La tolérance n'est, en dernier ressort, qu'une coquetterie d'agonisants.
mardi 1 avril 2008
Gustav déconne
Lorsque j'écoute les cinq premières minutes du mouvement initial de sa Première symphonie (Titan), j'ai toujours l'impression que Mahler est entré dans son oeuvre à reculons, sans le vouloir, presque malgré lui.
sk†ns : lisant votre commentaire, je me suis dis que j'allais vous répondre que (oh ! ces deux "que" qui se suivent !) l'Irremplaçable allait sans doute vous balancer la même chose en danois. Elle m'a évidemment devancé.
iPidiblue : je crains de n'être point à la hauteur de vos (légitimes) espérances à mon endroit (ni même à mon envers). et puis, je pressens des tiraillements du côté de l'Irremplaçable...
Ah malheur, encore de la musique de jeune paumé ça ! Si je me laissais aller au trollage, j'ajouterais que c'est même de la bouillie sonore pour fiotte émasculée de prisunic d'arrondissement sans numéro. Sauf ses lieders (natureliche, mein freund) Ô qu'ils sont beaux ceux-là ! Il n'avait qu'à mourir à Vienne ce con. Martin Lothar qui joue au mort Bach (Désolé)
« Bruder Jakob, Bruder Jakob, Schläfst du noch ? Schläfst du noch ? Hörst du nicht die Glocken ? … »
RépondreSupprimerComme nous tous sommes rentrés dans la vie ...
RépondreSupprimeriPidiblue à reculons ou en crabe
Faites gaffe quand même aux poissons ....
RépondreSupprimeriPidiblue gaston lagaffe
Maintenant que vous êtes libre, je puis vous demander en mariage, j'ai toujours rêvé d'un gros matou apprivoisé dans mon home !
RépondreSupprimeriPidiblue homme, sweet homme !
Hier j'ai regardé "Maurice" de James Ivory, je pleurais à la fin ... que voulez-vous les amours ancillaires cela me fait toujours le même effet ...
RépondreSupprimeriPidiblue coeur à prendre
Mester Jakob, mester Jakob, sover du, sover du, hører du ej klokken, hører du ej kloken, ....
RépondreSupprimeren danois pour Sk‡in.
sk†ns : lisant votre commentaire, je me suis dis que j'allais vous répondre que (oh ! ces deux "que" qui se suivent !) l'Irremplaçable allait sans doute vous balancer la même chose en danois. Elle m'a évidemment devancé.
RépondreSupprimeriPidiblue : je crains de n'être point à la hauteur de vos (légitimes) espérances à mon endroit (ni même à mon envers). et puis, je pressens des tiraillements du côté de l'Irremplaçable...
iPidiblue, je ne répond même pas ! De toute façon, vous me le renverriez au bout de quelques jours ....
RépondreSupprimerCatherine, j'ai ri tout seul (ce qui est précieux, après toutes ces années).
RépondreSupprimeriPidiblue : je crains que l'Irremplaçable n'ait raison...
Ah malheur, encore de la musique de jeune paumé ça !
RépondreSupprimerSi je me laissais aller au trollage, j'ajouterais que c'est même de la bouillie sonore pour fiotte émasculée de prisunic d'arrondissement sans numéro.
Sauf ses lieders (natureliche, mein freund) Ô qu'ils sont beaux ceux-là !
Il n'avait qu'à mourir à Vienne ce con.
Martin Lothar qui joue au mort Bach (Désolé)
"de la bouillie sonore pour fiotte émasculée de prisunic d'arrondissement sans numéro."
RépondreSupprimerAh, c'est vrai, ça de la musique couillue, avec des tambours et des trompettes, et des uniformes, et des bottes qui claquent...
Vivement que Carlo Orff revienne...
Dorham, troll n°2.
Martin Lothar, je savais que j'allais vous énerver ! Mahler agit sur vous comme la muleta sous le mufle du Miura...
RépondreSupprimerDorham : merci de votre trollesque soutien !
De toute manière, il en est aussi sorti à reculons. Faites attention au dernier mouvement. On croit que c'et bientôt fini, mais non, cela recommence !
RépondreSupprimerNous on sort bien de la vie les pieds devant ...
RépondreSupprimeriPidiblue dénonce son petit copain Gustav