samedi 9 juin 2018

Qui connaît Paul Auster ?


Pas moi. C'est-à-dire que j'ai lu un roman de lui, La Cité de verre, il y a bien trente ans : je n'en garde aucun souvenir, pas même celui de l'avoir aimé ou non. Il fallait bien entendu remédier urgemment à cette ignorance : était-il possible de continuer à vivre comme si de rien n'était sans savoir qui est Paul Auster ? Poser la question était y répondre. 

J'ai donc mis deux livres de lui dans mon petit panier Amazon et je laisse reposer le tout jusqu'au 20 de ce mois, date où le compte “Visa” se remettra miraculeusement à zéro, et où l'on pourra de nouveau dépenser sans remords : on n'est pas plus budgétairement orthodoxe. Les deux romans sont un déjà ancien, Léviathan, et ce qui semble être le dernier paru, 4, 3, 2, 1, titre interpelant, on me l'accordera. Pourquoi deux ? s'interrogera-t-on peut-être. C'est une curieuse et assez stupide manie que j'ai, d'acheter presque toujours plusieurs volumes d'un coup des écrivains dont j'ignore tout, et au premier chef si leurs livres vont me plaire, ou au moins s'ouvrir, métaphoriquement parlant.

Mais je bavarde, je bavarde… L'objet de ce billet est d'en appeler aux plus cultivés d'entre vous, et que moi, qui auraient, eux, une connaissance plus approfondie de ce New-yorkais, ce qui n'est pas mettre la barre bien haut, on l'aura compris. Pour leur demander si, à leur autorisée opinion, j'ai bien fait de choisir ces deux romans-là. Et de me dire, dans le cas contraire, lesquels ils me conseilleraient plutôt, et pourquoi. On a donc jusqu'au 19 juin pour remettre sa copie.

Sinon, j'ai également mis dans mon panier un roman de Victor Segalen, mais c'est totalement hors-sujet.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.