dimanche 16 juin 2013

La grande misère du journaliste en chambre (ou en case)


Quelle mauvaise fée à mon berceau, quelle malédiction, quelle appétence névrotique pour l'argent ont pu faire que je me retrouve, 57 ans passés, occupant l'après-midi d'un dimanche de juin à écrire huit mille signes à propos de Zouzou le gentil renard ? Les services de recherche de Glouglou (discret hommage à Michel Desgranges…) vous diront tout ce qu'il y a à savoir sur cette bestiole qui, au demeurant, n'a rien demandé à personne : moi, il faut que j'y retourne…

17 commentaires:

  1. Tous mes encouragements pour mener à bien cette tâche. Elle est noble et nul doute que votre contribution au dossier déchirant de ce malheureux canidé qu'on tente d'arracher à l'affection de sa famille d'adoption saura influencer dans le sens de la clémence une justice trop souvent formaliste.

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    1. J'y travaille, j'y travaille… En pleurant à gros bouillons sur mon clavier, au risque de lui niquer sa race.

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  2. Allez cessez de geindre !
    Vous les connaissez par coeur les raisons qui font que vous passer cet après-midi de dimanche à écrire sur Zouzou qui, lui, a bien de la chance que vous lui consacriez huit mille signes.
    J'ai un très bon souvenir du jour où vous m'en aviez consacré quelques uns aussi (peut-être pas huit mille), mais où vous m'aviez donné mon nom.
    Ce sont des choses qui ne s'oublient pas.

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    1. Et encore, vous n'étiez pas, à ma connaissance, menacée d'euthanasie…

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  3. Dit-on euthanasie pour les animaux ?

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    1. D'abord Mildred n'est pas un animal (jusqu'à plus ample informé) ! Ensuite, la définition du Robert ne spécifie nullement qu'il faille faire une différence. Donc…

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    2. On dit pourtousse, l'euthanasie. Et hop, et qu'ça saute.

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    3. Robert Marchenoir16 juin 2013 à 20:59

      Hé, ho, j'ai rien défini du tout, moi...

      Je ne veux d'ennuis avec personne, je ne fais pas de politique.

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    1. Où ça, un lecteur, où ça ? Gardez-le moi ! Il est à moi ! Je le veux !

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  5. J'ai une pensée émue pour le gentil asinus de souche délateur, qui n'a pas manqué de faire son devoir de citoyen honnête auprès des autorités compétentes.

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    1. Il devait déjà dénoncer les renards juifs pendant la guerre de Vichy.

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    2. "La guerre de Vichy"? Première fois que je lis ça! D'habitude on dit "sous Vichy".

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    3. C'est un hommage discret à un blogueur aujourd'hui disparu (paix à ses blogocendres) : Balmeyer.

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  6. Ça vous donne l'occasion de relire les vieux numéros de la Hulotte.

    Ça me fait penser que j'ai vieilli. Avec le dernier numéro que j'ai lu ce week end chez ma mère, je reste sur ma fin à devoir attendre six mois pour tout connaître de la vie du Martin pêcheur.

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  7. Il a une bonne petite gueugueule votre Zouzou!
    Au boulot !
    Faites-en un prédateur fou...

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  8. Qu'est-ce qu'il m'a fait rire ce billet.... "zouzou".

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.