La bidoche, c'est un truc de masculinistes imprégnés de culture du viol. Alors que les mignardises sucrées, c'est plus une affaire de pétasses frustrées.
(Inutile de me remercier pour cette analyse toute en nuances...)
Franchement Didier, vous commencez à me gonfler grave mes bonnes vieilles badadines-roubignolles (que je porte encore, malgré tout, comme d’autres leur légion d’honneur ou d’horreur) : il va falloir que je me replonge dans les journaux du capitaine Ernst Jünger pour savoir ce qu’il pense de Léautaud. Vaste programme, car de mémoire, ce fichu sale boche « Plus-Français-tu-meurs-à-Sedan-Maginot-de-Cologne » eut toujours une opinion dérangeante (ou pas) sur tout ce qui bougeait et pensait à son époque — et même beaucoup plus avant. Dans notre monde « actuel » et plus que jamais bordélique et paumé à chier, il serait sans doute urgent et sagace de relire ses journaux (en français, Christian Bourgeois éditeur), mais attention, beaucoup de pages peuvent causer des vertiges — comme au sommet d’une certaine falaise de marbre ou d’un autre côté d’un miroir (c’est une image hein !)… Bien à vous. Guillaume
Certes Didier, on a tous un chat à huiler ou une tondeuse à châtrer (ou vice-vertu, je n’ai ni chat, ni pelouse, désolé), mais les balades Kulturelles d’Ernst, officier allemand (et saine terreur d’aucun énervé moustachu) dans le Paris occupé de 1941-1945 valent vraiment le coup d’œil et change un peu pas mal de donnes. La relation d’un dîner (de cons ?) pacifique et frugal avec un peintre espagnol exilé et prénommé Pablo est des plus appétissantes (par exemple)… D’un autre côté (des miroirs aux alouettes) de l’Histoire, quoi. Guillaume
C'est fait. Je viens de lire le journal de Janvier, mais comme j'en veux toujours plus, auriez vous l'extrême amabilité d'écrire aussi celui de Catherine, le mois prochain ?
Tiens ! Je n'avais pas fait attention au titre de ce billet. C'est en rentrant à la maison puis en glandant que je l'ai vu dans mon lecteur RSS... J'avais tout de même respecté la consigne. Préventivement, sans doute.
Mon père était très friand de jeux de mots et ma mère est née à Laval : maintenant je me demande s'il a pensé au même calembour que vous et ça me dérange !
Quand on ne connait pas les lieux de naissance des mères de ses lecteurs dont le père est friand de jeux de mots, en tant que blogueur, on doit se remettre en cause.
Bon, en situation de petite taille ou pas, j’imagine que le pâté en croûte était lui en situation de monstruosité, toutes choses égales par ailleurs. Pourquoi Charlus a t-il des abcès à répétition ? Il fait peut être un peu trop le "toti" avec petit loup qui en retour lui rend des coups de griffes ? Hélène
Vous avez fait preuve en janvier dernier, une fois encore, d'une abnégation incommensurable en lisant des billets de professeurs tourangeaux sous X et de féministes de blouskaï. Cette abnégation s'est même doublé d'un courage inouï lorsque vous vous êtes mis à visionner des mini-séries wokes tout autant que canadiennes. C'est admirable et cela dois, je pense, édifier toute la jeunesse de Pacy et de ses environs. Il faut toutefois penser à vous ménager. Certes la lecture de Léautaud et de Jouhandeau peut vous apporter un peu de réconfort entre vos exploits, mais puisque que vous appréciez les mini séries, je voudrais partager avec vous celle-ci qui fait ma joie depuis deux jours: https://www.youtube.com/@lesfilmsalarrache828
Observation très juste concernant la répartition des femmes entre boulangeries et boucheries !
RépondreSupprimerJ'apprends que ces arnaqueurs via internet sont appelés des brouteurs : c'est un talent dont l'ex-future Mme Pitt n'aura même pas profité.
RépondreSupprimerMouarf !!!
Pour les brouteurs, je sais que c'est mal, mais j'ai pas pu m'en empêcher...
SupprimerLa bidoche, c'est un truc de masculinistes imprégnés de culture du viol. Alors que les mignardises sucrées, c'est plus une affaire de pétasses frustrées.
RépondreSupprimer(Inutile de me remercier pour cette analyse toute en nuances...)
Mettre une collerette au chien pour l'empêcher de bouffer les couilles du chat : voila l'enseignement de ce billet.
RépondreSupprimerJe n'avais pas fait le rapprochement, j'avoue...
SupprimerLes pauvres chevaux, les pauvres mulets, les pauvres chiens d'armées… on dirait moi. MOI
RépondreSupprimerJ'aimerais autant que les ressemblances s'arrêtent là !
SupprimerFranchement Didier, vous commencez à me gonfler grave mes bonnes vieilles badadines-roubignolles (que je porte encore, malgré tout, comme d’autres leur légion d’honneur ou d’horreur) : il va falloir que je me replonge dans les journaux du capitaine Ernst Jünger pour savoir ce qu’il pense de Léautaud. Vaste programme, car de mémoire, ce fichu sale boche « Plus-Français-tu-meurs-à-Sedan-Maginot-de-Cologne » eut toujours une opinion dérangeante (ou pas) sur tout ce qui bougeait et pensait à son époque — et même beaucoup plus avant.
RépondreSupprimerDans notre monde « actuel » et plus que jamais bordélique et paumé à chier, il serait sans doute urgent et sagace de relire ses journaux (en français, Christian Bourgeois éditeur), mais attention, beaucoup de pages peuvent causer des vertiges — comme au sommet d’une certaine falaise de marbre ou d’un autre côté d’un miroir (c’est une image hein !)…
Bien à vous.
Guillaume
Je dois avouer que, jusqu'à présent, mes relations avec Herr Jünger ont été fâcheusement épisodiques…
SupprimerCertes Didier, on a tous un chat à huiler ou une tondeuse à châtrer (ou vice-vertu, je n’ai ni chat, ni pelouse, désolé), mais les balades Kulturelles d’Ernst, officier allemand (et saine terreur d’aucun énervé moustachu) dans le Paris occupé de 1941-1945 valent vraiment le coup d’œil et change un peu pas mal de donnes. La relation d’un dîner (de cons ?) pacifique et frugal avec un peintre espagnol exilé et prénommé Pablo est des plus appétissantes (par exemple)…
SupprimerD’un autre côté (des miroirs aux alouettes) de l’Histoire, quoi.
Guillaume
Ni ses "Orages d'acier", ni ses "Falaises de marbre" ne m'avaient convaincu. Du coup, je m'étais arrêté là...
SupprimerLa pelouse, la chatte, la moustache, les bottes, en voilà un qui est mûr pour une psychanalyse
SupprimerEt si on sautait l'étape "divan" pour passer directement à l'exorcisme ? Quelle économie de temps et d'argent !
SupprimerC'est fait.
RépondreSupprimerJe viens de lire le journal de Janvier, mais comme j'en veux toujours plus, auriez vous l'extrême amabilité d'écrire aussi celui de Catherine, le mois prochain ?
Galatine.
Et celui du chien, pendant que j'y suis ?
SupprimerTiens ! Je n'avais pas fait attention au titre de ce billet. C'est en rentrant à la maison puis en glandant que je l'ai vu dans mon lecteur RSS... J'avais tout de même respecté la consigne. Préventivement, sans doute.
RépondreSupprimerC'était ma façon, discrète, d'annoncer la fin du "janvier sec"...
SupprimerMon père était très friand de jeux de mots et ma mère est née à Laval : maintenant je me demande s'il a pensé au même calembour que vous et ça me dérange !
RépondreSupprimerDésolé...
SupprimerQuand on ne connait pas les lieux de naissance des mères de ses lecteurs dont le père est friand de jeux de mots, en tant que blogueur, on doit se remettre en cause.
SupprimerLa remise en cause aura lieu publiquement, aujourd'hui même, entre 17h45 et 18h. Après quoi, un vin d'honneur sera proposé à l'aimable assistance.
SupprimerBon, en situation de petite taille ou pas, j’imagine que le pâté en croûte était lui en situation de monstruosité, toutes choses égales par ailleurs.
RépondreSupprimerPourquoi Charlus a t-il des abcès à répétition ?
Il fait peut être un peu trop le "toti" avec petit loup qui en retour lui rend des coups de griffes ?
Hélène
En fait, c'est le même abcès qui était revenu. Et Petit Loup était tout à fait innocent !
SupprimerVous avez fait preuve en janvier dernier, une fois encore, d'une abnégation incommensurable en lisant des billets de professeurs tourangeaux sous X et de féministes de blouskaï. Cette abnégation s'est même doublé d'un courage inouï lorsque vous vous êtes mis à visionner des mini-séries wokes tout autant que canadiennes. C'est admirable et cela dois, je pense, édifier toute la jeunesse de Pacy et de ses environs.
RépondreSupprimerIl faut toutefois penser à vous ménager. Certes la lecture de Léautaud et de Jouhandeau peut vous apporter un peu de réconfort entre vos exploits, mais puisque que vous appréciez les mini séries, je voudrais partager avec vous celle-ci qui fait ma joie depuis deux jours: https://www.youtube.com/@lesfilmsalarrache828
La Dive
M'en vas aller voir ça...
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