jeudi 22 décembre 2011

L'avalé des à-valoir


La différence essentielle entre un écrivain et son confrère en bâtiment : lorsqu'il a terminé un roman, le premier remet son ouvrage sur le métier ; le second se contente de le remettre à son éditeur.

13 commentaires:

  1. Ce n'est pas un BM ?

    (mon blog est ouvert)

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  2. L'écrivain en bâtiment ne cherche pas à faire une oeuvre impérissable: il fait bouillir la marmite.

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  3. Le principe est simple ils se lient chacun en un seul mot, la singularité de s'y confondre.

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  4. Sand c'est tout à fait ça.

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  5. Compte tenu de la censure que vous imposez scandaleusement, je place ici mon commentaire à votre billet suivent (nah!) :

    "z'avaient qu'à pas être orphelines !"

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  6. Faire bouillir la marmite est une œuvre impérissable…

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  7. Le Plouc : si j'ai fermé les commentaires du billet-annonce, c'est parce que je trouve plus logique qu'ils soient faits chez PRR plutôt qu'ici…

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  8. Le camarade Lev faisait dans le bâtiment alors, parce que son éditeur s'est vu remettre quelques manuscrits de belle épaisseur. Peut-être que ce moujik ne se relisait pas, ce qui expliquerait cela...

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  9. Ah ! J'aime bien ce billet. Il est vite lu.

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  10. Suzanne : oui.

    Yanka : en fait, c'est ce que je voulais répondre à un précédent commentateur : être un vrai écrivain n'empêche pas de penser aussi à la gamelle. (J'en connais au moins un…)

    Nicolas : je l'ai fait rien que pour vous. (Chabada bada, chabada bada…)

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  11. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  12. "... penser à la gamelle..."

    Vous l'avez fait exprès ? Force comique du propos ! Il y a des spécialistes du ratage, de la chute, du cul par-dessus tête, de la gamelle, quoi ! (j'en connais au moins un)

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.