« Voilà 40 ans que le dragon médiatique nettoie les cervelles au nom de l'amour, de la tolérance et du pacifisme le plus niais. À tel point que nous n'avons même plus besoin d'éminences grises pour modeler nos pensées, puisque nous vivons le temps de la reprogrammation conceptuelle permanente du Spectacle par le Spectacle et des individus par eux-mêmes. Nous avons appris à laver nos propres cerveaux sans l'aide de personne. Nous avons appris à penser précisément ce qui est attendu, au moment où c'est attendu. À voter convenablement. Et à la mettre en veilleuse, consciencieusement, au cas ou les évidences se feraient trop pressantes à nos yeux. À nos vilains yeux, toujours réactionnaires.
« Si la question islamique est si fréquemment évoquée sur la réacosphère, c'est parce qu'elle symbolise à elle seule cette espèce de carrefour du pire où se croisent renoncement, lâcheté politique, aveuglement dogmatique, esprit munichois et déclin civilisationnel. La question islamique, c'est une synthèse. »
Court extrait d'un long et remarquable billet du toujours impeccable Hank. Lequel, dans le même, nous signale l'arrivée dans la blogosphère d'une très jeune femme qui me semble à ce point prometteuse que je l'ai immédiatement intégrée à ma blogroll.
Quant au titre que j'ai choisi, il fait référence à Nicolas qui, en commentaire de l'un de ses propres billets, parle de mes “délires racistes”.
Nous sommes tous des délirants, mes frères, sachez-le : rien de ce que vous voyez n'existe.
« Si la question islamique est si fréquemment évoquée sur la réacosphère, c'est parce qu'elle symbolise à elle seule cette espèce de carrefour du pire où se croisent renoncement, lâcheté politique, aveuglement dogmatique, esprit munichois et déclin civilisationnel. La question islamique, c'est une synthèse. »
Court extrait d'un long et remarquable billet du toujours impeccable Hank. Lequel, dans le même, nous signale l'arrivée dans la blogosphère d'une très jeune femme qui me semble à ce point prometteuse que je l'ai immédiatement intégrée à ma blogroll.
Quant au titre que j'ai choisi, il fait référence à Nicolas qui, en commentaire de l'un de ses propres billets, parle de mes “délires racistes”.
Nous sommes tous des délirants, mes frères, sachez-le : rien de ce que vous voyez n'existe.
En tout cas, je viens de me rendre compte d'une chose : Céleste, notre amie à tous, est amie avec Olivier Bonnet et son sabre au clair engagé.
RépondreSupprimerJe me marre.
Et ça vous étonne, que deux conformistes bêlants broutent dans le même pré ?
RépondreSupprimerEn fait, je trouve le sabre engagé au clair de la plume encore plus drôle que Céleste.
RépondreSupprimerCéleste a un côté sympathique, alors que l'autre est juste un grand couillon, comme dit ma grand-mère.
Didier,
RépondreSupprimerVous m'obligez à répondre puisque vous m'impliquez... J'ai parlé de vos délires racistes parce que vous mettiez en cause l'immigration dans quatre commentaires que vous avez fait avant hier, dont trois à mes billets.
J'aurais fait un billet sur la vente des choux fleurs vous auriez trouvé à expliquer que si elle baisse c'est à cause de l'immigration massive. Ce qui est peut-être le cas, mais on s'en fout.
En outre, pour ce qui concerne le billet cité, votre commentaire était d'une part insultant (mais, de ça, vous ne savez pas vous en rendre compte) et d'autre part, complètement à côté de la plaque.
Il est tellement convenu, tellement évident,tellement entré avec force dans le langage quotidien que le racisme, c'est caca pouah, non, mais ça va pas ce délire, que personne ne se pose plus la question : pourquoi c'est "pas bien" le racisme ?
RépondreSupprimerPar ailleurs, le racisme fait bien référence aux races, non? Je croyais qu'il n'y avait plus de races, que des ethnies ?
Bon, moi ce que j'en dis...
Dites, cher Didier, la photographie affichée figure le président de la République sur les Champs-Elysées juste après le défilé du Quatorze Juillet, ou bien le Chef de l'Etat en voyage pastoral à Lourdes ?
RépondreSupprimerEn vous remerciant.
Francis,
RépondreSupprimerVotre cliché sur les races et les ethnies est grotesque. Faites gaffe, Didier Goux aime bien relever les clichés.
Ben oui, c'est un cliché, et c'est grotesque. C'est précisément ce que je relevais. Je croyais que c'était évident...
RépondreSupprimerMais qu'est-ce qui fait croire à ce garçon que nos cervelles sont nettoyées, que nous ne savons pas faire la part des choses? Et puis a-t-il fait le compte des penseurs, des créateurs dans le camp qu'il pourfend et fait-il ce même compte dans le camp qu'il semble représenter? Il cite Murray, mais bon si l'on avait que Murray à se mettre sous la dent.
RépondreSupprimerOuh là là, ça ferraille dru et sec par ici, Didier.
RépondreSupprimerLa chaleur qui règne encore m'empêche de vous laisser un commentaire un peu sérieux (grand sujet oblige), je vous laisse pour le moment...
Faites excuse, les gens, mais là, j'ai à la fois des visiteurs et une invitée ! (Et, non, ce n'est pas une esquive...)
RépondreSupprimer"Mais qu'est-ce qui fait croire à ce garçon que nos cervelles sont nettoyées, que nous ne savons pas faire la part des choses?"
RépondreSupprimerRien. J'ai du rêver. Heureusement que vous êtes là !
Hank : nous avons rêvé ensemble, probablement. Je considère que c'est tout à mon honneur.
RépondreSupprimerNon, non, vous ne rêvez pas, vous cauchemardez.
RépondreSupprimerOuais, c'est ne question d'imagination. J'aurais du le voir tout de suite.
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