vendredi 4 juillet 2014

Puis est arrivé le règne des serial mamans


C'est un procureur de la République qui s'exprime, le procureur d'Albi : « […] ce matin, une maman est arrivée avec un couteau et a poignardé devant les enfants une enseignante âgée de 34 ans pour une raison que l'enquête déterminera. »

Il y a déjà quelque temps que les mères ont commencé de se retirer devant la horde suavement menaçante des mamans. Au début, on n'y a pas pris garde plus que cela : il ne s'agissait, nous assurait-on, que de conférer un petit surcroît de douceur à la maternité, dans certains contextes particuliers. On y aurait presque cru, tant c'était dit gentiment…

La dernière digue vient donc de sauter : il n'y aura désormais plus de mères. (D'un autre côté, comme on faisait déjà tout le possible pour supprimer les pères, ces salopes réactionnaires d'un autre âge n'ont que ce qu'elles méritent.) Désormais, les mamans assumeront tous les rôles, y compris celui de poignarder les institutrices de 34 ans. On aura aussi des mamans “bien connues des services de police”, comme celle qui nous occupe ; des mamans placées en garde à vue tels de vulgaires présidents en retraite ; et ainsi de suite.

On guette avec une certaine impatience la première affaire dans laquelle un enfant aura été violé, découpé en morceaux, cuisiné et mangé en ragoût par sa maman : ça ne devrait pas trop tarder.

86 commentaires:

  1. Mon cher Didier,
    Vous avez bien choisi la maman sur votre photo, beau visage, d'une blancheur éclatante, mais pourquoi l'avoir vêtue d'une tunique berbère, cela sous entendrait il quelque chose?
    Amicalement,

    Bernard de Thailande

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    1. J'ai des lecteurs en Thaïlande, moi ???

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    2. J'en profite pour faire de la publicité pour ma dernière invention : le Logiciel Anti-Dérapage. Tout juste sorti de nos ateliers, il sera très utile aux blogueurs (surtout aux blogueurs de droite) : dès que le logiciel repère une amorce de dérapage susceptible de vous conduire devant un tribunal, il corrige en temps réel, substituant une prose parfaitement doxale et inodore au brouet infâme que vous aviez eu l'imprudence de laisser sortir de votre clavier. Vous ne vous rendrez compte de rien. Nous garantissons un résultat 0 condamnation. (Certifié par le CRIF, le CRAN, le MRAP et la LDH) Nous avons travaillé en étroite collaboration avec les meilleurs experts du moment, A. Caron et B. Roger-Petit. L'essayer c'est l'adopter. LAD, de chez Georges de La Fuly. En souscription pour les lecteurs de DG : seulement 498 euros !

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    3. En effet, c'est donné ! Vous devriez appeler votre truc ADS : anti-dérapage system.

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    4. Je me demande comment fait un débile comme Georges de La Fuly pour avoir accès à un clavier. Bon je ne voudrais pas avoir l'air désagréable sur un sujet aussi grave, il y a des enfants qui ont été certainement choqué mais je m'attend au pire avec l'arrivée de Corto.

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    5. Oh, Fred, mon tout petit… comme c'est émouvant ! Tu parles donc ? Tu t'exprimes ? Tu fais des phrases ? Tu prends la parole ? Mais quelle bonne nouvelle ! Tout le monde ici est profondément ému, je t'assure. C'est un début formidable ! On ne comprend pas encore ce que tu dis mais ça n'a aucune importance : ce qui compte est que tu te sois saisi de mots, de virgules, de points, pour faire comme ceux qui t'entourent. C'est comme ça que tout commence. C'est bien. D'abord on jette des syllabes, des mots, au hasard, sur la page, c'est le babil, puis, seulement ensuite, le cerveau commence à s'éveiller, à tenter d'émettre une idée, ou deux, et enfin de les assembler. Ne te précipite pas, surtout ! Prends ton temps. Ce serait dommage de tout gâcher par un excès de précipitation ! Nous sommes là, mon petit, nous observons tes progrès avec attention et enthousiasme, sois en assuré.

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    6. Ce qu'il y a de bien avec Georges, c'est qu'il se croit plus intelligent que tout le monde ce qui est commun à beaucoup de lettrés. Mais lui illettré con.

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    7. Ah ben j'espère que vous ne posez pas de problèmes aux infirmières quand vous rentrez prendre vos cachets du soir.

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    8. « Mais lui illettré con. »

      Je ne dirais pas ça, non.

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    9. Georges est en tout cas plus finit que celui qui a pour avatar un dessin animé.
      C'est un peu Disneyland qui traite le puy du fou de débile.
      Un gauchiste qui insulte les gens drôles et cultivés, on aura encore une fois pu profiter d'une belle farce tiens!

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    10. Nicolas, c'est votre collègue qui a commencé à faire le foufou. A prendre de haut un commentateur.

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    11. Fil, mon ami, regardez l'avatar de Georges. Il reflète l'intelligence tout autant que l'avatar de chacun de nous...

      Argument suivant ?

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    12. Fil, c'est vous le préposé à la camisole de l'ami Fuly?

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    13. Tiens, Jégoun et Fred Canivo chassent en meute et balancent des insultes. Rien que de très habituel. C'est la rançon de la liberté : devoir les supporter. Précisément ce qu'ils refusent aux autres sur leurs blogs (en tout cas Jégoun).

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    14. Ah! Ah!
      Pas mal celle-la les asticots. Non j'aime bien juste ramener mon sale verbe quand je lis un gauchiste jouer l'homme supérieur.

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    15. Monsieur Jegoun, à ce que je sache georges n'a pas traité explicitement Fred de débile.
      Fred l'a fait, sans grande intelligence, georges non. On ne peut pas trop la ramener quand on aime Disney et les nichons, ou alors on le fait avec un peu de finesse.
      Fred ne paraît pas plus intelligent que georges, et est très mal placé pour l'insulter.

      "Argument suivant" si vous croyez m'avoir mouché, vous avez intérêt à avoir beaucoup de mouchoirs.

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    16. Cher Fil, vous m'excuserez de ne pas participer à votre aimable conversation avec les ci-devants Jegoun et Camino, mais j'aurais trop peur de glisser sur une flaque d'huile de vidange. À mon âge, il faut faire attention aux dérapages, et discuter avec deux boules informes de graisse sale m'est déconseillé par mon médecin.

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    17. Mais bien sur Georges, de plus je m'aperçois que je n'aurais pas du me mêler d'une querelle qui ne me concernait pas.
      Mon côté bignole sans doute.

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    18. Querelle ? Ah bon, zut alors, j'ai encore manqué quelque chose…

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  2. Nous partageons ce lecteur, Didier !

    Sinon, je ne vois pas en quoi le fait que l'institutrice ait 34 ans aggrave ou atténue l'action un rien primesautière de cette maman.

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  3. Robert Marchenoir4 juillet 2014 à 18:49

    Le procureur est vraiment un surhomme :

    Le procureur a en tout cas annoncé dans l'après-midi que l'état de la suspecte nécessitait une hospitalisation psychiatrique. «L'auteure présumée des faits, lorsqu'elle a été arrêtée, n'était pas en train de fuir et marchait semble-t-il paisiblement dans la rue (près de son domicile). En raison des déclarations peu cohérentes qu'elle a faites dès le début de sa garde à vue, j'ai requis deux experts pour un examen psychiatrique», a expliqué le procureur. Cette expertise conclut à l'existence de «troubles mentaux sévères sous forme d'idées délirantes de persécution», a poursuivi le magistrat. Au moment des faits, «il existait un état de décompensation psychiatrique», a-t-il souligné, ce qui signifie des «troubles psychiques ayant aboli son discernement au sens de l'article 122-1 du Code pénal».

    Le meurtre a eu lieu ce matin, la journée n'est pas encore terminée, et le procureur sait déjà "qu'il existait un état de décompensation psychiatrique".

    Nous avons vraiment une magistrature exceptionnelle. Entre ceux qui sont capables de désigner les "cons" dans la société rien qu'en les épinglant au mur, et ceux qui font des expertises psychiatriques définitives en deux heures de temps sans même avoir fait d'études de médecine, on ne peut certes pas accuser la justice française d'être lente.

    Moi j'aurais plutôt dit qu'il existait un état de décompensation musulmane au moment des faits, mais c'est sans doute parce que je suis un con mural.

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    1. D'un autre côté, musulman rimant avec maman, on reste dans le ton.

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    2. Quand on parle de sécurité, avec Bob, je suis toujours surpris. La magistrate aurait fait une faute en disant qu'une maman rimant qui tue une instit est tarée.

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    3. Marchenoir a raison. On se fout de notre gueule, comme d'habitude.

      Le "con mural" : belle expression, dans laquelle je me reconnais pleinement.

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    4. Je veux bien croire que Bob ait raison mais je ne comprends pas pourquoi c'est mal de dire qu'une tarée est tarée. Cette bonne femme mérite peut-être les pire peines que l'on puisse imaginer mais elle est forcément tarée. Contrairement à un "jeune des banlieues" qui volé une mobylette. Il mérite une punition. La dame tarée mérite d'être soignée et mise hors d'état de nuire. Il empêche qu'elle est tarée.

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    5. Vous avez eu connaissance de l'expertise psychiatrique, vous ?

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    6. Il fait une expertise psychiatrique pour penser qu'une connasse qui tue une instit est tarée ?
      Bravo, vil modernoeud.

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    7. À partir du moment où il s'agit de savoir si elle est responsable ou non de son crime, ça me semblerait légèrement préférable, oui.

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    8. Qui a dit qu'elle était pas responsable ? On dit seulement qu'elle est irresponsable. Smiley.

      Qu'est ce qu'on veut démontrer maintenant ? Qu'elle mérite d'être mise hors état de nuire dans un HP ou qu'elle mérite d'être mise hors état de nuire dans un HP ?

      Ou qu'elle mérite la peine de mort si le sujet est là, ce qui m'aurait échappé au cours de la discussion.

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    9. Personnellement, je ne veux rien démontrer, n'étant pas plus que vous au courant de quoi que ce soit concernant l'état mental de Dame Rachida (puisque Dame Rachida il semble y avoir).

      Je trouve tout de même qu'on s'est bien précipité pour en faire une folle irresponsable : à peine quelques heures. Ils deviennent vachement rapides, les psychiatres auprès des tribunaux…

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    10. Pour moi l'état est irresponsable. A défaut d'avoir enfermé cette fille afin de protéger les gens gentils, la prof aurait pu être mise au courant qu'une mioche de prédateur était dans sa classe.

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  4. Ben oui, fidèle de Corto en particulier mais je me délecte de vos sujets forts intéressants, sans oublier le Plouc, Jacques Etienne et beaucoup d'autres...
    Je suis Ariégeois d'origine et expatrie ici depuis plus de 10 ans maintenant.

    Bernard de Thailande

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    1. Eh bien voilà, tout s'éclaire !

      Et à part ça, il fait beau, par chez vous ?

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    2. C'est du propre ! Un blogueur de renommée internationalement xénophobe à un lecteur de Thaïlande (comme la Nancy chez moi).

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    3. Oui, mais pas de souche, vous noterez !

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  5. Faire un repas avec les génitoires d'un octogénaire : il faut vraiment avoir un appétit d'oiseau ! Cette femme devrait peut-être consulter, c'est pas normal, de manger si peu.

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  6. Je vois que c'est notre fête, par ici.

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    1. C'est la fête des mamans ; mais, en bons réactionnaires, nous gardons tout notre respect pour les mères…

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    2. Comme j'ai été à la fête en tant que grosse chez Aristide (surtout dans le commentaire d'un certain Laurent Gérard) je ne me suis permise cette remarque, ici.
      Mais je suis tout à fait d'accord avec vous sur l'instrumentalisation médiatique du mot "maman" : elle est du même ordre que la généralisation inepte de l'expression "les garçons" pour parler des hommes.

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    3. « l'instrumentalisation médiatique du mot "maman" » Mais de quoi parlez-vous ?

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    4. Georges : du sujet du billet de Didier Goux, vous ne l'avez pas lu ?

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    5. Je vous fais crédit, je vais m'appliquer à le relire. Bonne fin de journée.

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  7. Ah part ça, vous êtes vraiment opposés au progrès parce que vous ne vous rendez pas compte. Pendant que nos grosses trucident des instits, on peut rester au bistro. Sinon on serait obligés de le faire nous-même.

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    1. Évidemment, on peut voir les choses comme ça. Mais vous ne m'ôterez pas l'idée que l'éviscération à l'eustache, c'est plutôt un travail d'homme.

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  8. je me suis fait la même reflexion en entendant le procureur et me suis dit: culture de l excuse... Ne pardonne-t-on pas tout à une maman? Surtout si elle est à l'ouest. Alors qu une mère... la preuve, vous n'avez jamais entendu parler de maman indigne ou de maman maquerelle ou même encore de maman juive...

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  9. On dit un peu moins "papa" que "maman", mais on le dit quand même. "Et alors, votre papa, il n'a pas été fier de vous" ? demandait je ne sais plus quel journaliste au fils de Gaulle. Mais grand-père et grand-mère tiennent le coup ! Jamais je n'ai entendu parler à la radio ou à la télévision du papy ou de la mamie d'untel.

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    1. Même réponse qu'à Corto : soyez patiente, les papys et les mamies ne doivent pas être bien loin.

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    2. Robert Marchenoir5 juillet 2014 à 13:51

      Mais si : tout le monde dit "une mamie" au lieu d'une vieille dame, et c'est tout aussi insultant.

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  10. Maman où t'es, maman où t'es?
    Maman où t'es, maman où t'es ?
    Maman où t'es, maman où t'es?

    Je suis en train de te venger
    Je suis en train de tuer
    Ta maîtresse mal embouchée

    Etc,etc.......

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  11. Cette "maman" ne risque pas grand chose, si j'en crois ce qui est arrivé à la fille d'une patiente de mon mari qui avait tué sa mère à coups de marteau.
    Elle avait été hospitalisée d'urgence en hôpital psychiatrique et six mois après, elle avait été relâchée dans la nature, au grand dam de mon époux qui avait vainement protesté auprès des services concernés : elle ne présentait, disaient-ils, plus aucun risque de dangerosité.
    Finalement l'histoire s'était bien terminée puisque après sa "guérison" cette ancienne foldingue s'était jetée du 7ème étage de la tour où elle résidait.

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  12. Robert Marchenoir5 juillet 2014 à 15:35

    Voilà qu'une Arabe assassine un professeur, et aussitôt on nous ressort la question du statut des fonctionnaires.

    Je ne comprends pas : jusqu'à preuve du contraire, l'institutrice assassinée bénéficiait bel et bien de l'emploi à vie, d'une retraite dorée comparée à celles du privé, et de tous les avantages attachés au sacro-saint statut des fonctionnaires instauré par le chef du parti communiste, traître en temps de guerre, déserteur à l'ennemi Maurice Thorez en 1946.

    Et pourtant elle a été tuée. Curieusement, son "statut" ne l'a pas protégée.

    Va-t-on maintenant nous soutenir que son assassin était un militant "ultra-libéral", cherchant à protester par son geste contre le caractère excessif des dépenses de l'Etat ? Va-t-on retrouver chez Madame Rachida les oeuvres complètes de Frédéric Bastiat, des livres dédicacés d'Alain Madelin, le reçu d'un don à la Société du Mont-Pèlerin ? Va-t-on retrouver à la Caisse d'allocations familiales une lettre indignée de Madame Rachida, refusant les subsides étatiques au nom de principes libéraux ?

    Les anti-libéraux de droite comme de gauche vont-ils avoir l'honnêteté de reconnaître que si Fabienne Terral-Calmès avait eu un contrat de travail de droit privé, dans une école appartenant à un fonds de pension privé français, financée par le chèque-éducation fourni aux parents d'élèves par le gouvernement, elle aurait eu autant de risques d'être assassinée par une Arabe musulmane mécontente d'une réflexion faite à sa fille, et non davantage ?

    Que dis-je : elle aurait eu moins de risques d'être assassinée, car le directeur de cette école, fonctionnant selon les principes "ultra-libéraux", aurait été libre de sélectionner ses élèves, et, en particulier, de refuser les parents "ne reconnaissant pas l'autorité des professeurs", voire mal élevés, voire hargneux, voire racistes, voire violents, voire "atteints de troubles psychiatriques", voire dotés de tendances meurtrières -- et il aurait même été libre de refuser les Arabes.

    Ce n'est donc pas la protection de la vie des professeurs qui motive les anti-libéraux. C'est le contraire. Une ou deux institutrices assassinées par an sont le prix à payer pour le maintien des privilèges des autres, ceux qui ont la chance de rester en vie, et qui sont, reconnaissons-le, l'immense majorité.

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    1. Robert, je pense que votre colère vient du fait que, bêtement, alors que tout le monde vous désigne la lune, vous vous obstinez à regarder le doigt. Vous n'êtes pas raisonnable…

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    2. Mais si le directeur refuse les Arabes, il se fait traîner devant les tribunaux par les assoces racistes...

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    3. Oui, bof : on s'éloigne du sujet.

      D'abord il y a plein d'Arabes dans les écoles privées, en tout cas à Marseille et dans les zones les plus "occupées".

      Ensuite, parler de "retraite dorée comparée à celles du privé, et de tous les avantages attachés au sacro-saint statut des fonctionnaires" est une plaisanterie, comme je vous l'ai déjà expliqué avec toutes sortes de puissants arguments.

      Que je vous rappelle en les synthétisant : l'important n'est pas seulement de savoir sur combien de trimestres on calcule la retraite, par exemple, mais aussi de savoir à combien s'élève la paye sur laquelle on fait ce calcul. Si vous donnez à un retraité 80% de sa paye des deux derniers mois, celle-ci s'élevant à 2000 euros en moyenne (par exemple, toujours), ce n'est pas mieux que de donner 80 % des trois dernières années à quelqu'un qui y a gagné en moyenne 4000 euros.

      Relisez et dites moi si je fais erreur quelque part.
      Le mode de calcul des retraites des fonctionnaires est aussi basé sur le fait que beaucoup d'entre eux sont peu payés.

      Et pour revenir au sujet (un peu), c'est l'une des raisons pour lesquels les profs sont méprisés : ils ont passé des concours difficiles pour gagner des clopinettes. En plus, et toujours parce que ça paye peu, c'est un métier de femme.

      Les profs sont particulièrement bien placés pour subir les affres de cette société de violence et de nombrilisme. Tout le monde a des droits, aujourd'hui, et le prof est l'un des derniers à essayer d'imposer quelque chose à autrui, à devoir faire preuve d'autorité. Il devient dès lors une sorte de nazi, un connard à poignarder parce qu'il a "manqué de respect" à une gamine. Tout se tient.

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    4. Robert Marchenoir5 juillet 2014 à 20:41

      @ Polo :

      Le prof est l'un des derniers à essayer d'imposer quelque chose à autrui.

      Comme si essayer d'imposer quelque chose à autrui était une vertu ! Merci de nous confirmer que, dans le fond, vous rêvez d'être un dictateur, comme tous les étatistes. Merci aussi, au passage, de confirmer votre conception singulièrement vicieuse du métier de professeur.

      Comme si l'essentiel de la fonction du professeur consistait à "imposer des choses à autrui" ! Vous avez dû confondre avec le concours de la police...

      Comme s'il manquait de gens, en France, "essayant d'imposer quelque chose à autrui" ! Moi j'en vois 65 millions, environ, des gens qui "essaient d'imposer quelque chose à autrui" -- vous m'excuserez de n'avoir pas affiné mes mesures à un million près.

      L'important n'est pas seulement de savoir sur combien de trimestres on calcule la retraite, par exemple, mais aussi de savoir à combien s'élève la paye sur laquelle on fait ce calcul.

      Merci de nous confirmer que ce que vous réclamez, ce n'est pas la justice, mais le maintien de vos privilèges.

      L'important, c'est d'être juste. Et la justice, c'est que plus le salaire est élevé, plus la retraite est élevée. Pas le contraire !

      La justice, c'est aussi que chacun auto-finance sa retraite par ses cotisations, ce qui n'est pas le cas des fonctionnaires, dont la retraite est largement payée par l'impôt des non-fonctionnaires.

      La justice, c'est enfin que les critères soient les mêmes pour tout le monde ! Pour le public comme pour le privé !

      C'est l'une des raisons pour lesquels les profs sont méprisés : ils ont passé des concours difficiles pour gagner des clopinettes.

      Fabuleux aveu ! La brigade des contempteurs du "matérialisme" et du "consumérisme" réclame d'être mieux payée, non pas parce que son travail le vaudrait, mais parce qu'elle imagine que cela lui attirerait le respect. Il faudrait donc la payer au SMIC + 50 %, parce que cela lui procurerait 50 % de "respé" en plus que si elle était payée au SMIC.

      Et ce sont les libéraux que ces gens-là accusent de matérialisme !

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    5. Robert Marchenoir5 juillet 2014 à 20:43

      Ceux qui méprisent les profs en raison de leur salaire, ce sont les enfants de racailles, et ceux-là, ils vous mépriseront toujours, mon petit bonhomme. D'abord parce que vous êtes français, et ensuite parce que vous travaillez pour gagner votre croûte. Gagneriez-vous dix fois plus qu'ils vous mépriseraient tout autant. Et même si vous les preniez au mot, et que des revenus équivalents à ceux d'un trafiquant de drogue vous valaient leur respect (puisque tel est l'étalon de la racaille scolarisée), depuis quand les professions intellectuelles procurent-elles de bons revenus ?

      Travailler avec sa tête pour la beauté du savoir n'a jamais rendu personne riche, sauf rares exceptions. C'est là l'éternelle source du ressentiment de tant de membres de la classe intellectuelle, qui s'imaginent valoir bien plus que ce qu'ils sont payés. C'est pour cela qu'un intellectuel est de gauche presque par définition.

      Personne ne vous a pris en traître, que je sache. Quand vous avez passé votre fameux "concours difficile" (c'est vous qui le dites), vous saviez fort bien que vous gagneriez moins en tant que prof qu'en tant que dentiste, notaire ou plombier. Si votre but dans la vie était de gagner de l'argent, pourquoi diable avez-vous fait prof de philo ? Qu'est-ce qui vous donne le culot de reprocher à vos concitoyens votre propre choix de l'époque ? Et si vous étiez trop con, ou trop paresseux pour faire plombier, en quoi est-ce notre faute ?

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    6. Robert Marchenoir5 juillet 2014 à 20:45

      D'ailleurs, puisque vous nous parlez de respect, connaissez-vous beaucoup de plombiers qui se font trucider par leurs clients à coups de couteau ? Moi, je n'en connais aucun. Et pourtant, de nombreux plombiers sont de sales cons, au moins autant que les profs. Ils sont chers, malpolis, jamais disponibles, toujours en retard, brûlent vos murs et volent vos outils.

      Pourtant, aucun ministre de la Plomberie Nationale n'est jamais allé devant les caméras pour plaindre les plombiers de manquer de la considération de leurs concitoyens. Savez-vous pourquoi ? Pas parce qu'un plombier gagne plus qu'un prof. Parce qu'un plombier est un homme libre, travaille dans le secteur privé, et peut refuser des clients s'ils lui cassent les couilles.

      Contrairement à ce que vous vous imaginez, ce n'est pas à cause d'un déficit d'autorité de l'Etat que les parents (certains parents) maltraitent les professeurs. C'est le contraire. C'est parce que les professeurs sont des esclaves volontaires de l'Etat, qui ont échangé leur liberté contre les misérables petits avantages de merde que vous défendez ici bec et ongles, et qui coûtent si cher à tous les Français. En échange de l'emploi à vie, en échange d'une retraite calculée, comme vous venez de le reconnaître, de façon extraordinairement avantageuse par rapport à celle des salariés ordinaires, vous avez accepté de ne pas avoir le droit d'exclure les élèves insupportables (pour les professeurs), ou les professeurs incompétents (pour les directeurs d'école).

      Vous avez en toute connaissance accepté ce pacte faustien, et vous avez le culot, maintenant, de renier votre signature, et de venir nous reprocher votre décision d'abdiquer votre liberté en échange d'un plat de lentilles.

      Et c'est pour cela que tant d'élèves et de parents vous méprisent. Pas en raison de votre salaire. Beaucoup de parents, je vous signale, gagnent moins qu'un professeur. C'était le cas, très probablement, de l'assassin d'Albi.

      Bien entendu, vous avez une façon très simple de regagner ce respect (et qui en plus, entre nous, ne vous engage à rien) : réclamer l'abolition du statut de la fonction publique.

      L'avez-vous jamais fait ? Avez-vous jamais entendu ne serait-ce qu'un fonctionnaire, à l'occasion d'une discussion sur le service public, réclamer l'abolition de ce statut scélérat, ou même y consentir ? Non ! C'est toujours les mêmes discussions mesquines, les mêmes pinaillages, les mêmes pleurnicheries sur ma retraite inespérée en pourcentage mais oh que mon salaire est faible ma bonne dame, alors qu'il est question d'un assassinat, bordel de Dieu ! Alors pourquoi voudriez-vous qu'on vous respecte ?

      Vous vous faites l'esclave volontaire de l'Etat tout en entretenant des fantasmes de petit chef, vous vous êtes lié les mains tout en prétendant "imposer des choses" à la totalité du reste de la population, et vous pensez que cela est de nature à susciter le respect ?

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    7. Robert Marchenoir6 juillet 2014 à 00:09

      lamouettejoviale5 juillet 2014 16:43

      Mais si le directeur refuse les Arabes, il se fait traîner devant les tribunaux par les assoces racistes...

      Non, car si la France était "ultra-libérale", c'est le principe de la liberté d'association qui s'appliquerait, et donc, bien entendu, les lois "anti-racistes" seraient abolies.

      Chacun aurait le droit d'embaucher qui il veut, d'admettre qui il veut dans son association, de louer son logement à qui il veut, etc. La discrimination serait rétablie comme la vertu qu'elle a toujours été, et non le crime abominable qu'on nous présente depuis quelques décennies à peine.

      C'est ça, la liberté. Souvenez-vous : libéralisme signifie liberté, responsabilité, démocratie et primauté de la loi. Libéralisme ne signifie pas tyrannie, irresponsabilité, loi du plus fort, etc.

      Cependant, même en l'absence d'abolition des lois "anti-racistes", vous imaginez bien la latitude d'action immédiatement retrouvée qui serait celle des professeurs vis-à-vis de leurs élèves, des parents et des chefs d'établissement, ainsi que celle des chefs d'établissement vis-à-vis des professeurs et de l'administration, si cette réforme libérale était, elle et elle seule, appliquée : abolition de la gratuité de l'école publique, attribution à tous les parents d'un chèque-éducation correspondant au coût fiscal réel de l'école, à dépenser à volonté dans l'école publique ou privée de leur choix, liberté de création d'écoles entièrement privées par n'importe qui (individus, associations, entreprises), moyennant le respect d'un cadre réglementaire simple et minimal.

      Faites ça, et du jour au lendemain, les fameux élèves impossibles disparaissent (ainsi que leur parents), car les écoles auront retrouvé le pouvoir de les exclure. Du moins, les écoles qui voudront bien se prévaloir de ce droit.

      Personne n'interdira aux écoles publiques, ou socialistes, de conserver les élèves les plus racailleux et les plus stupides, si ça leur chante.

      Mais en contrepartie, personne n'interdira aux parents d'en retirer leurs élèves, et aux professeurs les plus dégourdis de claquer la porte pour aller dans des écoles dignes de ce nom. Encore faudra-t-il que les uns et les autres se conforment à certaines bonnes pratiques, et fassent la preuve qu'ils sont dignes d'être acceptés par les écoles les plus exigeantes -- car ces dernières seront libres de les refuser.

      C'est ça, la liberté... Ne sous-estimez pas son extraordinaire pouvoir entre les mains d'un peuple évolué.

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    8. Pour arriver à cela – qui est hautement souhaitable en effet –, il faudra d'abord que la liberté soit considéré comme une chose désirable. Or, contrairement à ce qu'affirme mensongèrement la devise de la République, je ne crois pas que ce ce soit le cas. Dans cette devise, le seul mot important est égalité ; les deux autres sont là pour faire joli et respecter le rythme ternaire, qui justement plaît si fort aux professeurs.

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    9. Trop long.

      Sur la première partie vous ne faites qu'interpréter malignement un propos ordinaire. C'est une preuve de votre faiblesse argumentative et j'en reste là.

      Quand vous dites "L'important, c'est d'être juste. Et la justice, c'est que plus le salaire est élevé, plus la retraite est élevée. Pas le contraire !" Vous devez sans doute plaisanter. Comme s'il pouvait y avoir la moindre justice dans l'établissement d'un salaire. Est-il juste que Ribéry gagne 800 000 euros par mois ?

      Il faut seulement essayer de ne pas rendre totalement insupportable un métier dont on a besoin. Payez les pompiers 8 euros par jour et vous verrez le monde flamber.

      Vous semblez confondre le désir d'être payé correctement avec celui d'être riche. Ce tour de passe-passe, dans votre commentaire, vous permet une nouvelle fois de détourner l'attention en multipliant les procès d'intention. C'est absolument sans intérêt.

      En ce qui me concerne je ne désire pas être grassement payé, je voudrais seulement cesser de m'appauvrir. Je suis parfaitement capable de faire autre chose qu'enseignant, et parfois je songe me lancer dans l'entreprise de l'édition, figurez-vous. Seulement j'aime aussi mon métier et je le fais bien (là il faut évidemment me croire sur parole, mais peu importe, il suffit, pour notre conversation, que cela soit possible, et ça l'est) : que faire ? Doit-on laisser la place aux plus mauvais ?

      Enfin, vous ne pouvez pas vous tromper plus gravement sur les raisons du respect et du non-respect des professions. Vous refusez d'admettre que le critère devenu décisif, aujourd'hui, est l'argent, et que ce n'est pas seulement chez les racailles que tout se mesure à cette aune. Les instituteurs de la troisième république n'étaient pas bien payés mais étaient respectés. Ils n'étaient pourtant pas moins fonctionnaires qu'aujourd'hui, et se faisaient même davantage les "valets" de l'Etat (comme vous dites avec les tonnes de mépris qui vous rongent les entrailles). Les soldats étaient respectés ; les gens de culture étaient respectés. Tout cela est fini à cause de vous, ou plus exactement, bien sûr, à cause des "valeurs" que vous défendez et qui sont au pouvoir.

      Les "valeurs" des racailles.

      Toute votre admiration va au plombier. Soit. Je comprends que vous n'ayez pas pris l'exemple de l'épicier, moins confortable (on plaisante, hein). L'entrepreneur, le commerçant, le "libéral", le footballeur est un pur, un indépendant, un mec qui en a et qui se bat pour faire fortune.

      Eh bien oui, c'est lui le nouveau héros, vous avez raison.

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    10. Robert Marchenoir6 juillet 2014 à 11:36

      Didier Goux 6 juillet 2014 10:08

      Pour arriver à cela – qui est hautement souhaitable en effet –, il faudra d'abord que la liberté soit considéré comme une chose désirable.

      C'est ce que je me tue à dire : les Français n'aiment pas la liberté.

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    11. Robert Marchenoir6 juillet 2014 à 12:00

      Marco Polo 6 juillet 2014 10:38

      Trop long.

      Hahaha, mais qu'il est con.

      Le type nous fait lourdement savoir qu'il est professeur, et fait donc partie d'une race supérieure. Que dis-je : professeur de philosophie, c'est à dire la crème de la crème. Il n'arrête pas de glisser négligemment dans la conversation des noms de philosophes qu'il est censé avoir lus. Il n'arrête pas de nous expliquer que lui représente la Culture et le Savoir et l'Intellect détachés des basses contingences de ce monde. Il passe son temps à nous expliquer à quel point il n'est pas motivé par l'Argent, contrairement à tous les êtres superficiels qui l'entourent, et qui ne font pas partie de la caste des Fonctionnaires (mais il nous explique dans la même phrase qu'il ne gagne pas assez et qu'il faudrait voir à augmenter son salaire -- va comprendre, Charles).

      Et quand on lui oppose une réflexion un peu plus longue qu'un tweet, il trouve ça "trop long".

      Ca le fatigue. Ca devient trop compliqué pour lui. Il est menacé de devoir réfléchir.

      Vous êtes une caricature, Polo.

      C'est tellement simple, en classe, hein ? En classe, vous pouvez "imposer des choses à autrui", comme vous nous l'avez si bien expliqué. Vous pouvez dispenser votre sagesse à sens unique.

      Dans le monde réel, c'est différent.

      Ah ! si seulement le monde entier pouvait ressembler à la salle où vous faites classe...

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    12. C'est tout ? Vous n'avez donc rien à répondre ?

      Rien d'autre qu'une insulte ?

      Alors je prends le même ton et vous rétorque qu'un imbécile satisfait de votre envergure ne tiendrait pas dix minutes dans une classe, parce qu'il ne suffit pas, là-bas, de réciter un catéchisme quel qu'il soit, fût-il libéral, pour capter l'attention. Il faut être capable d'écouter les objections, les questions, et si possible sans insulter son interlocuteur quand on est pris en défaut.

      Vous n'avez aucune aptitude au dialogue, comme le prouve déjà suffisamment les heures invraisemblables que vous passez sur internet.

      Trouvez vous une femme ou ne serait-ce qu'un ami, mon vieux, et allez boire un coup au lieu de vivre devant votre écran.

      Fin de la "conversation", en ce qui me concerne.

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    13. Robert Marchenoir7 juillet 2014 à 20:52

      @ Polo :

      Rien d'autre qu'une insulte ?

      Il faudrait savoir. Un coup, ce que j'écris est trop long pour Sa Seigneurie le Professeur Polo, un coup c'est trop court parce que ça tient dans les trois lettres du mot con... Sa Seigneurie a la lecture sélective, je trouve.

      Trouvez vous une femme ou ne serait-ce qu'un ami, mon vieux, et allez boire un coup au lieu de vivre devant votre écran.

      L'éternel "argument" du troll gauchiste, qui passe son temps devant son écran... ce qui lui permet de détecter ceux qui passent leur temps devant leur écran -- et de le leur reprocher.

      Et bien sûr, l'argument de cour de récréation, qui consiste à reprocher une imaginaire absence de femme ou d'amis à ses adversaires : une preuve de plus qu'un professeur, en France, est quelqu'un qui n'est jamais sorti de sa classe depuis sa scolarité obligatoire, et a toujours une mentalité de petit garçon, mal élevé de surcroît.

      Maintenant, Polo va publier sa photo de sa femme et la longue liste de ses amis -- ce qui prouvera à tout un chacun qu'il faut maintenir et renforcer le statut des fonctionnaires et ne surtout pas instaurer le chèque-éducation -- car c'était là le sujet de notre conversation.

      Que Polo fait semblant de ne pas avoir remarqué, selon la bonne vieille technique de tous les trolls...

      Donc, oui, je vous confirme, Polo : vous êtes bien un con. Et je précise : un con malhonnête.

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    14. Vous pouvez toujours écrire une tartine supplémentaire, vous n'enlèverez pas que vous êtes un adepte compulsif de l'insulte.

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  13. Personne n'est dupe, sauf ceux que cela fait vivre.
    Vous n'avez pas vu les pancartes des dames politiques de gauche lors de la manifestation de soumission à Michèle Obama qui a lancé la campagne "Rendez-les filles" en direction des "boko-machins" qui se les sont attribuées comme esclaves sexuelles, bonnes à tout faire et autres joyeusetés ?
    Ces pancartes disaient : "Sécurisez les chemins de l'école !" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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  14. Depuis quand les "tarés" relèvent-ils de la psychiatrie ?

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  15. Un seul coup dans le flanc...
    Affaire de spécialiste du couteau.

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  16. rien de bien surprenant dans tout çà
    on, est dans un fil très glissant

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  17. Robert Marchenoir6 juillet 2014 à 00:58

    "Avec nous, elle était normale", dit de "Rachida" une femme voilée, avec un fort accent maghrébin, dans le quartier où demeurait l'assassin.

    http://www.fdesouche.com/484163-albi-une-enseignante-poignardee-a-mort-par-la-mere-dun-eleve

    Avec nous, les musulmans. Avec les non-musulmans, évidemment, c'est différent... puisque l'islam prescrit de les tuer.

    Rachida est de nationalité espagnole et d'origine marocaine. Elle aura voulu accélérer un peu la Reconquista. C'est un acte de djihad.

    Evidemment qu'elle souffre de "troubles psychiatriques"... Ce que les autorités omettent d'ajouter, c'est que le nom de cette maladie, c'est l'islam.

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    1. Robert Marchenoir7 juillet 2014 à 20:29

      @ Sébastien Tellibag :

      Oui, aussi. Les trois facteurs se conjuguent et se renforcent mutuellement.

      Il va falloir péter plus fort pour vous faire mal voir, ici, vous savez...

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  18. à 20MINUTES on a lu Didier Goux : pas une seule maman ne s'est glissée dans cet article, que des mères en veux-tu en voilà !
    http://www.20minutes.fr/societe/1415187-albi-la-mere-d-eleve-mise-en-examen-pour-l-assassinat-de-l-institutrice

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  19. Je dois reconnaître, malgré ma gentillesse naturelle, que la tentation du « bien fait pour sa tronche ! » est difficilement résistible…

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  20. Bon, mais faut pas trop s'en faire : tout le monde va être pris en charge par la cellule psychologique. D'ailleurs, je vous conseille de vous inscrire, si vous voulez une bonne place, dans une jolie cellule avec de jolis murs aux jolis matelas bien confortables.

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  21. On nage en plein délire Robert. Je crois qu'il devient absurde de chercher le bon sens là où domine l'absurde.

    Et vous avez entendu le ptit violeur de 6 ans qui a mis une pastille de javel dans les fesses de son camarade? Et bien cette petite merde n'a pas été virée et aucune enquête dur les parents.
    Gauchistes de merde!!

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  22. Moi, c'est surtout l'élégante chemise avec les manches croisées et cousues sur le devant que je convoite.

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  23. Une Arabe immigrée, déjà délinquante, tue un professeur français. Pour la récompenser, on donne un titre de séjour à une famille de délinquants africains.

    Lorsque ces clandestins seront régularisés, il ne faudra pas s'étonner si cela crée un "appel d'air et si d'autres instituteurs membres du RESF se font trucider! Tous ces gauchistes qui auront enfin l'occasion de verser leur sang pour que leurs idées triomphent, ce sera tellement beau!

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  24. Robert Marchenoir6 juillet 2014 à 22:36

    Accident de Brétigny : les experts judiciaires pointent un «état de délabrement jamais vu»

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/07/06/01016-20140706ARTFIG00149-accident-de-bretigny-les-experts-judiciaires-pointent-un-etat-de-delabrement-jamais-vu.php

    Mais je suppose que c'est parce que la SNCF n'est pas encore assez communiste.

    Cet état de délabrement rappelle celui des chemins de fer britanniques d'avant la privatisation -- et non après, comme nous le serinent les néo-marxistes. Il rappelle d'ailleurs l'état de l'ensemble de la société britannique avant l'arrivée au pouvoir de Margaret Thatcher. Le sentiment de décadence et d'épuisement était à son comble après trente ans de socialisme et de règne sans partage des syndicats marxistes. Comme chez nous aujourd'hui.

    Malheureusement, nous n'avons pas de fille d'épicier sous la main.

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    1. "Malheureusement, nous n'avons pas de fille d'épicier sous la main."

      Bah si, elle vient de tuer une prof...

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  25. @Bob, il y a des libéraux qui votent UMP ??? Ils ne sont donc pas libéraux.... :)

    Sachant que l'EducNat est totalement contrôler par les syndicats socialio-communistes depuis 50 ans, le "manque de considération" est de leur entière et totale responsabilité.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.