Je sens que cette jeune fille, si ce n'est déjà fait, ne va pas tarder à demander l'asile à Montcosson... Puisque vous revenez à votre Chef-d'oeuvre que, travail oblige, je lis à petits pas, mes premières impressions : - s'il fallait une comparaison, un pair, ce serait Simenon. - s'il fallait un metteur en scène, ce serait Chabrol. Mais encore une fois je n'en suis qu'au début, surement beaucoup trop tôt pour rencontrer Houellebecq.
Je suis d'accord pour Chabrol, un peu moins pour Simenon, notre héros est un peu trop nerveux, et l'ambiance est si contemporaine. Mais je ne suis qu'au début moi aussi, on verra la suite; mais je me marre, j'y reconnais tant de l'auteur, que je pourrais dire que c'est de lui sans même son nom sur le livre !
J'espère que vous avez fait le nécessaire pour que Hollande, entre deux Rafales, réussisse à fourguer votre roman en Inde ( 1,2 milliard d'habitants, tout de même.)
Elle en a de la chance! Je l'ai pré-commandé 2 minutes après le billet de l'hôte de ces lieux annonçant la sortie de ce chef d'oeuvre et je le recevrai "dans 2 à 5 semaines"...
je ne pense pas être très perspicace, mais je me demandais ce soir, en poursuivant ma lecture, si moi aussi je n'allais pas adopter une vie de blogueuse, histoire de de "me réapproprier pleinement ma vie " avec un nouveau "mode de vie privilégié" afin de " travailler à fond toutes mes facettes"
Votre Victoire me fait rire, et si elle existe, elle doit joliment se mordre les doigts de vous avoir rencontré. Vous me direz que sans doute, elle n'en verra rien,toute confite dans ses certitudes existentielles qu'elle est.
Je viens de le recevoir et de terminer le premier chapitre. "Bizarrement " ( comme dirait Jonathan ), je me suis retrouvé dans l'ambiance de "La nausée" (que je n'ai pas relu depuis plus d'un demi-siècle): ce type décalé dans une ville improbable... Mais, si ça se trouve, ce n'est pas ça du tout : au chapitre II, peut-être qu'il tuera un Arabe ( ça ne m'étonnerait pas de Didier Goux...), et que ce sera "L' étranger" , et pas Sartre..,
Faudra penser aussi à la conquête du Matin calme !
RépondreSupprimerJe manque un peu de contact, par là…
SupprimerJe peux vous arranger ça, j'y habite.
SupprimerJe sens que cette jeune fille, si ce n'est déjà fait, ne va pas tarder à demander l'asile à Montcosson...
RépondreSupprimerPuisque vous revenez à votre Chef-d'oeuvre que, travail oblige, je lis à petits pas, mes premières impressions :
- s'il fallait une comparaison, un pair, ce serait Simenon.
- s'il fallait un metteur en scène, ce serait Chabrol.
Mais encore une fois je n'en suis qu'au début, surement beaucoup trop tôt pour rencontrer Houellebecq.
Je suis d'accord pour Chabrol, un peu moins pour Simenon, notre héros est un peu trop nerveux, et l'ambiance est si contemporaine.
SupprimerMais je ne suis qu'au début moi aussi, on verra la suite; mais je me marre, j'y reconnais tant de l'auteur, que je pourrais dire que c'est de lui sans même son nom sur le livre !
Simenon, Simenon… Il faut que j'examine l'affaire…
SupprimerBravo !
RépondreSupprimerEt chez ce peuple d'élite rien ne m'étonne.
En l'occurrence, le peuple d'élite n'a eu que le mal d'ouvrir sa boîte aux lettres !
SupprimerMais qui est cette charmante qui a tant de goux, heu...de goût ! ;)
RépondreSupprimerL'épouse de mon filleul-neveu.
SupprimerLa présidente de mon fan club tokyoïte…
SupprimerVotre filleul-neveu ne manque pas de goût.
RépondreSupprimerAlain
Heu...oui ? C'est quoi le fan-club tokyoïte ?
RépondreSupprimerJe dois avoir raté quelque chose !
Comment ? Aucune critique favorable dans "Jeune Afrique", ni dans "La semaine littéraire de la femme musulmane" ? C'est un peu léger, jeune homme !
RépondreSupprimerJ'espère que vous avez fait le nécessaire pour que Hollande, entre deux Rafales, réussisse à fourguer votre roman en Inde ( 1,2 milliard d'habitants, tout de même.)
RépondreSupprimerAujourd'hui le Japon, demain le monde.
RépondreSupprimerSigné Cortex.
Elle en a de la chance! Je l'ai pré-commandé 2 minutes après le billet de l'hôte de ces lieux annonçant la sortie de ce chef d'oeuvre et je le recevrai "dans 2 à 5 semaines"...
RépondreSupprimerEt cette feignasse d'Amazon ne m'a toujours pas livré l'article jadis pé-commandé! Pfff...
RépondreSupprimerMoi je l'ai lu. Si vous voulez, je peux résumer.
RépondreSupprimerÊtes-vous certain d'avoir tout compris ?
SupprimerC'est pas sympa Elie de vous moquer de Nicolas !
RépondreSupprimerQuant à moi j'ai trouvé d'où vient Charlie, le fils de l'épicier arabe : tout droit des Empire des sectes.
Mais peut-être ne faut-il pas le dire ?
Comme je le disais précédemment, on retrouve Didier à chaque page du roman : un régal !
Belle perspicacité, bravo !
Supprimerje ne pense pas être très perspicace, mais je me demandais ce soir, en poursuivant ma lecture, si moi aussi je n'allais pas adopter une vie de blogueuse, histoire de de "me réapproprier pleinement ma vie " avec un nouveau "mode de vie privilégié" afin de " travailler à fond toutes mes facettes"
SupprimerVotre Victoire me fait rire, et si elle existe, elle doit joliment se mordre les doigts de vous avoir rencontré.
Vous me direz que sans doute, elle n'en verra rien,toute confite dans ses certitudes existentielles qu'elle est.
Une lecture qui s'engage bien donc !
Je viens de le recevoir et de terminer le premier chapitre.
RépondreSupprimer"Bizarrement " ( comme dirait Jonathan ), je me suis retrouvé dans l'ambiance de "La nausée" (que je n'ai pas relu depuis plus d'un demi-siècle): ce type décalé dans une ville improbable...
Mais, si ça se trouve, ce n'est pas ça du tout : au chapitre II, peut-être qu'il tuera un Arabe ( ça ne m'étonnerait pas de Didier Goux...), et que ce sera "L' étranger" , et pas Sartre..,