de savoir si ces étrangers nous sont supérieurs ou inférieurs ou égaux, ce qui, à mes yeux, n'a aucune espèce d'intérêt ni de sens.

    Je veux même bien, tenez, que l'on décide que l'homme africain est par nature et de toute éternité supérieur à l'homme occidental (c'est le credo des gauchistes, ceux-là même qui n'ont que le mot racisme à la bouche). je suis prêt à le reconnaître publiquement moi-même si on me le demande courtoisement. Mais ce n'est pas pour autant que j'aurai le moindre désir de voir des millions de ces hommes supérieurs venir s'installer dans des régions, des villes et des villages où, depuis des siècles, vivent et travaillent des hommes inférieurs qui me ressemblent.

    Cessez donc de venir constamment buter contre ce racisme en grande partie fantasmagorique.

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  29. Depuis une vingtaine d'années, maintenant, le Kremlin-Bicêtre est envahi par une horde d'au moins un Breton (mais un gros) qui a fait main basse sur la clientèle d'au moins trois bistro.

    Cette invasion est lamentable.

    Moi-même, quand je vais à Loudéac avec ma voiture immatriculée 94 je passe pour un envahisseur Parisien qui conduit comme un cochon et boit plus qu'un Breton moyen.

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  30. Nicolas : ce que vous n'avez jamais avoué, c'est qu'à chaque fois que vous tentez d'envahir Loudéac, on vous colle direct, et pour tout le week-end, dans un camp d'internement et de transit.

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  31. Si c'est juste de vivre avec des gens qui vous ressemblent qui vous intéresse, pourquoi pas... Je ne vois pas en quoi ce "besoin" - car ce n'est qu'un besoin et qu'un besoin n'est pas justifiable - devrait devenir une règle.

    Du reste, chercher à ne vivre qu'avec son semblable, c'est évidemment du racisme. Un racisme moins bas du front que celui de Pakounta, je vous le concède mais une forme de racisme quand même.

    Du reste, cette affirmation d'une dissemblance, je suis désolé de vous le dire a énormément fluctué. Elle a commencé par y inclure tout ce qui n'était pas français, puis tout ce qui n'était pas européen et désormais tout ce qui n'était pas blanc. Qu'est-ce qui nous garantit de ne pas revenir à la ressemblance originelle ? Rien, évidemment, c'est ouvrir la boite de Pandore que de céder sur cette question.

    Vous redevenez hypocrite après avoir cessé un instant de l'être puisque vous ne justifiez pas cette volonté d'être entre semblables. Vous la déjustifiez même en prétendant que l'Islam, la délinquance ne constitue finalement qu'un "point de détail" (oh, smiley) de la question. Vous ne le justifierez pas autrement dès lors qu'en affirmant que cela est bon, tout du moins pour vous, et que donc, la présence de dissemblables vous est néfaste.

    Si ce n'était guère qu'un sentiment, comme ça, en passant, cela aurait encore moins d'intérêt Didier.

    ---

    Marchenoir.

    "Pourquoi êtes-vous pauvres ?" - William T. Vollmann.

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  32. Remarquez, je peux vous répondre par oui ou par non, on ne vas pas s'en priver.

    Vous pensez que la pauvreté crée l'excision et le viol ? OUI

    Vous pensez que la pauvreté est une bonne chose ? NON, mais elle est inévitable.

    Vous pensez que c'est malin, dans un pays sinistré par le chômage, d'ouvrir les portes à des tomberaux de pauvres analphabètes qui vont s'empresser de s'inscrire à l'aide sociale ? Miss France dirait sans doute NON mais c'est parce que quelqu'un lui a soufflé la réponse.

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  33. Quand il éructe ainsi, Marchenoir, on dirait que de la fumée sort par ses naseaux.
    Il fait peur, il n'a pas beaucoup de compassion, sauf pour lui, pas très catholique ce type!

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  34. Mais enfin, Dorham, qui vous a parlé de BLANCS ? Et surtout, où avez-vous pêché que tous les Français seraient semblables ? Et on quoi le fait de vouloir vivre avec telle personne plutôt que telle autre serait lié à un quelconque racisme ? Ça devient de la démence pure, à ce stade !

    En fait, je crois commencer à discerner pourquoi les gens de votre génération (et a fortiori de celle qui suit) sont à ce point obsédés par la race, le racisme, etc. C'est que vous n'avez jamais connu autre chose que le règne de l'antiracisme idéologique. De même que vous avez plus de mal à voir l'invasion puisqu'elle était déjà commencé lorsque vous êtes venu à la conscience.

    En fait, vous êtes un peu semblable à ces gamins français nés vers 1936-37 : à sept ou huit ans, ils ont dû être très surpris de voir partir ces Allemands qui avaient toujours été là, de découvrir que les tickets de rationnement n'avaient pas été créés sous Charlemagne, etc.

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  35. Très bien : qui est votre semblable alors ? Pas blancs ? Pas européens ? Soyons précis, ou pragmatiques. Il faut être gros ? (ça, franchement, c'est un coup bas, quelle petite salope ce Dorham !)

    (et je ne suis pas obsédé par la race, je n'en parle jamais, c'est l'occasion en quelque sorte qui fait le larron)

    Du reste, ce que je reproche à l'antiracisme n'est pas l'antiracisme en tant que tel : mais son moralisme procédurier. C'est ce que les cons en ont fait, je ne suis pas responsable d'eux. Il n'en reste pas moins que le racisme est une déviance morale.

    On pourrait retourner le problème dans l'autre sens. Moi qui suis trentenaire et qui connais la France telle qu'elle est, avec ses défauts et ses qualités, ne vous en déplaise (et vous aimez tous la France à part ça), pourquoi voudriez-vous que je consente à ce que vous la rameniez à ce qu'elle était quand vous, vous étiez jeunes ?

    Je suis désolé mais plus vous intervenez, plus votre propos gagne en nébulosité.

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  36. C'est que je travaille en même temps (c'est pourquoi j'avais dit que je fermais Firefox, du reste…) et que je ferais mieux d'en rester là.

    De toute façon, dès que ce sujet revient sur le tapis, j'ai toujours cette impression un peu déprimante que vous et moi parlons de choses tout à fait éloignées l'une de l'autre et dans deux langues différentes.

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  37. "Du reste, chercher à ne vivre qu'avec son semblable, c'est évidemment du racisme." (Dorham)

    Bien entendu. Et c'est pour cela que tout le monde est raciste.

    C'est aussi pour cela que le racisme, non seulement n'est pas un penchant condamnable, mais est un sentiment naturel et positif, je dirais même : une inclination indispensable à la perpétuation de l'espèce humaine, et à la survie des civilisations.

    Tout comme l'instinct sexuel.

    L'instinct sexuel déréglé donne le viol, mais il ne viendrait à l'idée de personne de nier qu'il est une condition indispensable à la vie.

    Le racisme déréglé donne Auschwitz, mais, curieusement, personne (sauf la totalité des peuples non occidentaux, quand ils sont entre eux) ne nie qu'il est une condition indispensable à la vie.

    Victoire éclatante d'un demi-siècle de propagande.

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  38. "Gros, c'est une race, maintenant ?"

    Nan, mais gros et frisé, oui.

    ---

    Didier,

    C'est fort possible. La discussion sur blogs, faut dire aussi que ça ne facilite pas les choses. C'est bien de la merde les blogs, tiens !

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  39. Il fallait évidemment lire :

    Le racisme déréglé donne Auschwitz, mais, curieusement, personne (sauf la totalité des peuples non occidentaux, quand ils sont entre eux) ne reconnaît qu'il est une condition indispensable à la vie.

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  40. Marchenoir,

    Vous dites enfin un truc intéressant. Votre proposition initiale est vrai. Tout le monde est raciste, intrinsèquement raciste. Et ce que vous en déduisez est sans doute ce qui fait fracture dans la philosophie.

    Deux façons de voir les choses : soit consentir à ce que l'on est ; soit lutter pour le distordre. Laisser faire ou vouloir.

    Deviner quoi ? Je fais partie de la deuxième école. Deviner quoi ? J'ai trop lu les Evangiles. Deviner quoi ? Si j'étais le seul et que vous en rêveriez tous de me massacrer : cela me serait égal.

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  41. Si j'étais le seul et que vous rêveriez tous de me massacrer : cela me serait égal.

    (il y avait un "en" en trop)

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  42. Le plus étonnant (et, promis, après ça je ferme ma gueule) est que tout le monde a toujours applaudi à tout rompre tous les mouvements de décolonisation de par le monde. Or la décolonisation, qu'est-ce donc, sinon le retour à une vie entre soi, entre semblables ? Le fameux "la valise ou le cercueil" du FLN, qui a déclenché l'enthousiasme de la gauche française alors, qu'est-ce que c'était d'autre ?

    Et si vous écoutez bien certains leaders progressistes antillais, vous n'entendrez pas autre chose non plus.

    Bon, cette fois, c'est vrai : je me tais.

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  43. « Vous pensez que la pauvreté crée l'excision et le viol ? OUI »

    AMEN.

    (Ce type est un dément.)

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  44. "Marchenoir, vous dites enfin un truc intéressant." (Dorham)

    Dites plutôt que vous venez enfin de comprendre quelque chose à ce que je dis.

    "Si j'étais le seul et que vous en rêveriez tous de me massacrer : cela me serait égal."

    Euh... en fait, non. Vous n'avez rien compris.

    "Deux façons de voir les choses : soit consentir à ce que l'on est ; soit lutter pour le distordre. Laisser faire ou vouloir."

    Voilà l'essence de la folie communiste : penser que l'on peut forger l'homme nouveau. Penser que la politique doit consister à modeler la nature humaine, et non à la favoriser, à l'organiser, à accompagner son développement.

    Folie qui a, toujours, conduit aux pires massacres.

    "J'ai trop lu les Evangiles."

    Vous les avez fort mal lus. Le christianisme ne tente pas de transformer la nature humaine : il en tient compte.

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  45. Bien sûr qu'il en tient compte. Et je ne dis pas le contraire. Vous êtes monté sur roulettes ou quoi ?

    Plutôt que de porter un jugement sur mes capacités de déduction, ainsi que de lecture (les miennes sont du reste avalisées par les "autorités" puisque je suis un converti et que tout converti a le droit à deux années (estimation basse) d'examen de passage, y compris auprès de l'Evêque de son Diocèse (ce sur quoi je vous dis "merde")) vous devriez revoir votre logique de base.

    On ne peut demander à quelqu'un d'être meilleur que ce qu'il est sans prendre précisément en compte ce qu'il est et sa capacité intrinsèque à être meilleur que ce qu'il est. Ce qui fait la beauté du christianisme, c'est qu'il ne définit pas seulement l'homme par ses faiblesses mais par ce qui en lui, émanant de l'Esprit Saint, peut lui permettre de se convertir.

    Si le christianisme met le pardon au-dessus de toute chose, il n'en demande pas moins aux êtres humains d'être en quête de sainteté. C'est donc vous qui n'avez rien compris.

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  46. D Groux : on vous refait le coup du "racisme"; ils n'ont toujours pas compris que racisme et immigration sont deux problèmes différents…Qu'importe. Au fond il doit leur manquer Le Pen à tous les Dorham et autre anti racistes de salon, les bien pensants et autre télé évangélistes. Ils n'ont plus leur "Diable" et doivent se sentir orphelin. Bouhhhh, ça leur fait des "frayeur" bouhhhhh, hé, venez nous rejoindre du côté obscur de la force…!!! (hihihi)
    quant à la diversité, je vous rassure, il n'y en aura pas. Tout le monde aura la même couleur et pas une tête ne dépassera…

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  47. Evidemment, Dorham, si votre version du christianisme est celle qui roule pour le bisounoursisme de gauche et les conneries de "l'ouverture à l'Autre"... on va pas s'entendre.

    M'enfin, si vous avez les papiers tamponnés par votre évêque, hein...

    Je suppose que pour ma part, je dois être un sanpapié... Mais au fait... les sanpapié n'ont-ils pas toujours raison, dans c'pays ? En particulier pour l'Eglise ?

    Je suppose que c'est la race des sanpapié qui fait la différence. Dans la plus parfaite orthodoxie anti-raciste, bien entendu.

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  48. "il n'en demande pas moins aux êtres humains d'être en quête de sainteté"

    1/ C'est d'un orgueil complètement insensé
    2/ La sainteté, ça consiste à vivre toute sa vie en ayant la trouille des "jeunes" qui sortent le couteau pour une clope ou un regard, à voir tout le temps des tronches qu'on n'a pas envie de voir, à croiser des enfoirés déguisés et prosternés sur des tapis, à payer l'entretien de millions de bons à rien qui nous chient dessus ?

    C'est hélas ce que j'ai compris de l'essence du christianisme (se faire chier sur terre pour être béat sous les asticots), la pire catastrophe qui soit arrivée à l'Occident depuis qu'il existe, c'est à dire une bonne quinzaine de milliers d'années.

    Signé : bas du front
    Et n'oubliez pas que dans Dorham, il y a ham et que c'est pas halal.

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  49. Le Pen me manque en effet, Julie, il était parfois drôle, ce que vous n'êtes pas.

    ---

    Marchenoir,

    Hélas, il n'y a pas de "versions" différentes du christianisme. Sur certains points, les Evangiles sont tout ce qu'il y a de plus clair. Et oui, bien sûr, ce message transcende les races, les cultures, les classes et bien entendu, les nations. Vous espériez que le Christ voulait dire autre chose. Et bien non.

    ---

    Pakounta,

    Vous êtes un âne de compétition, mon garçon. Ce prétendu orgueil - qui est en fait une aspiration mais je pense que vous aurez du mal à comprendre ce mot - a conduit une femme comme Soeur Rosalie Rendu à faire des choses dont pas un seul d'entre nous ne serait capable ; et ce n'est qu'un exemple parmi des milliers.

    Ce même "orgueil" en poche, vous ne seriez même pas la rognure d'ongle de son orteil.

    Quant à votre blague miteuse sur mon pseudo...

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  50. C'est ça, bonhomme, aspire !

    Pov garçon ! Abulbique.

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  51. "Carine a aussi fait son "coming out". C'est très bien, tout est plus clair désormais."
    Ah? J'ai dit quelque part que j'étais lesbienne?
    Sinon, de quel coming out s'agit-il?
    Comme c'est supposé être le mien, j'aimerais bien être au courant !

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  52. "Il n'y a pas de 'versions' différentes du christianisme." (Dorham)

    Encore un déni flagrant de réalité. Le refus de voir ce qui est sous votre nez.

    Le christianisme de Mgr Gaillot, c'est évidemment le même que celui de Bernard Antony.

    Le christianisme du pasteur noir raciste d'Obama, c'est évidemment le même que celui de Benoît XVI. Clair.

    Remarquez, vous croyez aussi qu'on peut forger l'homme nouveau. Tout est cohérent. Vous êtes dans l'esprit du totalitarisme.

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  53. La Crevette : merci, mais garez-vous des shrapnels !

    La tranchée est juste çà votre droite : il reste des haricots à la tomate et de la gnôle…

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  54. Je ne vois pas pourquoi chaque billet de Didier Goux amène autant de contradiction et de contradicteurs, surtout. Ils battent le rappel?
    Depuis le temps, ceux qui fréquentent ce blog doivent commencer à savoir comment il pense, non?
    Alors pourquoi cet acharnement à vouloir sans cesse amener la carambouille?
    Soit on aime ce qu'il dit et on lui dit.
    Soit on n'aime pas et on lui dit aussi.
    Mais à mon sens, cela ne sert plus à grand chose de se rentrer dedans avec autant de hargne.
    Chacun sait qui pense quoi et basta. On ne se convaincra pas.
    Pas la peine de parler de "coming out" .
    Man Dieu ^^

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  55. Didier, il n'y a rien eu de progressif dans l'arrivée des chinois au Tibet. Ils ont commencé par en tuer 1.200.000 puis ont continué plus lentement mais sûrement, en stérilisant les femmes au besoin. Ils sont juste moins pressés que ne l'étaient les nazis.
    Votre rapprochement entre les tibétains et nous me paraît peu probant, car les arabes n'ont pas détruit nos églises, nos musées, nos universités, nos monuments aux morts et ils ne nous interdisent pas d'avoir chez nous une photo de monsieur Sarkozy. Ils n'empêchent pas nos enfants de parler français à l'école, bien que nous y ayons obligé quelques-uns de leurs grands-pères.
    Bref, le Tibet c'est pratique mais pas pour faire peur des Hollandais, des Anglais, des Portugais, des Espagnols et des Italiens qui nous ont "envahis" avant les actuels immigrants européens de l'Est et les africains. Et je ne parle pas des chinois : quand on commence à avoir peur d'eux c'est trop tard.

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  56. Moi qui avais tendance à traîner partout sur les blogs, ya un moment où j'ai fait mes choix.
    Je ne vais plus dire zut chez céleste ou Irène ou C°. Je ne vais pas chez CSP parce que je ne vois pas l'intérêt.
    D'autres feraient bien de faire de même.
    Mais bon, c'est une conception du (dé)blogage, on a le droit d'en avoir une autre.

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  57. Marchenoir,

    Vous n'êtes pas dans le déni, vous...non... Je pourrais m'amuser à citer certains passages des Evangiles et vous me direz : mais non, restons racistes, c'est ce qu'a voulu dire le Christ.

    Quant à votre couplet : "vous êtes un totalitaire", il ne prend pas sur moi. C'est absolument sans effet. Foutez-moi donc tout le communisme sur le dos, ça m'est absolument égal. Tout ça, c'est de la vieille technique d'ancien combattant. De l'extrême-droite pignouf.

    ---

    Carine,

    A certains, je ne lance aucun obus. Il me semble que bien que n'étant pas d'accord avec Didier, je devise avec lui plutôt calmement...et puis...désolé de vous le dire, vous n'êtes pas le plus parfait exemple de maîtrise de soi.

    ---

    Bonhomme, mec, type, on m'aura tout fait aujourd'hui...

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  58. "Je pourrais m'amuser à citer certains passages des Evangiles et vous me direz : mais non, restons racistes, c'est ce qu'a voulu dire le Christ." (Dorham)

    Oh vous savez, moi je ne prétends pas être Son attaché de presse... Je ne prétends pas qu'il y aurait une seule interprétation du christianisme, et que ce serait la mienne... sans me donner la peine de la préciser, d'ailleurs...

    Votre attitude me paraît plus islamique que chrétienne, en fait.

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  59. Mais moi, j'aime bien la dernière remarque de Didier, tiens ! Donc, dans vingt ans - je ne serai pas trop vieux - avec quelques hommes résolus, je vais pouvoir fonder un parti clandestin qu'on nommera FLN, et on égorgera l'un ou l'autre type dont la tête ne nous revient pas, avec sa famille pour faire bonne mesure, et surtout les bébés, on aura des types qui nous soutiendront en portant des valises, toutes les grandes consciences de Gauche loueront notre juste combat, nous serons les progressistes luttant pour un monde plus juste, nous... Aaah ! vivement dans vingt ans.

    Célestin

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  60. Excellent billet mon Cher, excellentissime poil à gratter... et quel effet !!!!

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  61. Et on fera du boudin Célestin, rendez-vous compte, un apéro géant au boudin wouahhhhh !!!!

    Pluton légiste

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  62. Communiste, islamiste, votre discours mité ne cherche qu'à discréditer l'adversaire. Hélas, sans succès. Vous savez quand même qu'il y a un catéchisme, Marchenoir... Ceux qui l'ont écrit sont sans doute des islamistes. Et les gonzes du Concile de Nicée : des islamistes aussi.

    Vous êtes un comique, Marchenoir, un comique méconnu mais qui vaut le détour.

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  63. J'imagine le prêtre se radiner devant ses fidèles : "je vais interpréter l'Evangile de ce jour, mais je peux me tromper, hein, vous pouvez essayer la Paroisse d'à coté si vous voulez, bon, je sais que c'est bancal, mais on va essayer quand même, si vous avez des objections, n'hésitez pas à lever la main"

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  64. "Je vais interpréter l'Evangile de ce jour, mais je peux me tromper, hein, vous pouvez essayer la Paroisse d'à coté si vous voulez, bon, je sais que c'est bancal, mais on va essayer quand même, si vous avez des objections, n'hésitez pas à lever la main."

    Et pourtant, les fidèles choisissent leur paroisse. Ou leur Eglise. Quand ils le peuvent.

    Même les prêtres le font. Des pasteurs anglicans viennent de rejoindre l'Eglise romaine en groupe. Mais c'était sûrement parce qu'ils trouvaient plus seyante la couleur des habits sacerdotaux...

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  65. "Votre attitude me paraît plus islamique que chrétienne, en fait."

    Je vous renvoie à votre haine du dissemblable qui de fait me semble parfaitement convenir à celle qui caractérise parfois l'Islam. C'est vraiment l'hôpital qui se fout de la charité. Oui, vraiment, je vous relis d'une traite avant de vaquer à d'autres occupations et je vous trouve d'un comique parfait.

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  66. Par contre, le catéchisme, vous n'en dites rien, hein... Mieux vaut passer outre, en effet, Marchenoir...

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  67. Quand même. ...comment ça se fait que Dorham ne s'est pas encore rendu compte que français et italien, c'est la même chose mais que le reste.... et bien c'est le reste...
    Geargies.

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  68. Marchenoir,

    Vous abordez les questions oecuméniques, c'est autre chose. Les catholiques, s'ils respectent les autres traditions, n'affirmeront jamais que la leur vaut celle des autres. Encore une fois, au risque d'être un peu insistant, la religion catholique est basée sur un credo, un catéchisme. Il s'agit d'avoir la foi et de penser sincèrement que cette interprétation est la bonne et qu'il n'y en a pas de meilleures, et donc, ne soyons pas hypocrites, pas véritablement d'autres.

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  69. Geargies,

    Vous irez en parler à ma grand-mère hein, j'ai piscine. Du reste, j'ai dit plus haut que je me sentais en réalité tout ce qu'il y a de plus français.

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  70. Bon, ben, les gens, je vous laisse entre vous, bien au chaud, j'ai réellement piscine. Bisous ensoleillés, tout ça.

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  71. Dorham:
    "désolé de vous le dire, vous n'êtes pas le plus parfait exemple de maîtrise de soi."
    Ah ? Merci de me prévenir.
    Je ne pensais pas que l'on me percevait comme une espèce d'hystérique en crise.
    Je me trouve plutôt patiente, courtoise et gentille, moi. Surtout maintenant que j'ai trouvé le prout qui résume tout quand je commence à bouillir.
    Vous devriez essayer Dorham ! L'essayer c'est l'adopter…
    La rage, ce n'est pas moi.
    Les cris de haine ne sont pas mon fait non plus. En principe, je les reçois plutôt. Suivez mon regard, dirigé vers vous et vos ami(e)s.

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  72. "Je vous renvoie à votre haine du dissemblable..."

    Mon Dieu, quelle boursouflure...

    J'aime les femmes... et pourtant elles appartiennent au "dissemblable", vu de ma fenêtre.

    J'aime les Etats-Unis... qui sont fort différents de la France, il me semble.

    J'aime le camembert... et je ne ressemble pas à un fromage, je vous l'assure.

    "Le catéchisme, vous n'en dites rien..."

    En effet. J'essaie de ne parler que de ce que je connais.

    "Les catholiques, s'ils respectent les autres traditions, n'affirmeront jamais que la leur vaut celle des autres."

    Ah, d'accord... Tout à l'heure, on parlait du christianisme. D'un seul coup, vous nous dites que pour vous, christianisme signifie catholicisme. Qui est-ce qui parlait de "haine du dissemblable" ?

    Au demeurant, les divergences sont également profondes entre catholiques. Nonobstant votre petit livre rouge -- euh, pardon, catéchisme.

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  73. Dorham, mon canard,

    Je me demande pourquoi tu continues à argumenter avec des gens qui représentent moins de 1% de la population et qui ne savent qu'exprimer leur supériorité (à part Carine qui ne sait qu'exprimer son infériorité) et n'ont aucun argument valable, hors de cette sphère de 1%. Qui est considérable, ils se proclament supérieurs. Des pitres.

    Le seul qui te répondre réellement est Didier, le taulier.

    Tu fais une étude sociologique ?

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  74. "Des gens qui représentent moins de 1% de la population" (Nicolas)

    On parie ?

    > Référendum sur l'immigration

    > Référendum sur l'islamisation

    C'est quand vous voulez. Majorité pour le non fingers in ze nose.

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  75. Bob,

    Tope là ! Les intellos réactionnaires n'intéressent personne.

    Le referendum d'initiative populaire n'étant pas dans la constitution, vous feriez mieux de débattre de l'exercice de la démocratie en France avant de proposer des referendum sans aucun sens.

    "Referendum d'initiative populaire". Ah merde ! J'ai dit une connerie.

    Prenez 1% sur tous les sujets et essayez de parler avec Sarko qui a prétendu, ce soir, que la santé est gratuite en France.

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  76. "Le referendum d'initiative populaire n'étant pas dans la constitution, vous feriez mieux de débattre de l'exercice de la démocratie en France avant de proposer des referendum sans aucun sens."

    Je vois... les opposants à l'immigration et à l'islamisation représenteraient d'après vous 1 % de la population... comme l'indique à l'évidence le référendum suisse sur les minarets... mais cela n'aurait aucun sens de faire un référendum sur ces questions... cela dit "je ferais mieux de débattre de l'exercice de la démocratie en France"... ce que je viens de faire en réclamant un référendum sur ce sujet... que vous trouvez dépourvu de sens.

    Vous êtes un immense démocrate, Nicolas. Et un logicien hors pair.

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  77. Bob,

    Z'êtes un immense démagogue et c'est admirable. Je parlais uniquement de votre posture intellectuelle qui ne représente strictement rien.

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  78. Bob,

    En envoyant ces derniers commentaires, je n'avais pas vu le dernier billet de billet où il appelle à la paix.

    Les désirs du taulier étant des ordres...

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  79. Nicolas : entendez-vous signifier, en l'appelant « Billet », que Didier Goux est, ainsi qu'il l'a du reste lui-même maintes fois proclamé, véritablement pété de thunes ?

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  80. Chieuvrou,

    Pas du tout ! Je suis moi-même tellement plus pété de tunes que lui que c'est honteux qu'il soit le réac et moi le gauchiste.

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  81. (ceci dit sans pignolage, en tant que gauchiste, je m'en fous du pognon, à part piquer celui des riches, enfin ceux plus riches que moi).

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  82. Robert Chemisenoir, c'est que je suis catholique voyez-vous, donc les autres chrétiens, je les aime bien, je les respecte hein, je ne leur en veux pas ni rien, mais bon, je pense qu'ils sont légèrement à coté de la plaque.

    Sinon, peut-être les aurais-je choisi car j'ai eu la chance de pouvoir choisir ma confession.

    Ce qui m'étonne chez vous, c'est votre faculté à tirer des conclusions en les prenant pour des réalités. En ce sens, vous êtes bien d'extrême-droite. Et les totalitaires, mon cher, c'est aussi et surtout là qu'ils se cachent (car le communisme est aujourd'hui mort, faut se réveiller là).

    Vous parlez de divergences chez les catholiques. Je ne sais pas de quoi vous parlez. Les choses sont simples, tous ceux qui ont souhaité faire dissidence ont été foutus dehors. Benoit XVI leur a tendu la main, mais pour qu'ils reviennent réellement, il faudra qu'ils fassent amende honorable. Dans l'attente, ils continuent de se monter la cègue dans l'Eglise qu'ils occupent illégalement.

    Ensuite, l'Eglise, passé l'essentiel, est composée de personnalités différentes. Encore heureux que l'on puisse exprimer un avis différent, non pas sur ce qui fait le fondement de notre Foi mais sur ce qu'il convient de faire pour permettre à cette même Eglise de reprendre du poil de la bête. Sur ce sujet, c'est bien sûr les générations plus que les doctrines qui s'affrontent.

    Vous ne connaissez pas le catéchisme. C'est dommage, ça se lit vite et cela exprime très bien l'interprétation autour de laquelle se réunissent tous les catholiques. Ils n'y adhérent pas seulement, ils en sont les garants et les témoins. Bien entendu, ils n'édicteraient pas un catéchisme en pensant que cette interprétation en vaut bien une autre : ce serait là le comble de la sottise. Mais vous pouvez comme ça jouer au plus fin (ce que vous serez loin d'être en toute finalité) pendant des lustres, et rebondir fallacieusement sur un quart de ce que j'écris en étant satisfait de vous-même (on se satisfait de peu), et finalement, comme vous l'avouez vous-même, parler de ce que vous ne connaissez pas vraiment.

    ---

    Nicolas,

    Oh, ben, tu sais, de temps en temps, ça dégourdit les jambes.

    ---

    Carine,

    Il y a très souvent un écart entre ce que l'on pense de soi et ce que traduit la réalité. Dans tout dialogue, on récolte un peu de ce que l'on amène. Si vous cristalisez l'agacement, c'est aussi parce que vous le provoquez à la longue chez l'interlocuteur.

    Une petite séance d'autocritique ne vous ferait pas de mal. Je vous assure, pratiquée à doses raisonnables, c'est très sain et vous n'êtes même pas obligée de vous renier.

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  83. @ Dorham: vous avez de la chance de parler avec votre grand mêre, chez moi avant moi, tout le monde est mort, je suis de la génération, donc qui s'avance vers... Geargies

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  84. Géargie, passé le choc d'être la prochaine génération qui va mourir, je suis contente de faire rempart de mon corps à celles qui me suivent, mes enfants et petits-enfants. Ils ne le savent pas, pas encore, mais c'est très rassurant d'avoir encore quelqu'un entre soi et la mort.

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  85. Geargies, ça oui, c'est une chance. Vous avez raison de dire qu'aujourd'hui, il n'y a plus de grandes différences entre italiens et français. Ils sont en effet dans le même bain et confrontés aux mêmes problèmes et s'opposent pareillement sur les manières de les résoudre.

    Des grands-mères, j'en ai encore deux et mes deux grands-pères sont morts. Je n'ai pas connu l'un d'eux. L'autre est mort il y a un peu plus d'une dizaine d'années et c'était l'homme le plus simple et le plus doux que j'ai connu.

    L'histoire d'une de mes grands-mères est édifiante. Ma grand-mère maternelle, la seule française de souche de la famille, née à Avallon. Quand elle épousa un immigré sarde, toute sa famille lui tourna le dos, et ses deux enfants très mate et aux cheveux très sombres subirent un racisme particulièrement virulent de la part de certaines des tantes et oncles. (et je ne parle pas de la cour d'école)

    Quand elle intégra la belle-famille sarde, ma grand-mère fut sans doute tolérée, pas davantage, puisque lorsque son mari mourut sans prévenir d'une rupture d'anévrisme, lui laissant deux enfants de 5 et 6 ans à élever seule, la famille sarde prit également ses distances.

    A la lumière de cette histoire, qui n'est au fond qu'une histoire et qui n'a peut-être pas valeur d'exemple, on peut bien vite se rendre compte que le racisme est une donnée fluctuante. Qui peut être dépassé, par chacun.

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  86. Par contre, Geargies, le hic avec les vieux, c'est qu'ils sont bien souvent taiseux. Ils sont avares d'enseignement. Ils veulent oublier. Je ne peux pas leur en vouloir mais cela crée un manque. Je m'imagine vieux, j'espère que mes petits-enfants, si Dieu me prête vie et me permet des les connaitre, auront envie de savoir et que j'aurais la force de leur raconter.

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  87. Demerde : vous êtes un menteur, et je n'aime pas les menteurs.

    Vous prétendez que je parle de ce que je ne connais pas. Je vous ai dit que je ne parlais pas de ce que je ne connaissais pas.

    Vous êtes un menteur et un salopard.

    Et sûrement pas un chrétien. Même si vous avez tous les papiers, tout bien tamponné comme il faut.

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  88. Dorham et Nicolas:
    Prout !

    Robert Marchenoir:
    Marions-les!
    Et nous, allons cultiver notre jardin.
    Laissons les crever de tout ce qui va les submerger.

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  89. Pas de rage hein Carine ? C'est quoi le féminin de pignouf ? Pignoufette ? Je pense que j'ai un avantage sur vous Carine : je cours très très vite. Vous serez sur le pas de votre porte avec votre Ak-47, je serais déjà loin, très loin. Si le piteux Armageddon que vous appelez de vos voeux se réalise un jour, of course.

    ---

    Marcheencanard,

    Me faire traiter de salopard par quelqu'un comme vous, c'est, comment dire, un délice des plus exquis. Venant de vous, toute insulte est un compliment. Quant à l'accusation de mensonge, vous n'avez pas de leçons à me donner je crois, avec votre petit pote Pakounta, vous pratiquez ce sport quotidiennement et sans aucune honte.

    Vous avez raison, je peine à être chrétien, comme tous, principalement pour ma part parce que je n'arrive pas à ne pas vous mépriser absolument.

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  90. Joli commentaire que celui de Catherine à 9h.35

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  91. Merci Marchenoir de défendre avec autant de bon sens le christianisme.J'avoue me sentir parfaitement en accord avec vos réflexions, moins avec le "catholicisme" de Dorham.

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  92. Dorham:
    "Vous serez sur le pas de votre porte avec votre Ak-47, je serais déjà loin, très loin."

    Voilà, tout est dit.
    Les "gens" qui prônent l'accueil tous azymuths et la gloire de l'Autre seront loin lorsque le chaos se fera grâce à l'Autre..
    C'est un aveu sincère dont je vous remercie Dorham.
    Après vous, le déluge, en bref.
    Vous aurez de toute façon les moyens d'y échapper.
    Ceux qui savent qu'ils devront rester ne sont peut-être pas de votre avis, voyez-vous…

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  93. Et personne n'est d'accord avec la conception du christianisme de Pakounta ?

    "[...]l'essence du christianisme (se faire chier sur terre pour être béat sous les asticots), la pire catastrophe qui soit arrivée à l'Occident depuis qu'il existe, c'est à dire une bonne quinzaine de milliers d'années. "

    Ben alors ?

    Carine: merci pour l'éclat de rire que m'a offert votre dernier commentaire.
    Vous voudriez que Dorham reste près de vous alors que vous seriez sur le seuil, le pointant avec un AK 47 ?
    quel pleutre, ce Dorham ! On vous l'a pourtant dit, dans la dernière réunion de cellule d'instruction de lutte armée contre l'envahisseur : SOIT vous tirez avec un pistolet à eau dans lequel vous aurez dissout du gras de rillettes, munie de votre masque de cochon breton ou de sanglier gaulois pour impressionner l'ennemi, soit vous défouraillez à l'AK 47. Mais il ne faut PAS tremper les balles de l'AK 47 dans le saindoux, non non non ! Le temps de démonter, de nettoyer le tout, de remonter, les Dorham et autres trouillards se seront fait la malle ! Ce n'est pourtant pas difficile à comprendre !

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  94. ... (lol)

    Gloire au maquis corse, Carine ! Je mangerais du saucisson en pensant fort à vous.

    Hélas, vous avez mal lu. Vous et vos compagnons avez du mal avec "l'implicite".

    Si je dis que je serais loin, ce n'est aucunement parce que je rechigne à me battre pour quoi que ce soit, mais parce que je rechigne tout à fait à me battre pour des gens comme vous. Que l'on se comprenne bien et je vais utiliser un propos définitif à dessein : vous l'aurez sans doute un jour votre guerre, parce que vous, comme vos ennemis, l'aurez cherchée.

    Vous pensez être des résistants, vous pensez avoir le monopole du courage. Attendons de voir, je parie que vous aurez des surprises, spécialement vous, qui me semblez malgré votre colère, particulièrement naïve.

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  95. Après la libération, il y aura de grands comités de la Françitude et il faudra faire gaffe à bien montrer patte blanche. Et que se passera-t-il ensuite : une bonne purge supplémentaire. Les Carines feront partie des premiers déportés. Elles resteront encore, dans leur cellule, convaincues qu'il s'agit d'une erreur administrative.

    Encore vingt ans et vous serez ce que vous honnissez : des communistes.

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  96. Suzanne,

    Le Cap Corse ressemble à la Bretagne avec du soleil. Je vous y emmènerait de force ou de gré.

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  97. Emmenée de force en Corse... Manquerait plus que ça !

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  98. Suzanne, Je vous promets que vous ne sentirez rien. J'ai un très bon ami pharmacien.

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  99. Merci Catherine. Oui, évidemment! D'autant que petit fils il y a ( un an avant hier ;-) geargies.

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  100. Suzanne, Dorham, Nicolas:

    Heureuse de vous faire autant rigoler.
    Riez aussi fort que que vous le pouvez, tant que vous le pouvez et soyez tous trois assurés de mon profond mépris.
    Tant de mauvaise foi crée chez moi un ennui irrépressible.
    J'ai autre chose à faire dans la vie que de me disputer en virtuel avec des andouilles, fussent-elles bretonnes ou corses.
    Vous pouvez tranquillement continuer à éructer sur ma petite personne, je m'en fous.
    Ou alors oubliez-moi et lâchez-moi les baskets.
    J'espère que c'est bien clair.
    Allez-y, il n'y aura pas de réponse.
    Bonsoir chez vous.

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  101. Ah, si seulement vous me faisiez réellement rire... Figaro disait qu'il préférait rire des choses plutôt que d'avoir à en pleurer. Et bien, je suis exactement dans la même logique.

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  102. Carine, Carine, voyons, ne voyez-vous pas le plaisir qu'il y a à être prise pour cible par de si augustes crétins, boursouflés et confits dans leur jus rance ? Vraiment, vous ne vous en rendez pas compte ? Mais ma chère, vous devriez en pleurer de joie ! Croyez-moi, ça ne vous arrivera pas si souvent et vous regrettez ce temps-là sous peu.

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  103. Ah ! L'indécrottable chevalier
    blanc qui vient à la rescousse de la seule personne qui le supporte encore...

    Et pourtant. Ca me rappelle les commentaires de ce billet de Didier. Le "31 juillet 2010 09:21".

    Tout ceci est à hurler de rire.

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  104. Pauvre carine, louche et à stigmates

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  105. Nicolas,

    Si tu cherches encore, tu trouveras pire. Ces gens-là sont amnésiques. Ces gens-là sont des pitres.

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  106. Des bouffe-la-rouille comme on dit dans mon village.

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  107. En fait, Georges a deux positions. La position "confit" et la position "déconfit". Il est comme un jukebox qu'on mettra bientôt au rebut, il fait tourner la même quinzaine d'adjectifs comme un leftblogueur. Georges, le "plus blogueur" d'entre nous. Qui s'en va et qui revient comme dans la chanson de Cloclo.

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  108. Georges
    je vous en laisse un peu, je suis partageuse.
    Cet abruti n'a pas encore compris qu'il n'y a que les gens comme lui qui sont butés et ne changent jamais d'appréciation sur les humains. Ca a le don de l'épater.

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  109. Une infirmière sur l'Ile d'Arz, dans Thalassa:
    "Je suis arrivée pour répondre à une annonce sur l'ile D'arz et quand j'ai mis le pied sur l'île, j'ai compris que jamais plus je ne retournerais travailler en Afrique".

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  110. "Cet abruti n'a pas encore compris qu'il n'y a que les gens comme lui qui sont butés et ne changent jamais d'appréciation sur les humains. Ca a le don de l'épater."

    Mouhahahaha !
    Alors là, c'est vraiment drôle ! Bravo !

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  111. Je me demande une seule chose : ce que cela fait à Didier Goux ("le taulier") de voir que "ses amis dans la vraie vie" (comme ne manque jamais de nous le rappeler l'auguste marchand de boissons alcoolisées) se conduisent comme des minables.

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  112. Je crois qu'il aime bien qu'on démontre que certains de ses commentateurs sont totalement ridicules. Ca le gênerait de le faire.

    Cela dit, Georges, je crois qu'il aimait bien, à une époque, quand vous envoyiez des piques dans la gueule de tout le monde.

    Maintenant, il doit s'en lasser.

    Parce que fréquenté par de tels trous du cul, hein !

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  113. Bon, quand tout le monde aura fini de penser et parler à ma place, j'essaierai peut-être d'en placer une…

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  114. Non Carine. Didier est venu siffler la fin de la comédie et il a fallu que vous interveniez. Tant de bêtise me dépasse franchement.

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  115. je me demande vraiment quel âge vous avez, pour être aussi infantile.

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  116. Dit elle en répondant à une de mes conneries.

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  117. Non, non, je ne siffle rien du tout, vous pouvez continuer mais… comment dire cela sans blesser personne ? Disons que depuis déjà un moment, je ne parcours plus les commentaires de ce billet que d'un œil très distrait… Presque fermé, en fait…

    Et mon retour au Brigade mondaine en cours (et en retard) ne va rien arranger à compter d'aujourd'hui. On va dire.

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  118. "Mouhahahaha !
    Alors là, c'est vraiment drôle ! Bravo !"

    ???
    Mais bon…
    Allez, amusez-vous bien. Atchao.

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  119. Carine,

    Faites relâche, c'est le week-end.

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  120. @Didier (qui ne lira pas)
    Un seul dernier mot sur le commentaire de Georges de 10h29 et je me tais:

    Les "amis dans la vraie vie" (comme dit l'autre, tout fier) du taulier n'ont de cesse de dégoûter et de chasser de son blog les commentateurs qui sont d'accord avec ce qu'il pense et dit.
    C'est à ça qu'on reconnaît les "vrais amis" ^^.
    Alors place aux calembours faciles, aux remarques qui ne mangent pas de pain, à l'humour à la Debouzze et surtout au mépris et aux insultes anonymes. la place est libre…

    Le mieux, c'est comme le dit Nicolas, que je dégrève Didier d'avoir à me dire de stopper:
    "Je crois qu'il aime bien qu'on démontre que certains de ses commentateurs sont totalement ridicules. Ca le gênerait de le faire."
    Je pense pour ma part que ce "on" et ce "certains de ses commentateurs" ne sont pas ceux que Nicolas croit, mais à défaut de mise au point, on peut tout supposer.

    Donc, place aux Pierre, Pecnaude, Nicolas, Dorham, Suzanne et autres "vrais amis". Et à ceux qui vous aiment bien sans avoir à en découdre jour après jour avec vos "vrais amis".
    Ce que je disais sur les gens qui ne changent pas d'opinion sur les uns et les autres fonctionne dans les deux sens: j'ai changé d'avis sur certains, en positif mais aussi en négatif.
    Bye

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  121. "l'humour à la Debouzze"

    Encore du racisme !

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.