jeudi 3 avril 2008

Serge Goux s'invite à l'apéro

Il y a une minute et demie, j'ai dû m'y reprendre à deux fois pour m'extraire du L*fuma qui me sert de fauteuil provisoire (consigné dans la Case que je suis), afin d'aller me servir mon deuxième verre.

[Pause : les jeunes crétins qui me font office de lecteurs peuvent bien ricaner : vous verrez ce que c'est que de s'extraire d'un L*fuma, passé 50 ans, bande de cons !]

Bref, pendant une poignée de secondes, j'ai eu l'impression d'être Serge Goux, le père de l'Irremplaçable et de Nathalie. Et ça m'a fait plaisir.

Voilà, c'est tout. Mais j'aimais beaucoup ce Goux-là.

Tiens, un jour, si j'y pense, je vous raconterai la parfaite murgée que j'ai prise avec cet excellent homme (chez mes parents qui n'étaient pas là, grâce au ciel). Il y a bien longtemps, la vie était alors très simple (me semble-t-il). Les morts ont parfois cette faculté de vous faire voir la vie plus lumineuse.

(Mais qu'est-ce que je raconte, moi ?)



(Catherine, ton blog est en train de devenir fou : à cause de Bjork, probablement...)




10 commentaires:

  1. @ Didier
    Preum's (tout à l'heure j'ai fait centième)
    Mon canapé n'est pas un Lafuma, mais bien confortable quand même et propice à la réverie, et j'ai le même souci quand le téléphone sonne.
    Le temps que je me lève, que je me dirige vers le téléphone, avant de décrocher, j'ai identifié l'impétrant, imaginé tout ce qu'il allait me dire et ce que j'allais lui répondre et, quand je décroche... Bin j'ai plus rien à dire, vu que c'est déjà fait

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  2. Bjork et ses vaches folles... Du coup on ne vous y trouve plus, j'ai du feinter pour arriver ici.

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  3. Olivier, leçon N° 1 : NE JAMAIS RÉPONDRE AU TÉLÉPHONE !!!

    Mme Castor : depuis quand on a besoin de "feinter" pour arriver chez moi ?

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  4. Bon, je vais enlever Björk, vous n'êtes pas les seuls à me le dire !

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  5. D'abord, j'ai vu le billet de haine pure, prise de plein fouet... Ca fait mal... surtout quand on sait que c'est DEMAIN qu'on mangera les cuisses de grenouilles ! Mais tu verras bientôt sur mon blog la photo de la terrine Richelieu à la Morteau et au Comté que j'ai faite pour la première fois à la demande expresse de Catherine et que nous avons mangé ce soir, et vraiment c'est délicieux !
    Bon arrête de nous haïr, je pense toujours au bonheur de tous, et j'en ai fait une pour deux que j'ai soigneusement embalée et congelée pour que Catherine la remporte, tu y auras droit le soir de son retour.
    Je te pardonne ta haine (bien compréhensible) à la lecture du billet sur mon père qui était pourtant aussi ici ce soir (surtout après le 3ème whisky). Les larmes aux yeux viennent aussi plus facilement encore avec le whisky...

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  6. C'est le gros avantage des ivrognes morts : ils peuvent être partout à la fois...

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  7. Depuis qu'on a pas encore pris le temps de vous mettre en marque page, tiens.
    A cause d'une autruche.
    M'en vais le faire de suite.

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  8. Putain ! Je suis tombé sur un blog de vieux.

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  9. Vous la jouez carrément spartiate, là ! J'imagine que vous administrez le blog à partir d'un minitel en écoutant France-Inter sur un vieux transistor qui grésille ?

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  10. La vie est mal faite. Je suis jeune et j'ai un canapé tellement dur que je ne m'y assois jamais. Je préfère les chaises qui au moins ne prétendent pas être autre chose que ce qu'elles sont.

    Si je me vautrais dans le vôtre Didier, je n'aurais aucun mal à m'en extirper.

    Si vous voulez, on échange ?

    (J'adore les cuisses de grenouilles !)

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.