Je sais bien que les moins de 88 ans n'ont à peu près aucune chance de connaître cette chanson de Piaf, mais bon. Depuis hier, les insectes bourdonnent, les bourgeons se la jouent gonflés, les jupes raccourcissent, les mâles prennent l'apéro en laissant la porte ouverte sur le jardin (mais avec un petit pull tout de même : on n'est pas des fondus non plus), les oiseaux tentent de brailler plus fort que le iPod - et souvent y parviennent.
Bref, enfin le printemps.
(Si on clique sur le lien, on pourra constater une énorme faute de français dès le premier mot...)
Bref, enfin le printemps.
(Si on clique sur le lien, on pourra constater une énorme faute de français dès le premier mot...)
Justement je me demandais si je n'irais pas me promener aux Champs ...
RépondreSupprimeriPidiblue parisianisme
Je ne suis pas parisienne, ça me gêne, ça me gêne ...
RépondreSupprimeriPidiblue la plus belle pour aller danser.
http://www.paroles.net/chanson/19696.1
C'est comme ça que je l'aime, la môme, sans la musique.
RépondreSupprimerSa voix m'insupporte, c'est mal, je sais.
Mère Castor, vous n'êtes plus seule (ni moi non plus) je ne supporte pas la voix d'Édith Piaf non plus ! Enfin quelqu'un qui me comprend !
RépondreSupprimerholà Didier Goux nous fait une montée de sève ?
RépondreSupprimer:-)
Pour ma part c'est l'icône Piaf qui m'insupporte, ainsi que sa voix pour l'avoir trop entendu. Et puis ce surnom "la Môme", ça sonne vilainement, c'est assez laid (comme "le gone" lyonnais par ailleurs). Et puis, je n'aime pas vraiment l'argot parisien, je ne sais pas pourquoi.
RépondreSupprimerJe n'ai pas vu le film qui avait l'air outrageusement pathétique.
Cela dit, c'est enfin le printemps, et c'est merveilleux !
Et puis ça aussi.
RépondreSupprimerIl parait qu'à la radio belge, c'est coutumier de la passer, au printemps.
Catherine et Mère Castor : je vous méprise !
RépondreSupprimer(Smiley ! smiley !)
Jean-Baptiste : le surnom de "La Môme Piaf" a été trouvé en 1936 par Louis Leplée (le découvreur de Piaf), parce qu'il existait déjà une "Môme Moineau" (si je me souviens bien). À partir de 1944, Piaf a gardé le pseudonyme mais a repris son prénom.
Quant au film, je m'en contrefous et n'ai nullement l'intention de le voir.
J'ajoute que René Rouzeaud (qui a aussi écrit pour Ferré) était un bon auteur de chansons.
iPidiblue préfet aux Champs : méfiez-vous des tentations...
RépondreSupprimerJ'ajoute que je comprends très bien (et même, je pense, pourquoi) qu'on puisse trouver la voix de Piaf insupportable.
RépondreSupprimer(Si quelqu'un est capable de rédiger une phrase encore plus mal construire que celle-là, il est mon invité à dîner...)
Vous venez de le faire ... vous êtes votre propre invité !
RépondreSupprimeriPidiblue sous-préfet des Marguerites
Des Goux et des couleurs... On ne discute pas.
RépondreSupprimerQuel plaisir de constater que je ne suis pas la seule à DETESTER et les chansons d'Edith Piaf et sa voix!
RépondreSupprimerMerci à tous, car quand j'ai dit la même chose à mon père il y a des années (je ne précise pas combien, bande de voyeurs), je me suis fait mal voir.
Bref, merci à tous qui me comprenez!
Jusqu'où ira ce blog????
RépondreSupprimerSuzanne.
Pour les uns c'est Piaf, pour les autres c'est la Solidor. Eh bien pour moi, c'est Brassens : sa voix de gros ramier me débecte. Je ne peux pas le blairer, ni l'encadrer.
RépondreSupprimerMaîtresse : je ne vois pas très bien ce que peut donner une voix de "gros ramier" (même si Brassens m'indiffère). Retournez donc chez Georges !
RépondreSupprimerEt bien non, la musique n'est pas affaire de goût !
RépondreSupprimerPiaf est une chanteuse qui n'est pas de ma génération. Les harmonies déclinées dans ses chansons sont vieillottes, dépassées. Son chant est lui aussi daté. Et pourtant, on ne peut pas jeter ça aux orties sous prétexte que ça nous troue les oreilles...
Sinon, il suffit qu'un âne vienne nous raconter que Bach c'est de la chiotte et on dirait tous "amen". Bon, d'accord, je mélange Bach et musique populaire, c'est grossier. Mais tout de même. Piaf est une très grande chanteuse. C'est indéniable ! Et il ne suffirait pas de grand chose pour le démontrer...
Les goûts ne servent pas à déterminer la valeur de l'art, seulement à vous permettre de choisir vos disques.
On résume :
pour l'art, on use de discernement,
pour le commerce, on utilise son goût (de merde, de préférence)...
Dorham, vous dites n'importe quoi ! Si je ne supporte pas la voix de Piaf et mon Luminaire celle de Björk, c'est quoi, sinon une affaire de Goux" ?
RépondreSupprimerCatherine,
RépondreSupprimerComme je dis, le goût détermine le rapport que l'on entretient soi avec l'oeuvre. Soit on l'aime, soit non. En revanche, cela ne détermine rien de sa valeur. Sans quoi, ce serait absurde et il faudrait faire une moyenne, ou juger que ce que les gens aiment en masse est ce qui est de la meilleure qualité.
Dans mon exemple je dis que mon goût existe puisque je n'apprécie Piaf que très modérément. En revanche, je ne peux nier la qualité de la chanteuse.
Je ne dis donc pas n'importe quoi, c'est vous qui ne considérez qu'un pan de la question...
En outre, je ne comprends rien à votre phrase ! Peut-être contient-elle une part d'ironie, que sais-je...
le gout qu'on a pour la musique et sa valeur sont deux choses différentes. Je ne dit pas que Piaf n'a pas de valeur en tant que chanteuse, elle ne me touche pas, c'est tout, depuis l'enfance c'est comme ça.
RépondreSupprimerAu long de la vie les gouts évoluent pour beaucoup de choses, chez moi pour Piaf ça n'a pas bougé. Il y en a d'autres, mais je n'ose pas le dire, à chaque fois qu'on ose avouer ce genre de chose, on se prend des coups de bâton.
Vous pouvez y aller : je ne retrouve plus ce satané bâton...
RépondreSupprimerOui, Dorham, c'était de l'ironie !
RépondreSupprimerJ'approuve ce que vous dites Mère Castor !
RépondreSupprimerTout ceci ne nous explique pas pourquoi certains posts atteignent 143 commentaires et d'autres se traînent misérablement ?
RépondreSupprimeriPidiblue inquiétude métaphysique