Et pas fâchés de l'être, rentrés ! Ce genre de week-end est par nature épuisant, dans la mesure où l'on mange et boit plus que de raison, en tout cas plus que d'habitude. Et notamment chez André et Béa, où l'on se fait agresser sauvagement à coups de salade mixte (cervelas, gruyère râpé et vinaigrette), de baeckehoffe (le premier qui me signale une faute d'orthographe à ce mot insortable s'en prend une dans les maxillaires...), de riesling, gewurtz et autres chasselas (dont une bouteille chasse l'autre, c'est connu).
Cette fois-ci, la situation s'est encore aggravée du fait que les trois trajets que nous avons effectués (Le Plessis – Schiltigheim samedi, Schiltigheim – Sedan hier, Sedan – Le Plessis aujourd'hui) se sont déroulés dans une ambiance que la photo prise par l'Irremplaçable illustre parfaitement : c'était un tantinet pénible. Mais enfin, on a survécu, on a explosé les taux de cholestérol et de triglycérides comme des chefs, Elstir s'est superbement comporté, et on a récupéré les deux autres cadors en parfaite santé il y a moins d'une heure. Ajoutez à cela une visite “à thème” (j'en reparlerai probablement, avec photos à l'appui) du Haut-Kœnigsbourg par un froid de gueux, et vous aurez déjà une première idée de ces quatre jours, somme toute parfaitement bien remplis. Ce soir, ça va être apéro léger, histoire de ne pas redescendre trop brutalement, petit dîner, au lit de bonne heure.
Voilà.
Cette fois-ci, la situation s'est encore aggravée du fait que les trois trajets que nous avons effectués (Le Plessis – Schiltigheim samedi, Schiltigheim – Sedan hier, Sedan – Le Plessis aujourd'hui) se sont déroulés dans une ambiance que la photo prise par l'Irremplaçable illustre parfaitement : c'était un tantinet pénible. Mais enfin, on a survécu, on a explosé les taux de cholestérol et de triglycérides comme des chefs, Elstir s'est superbement comporté, et on a récupéré les deux autres cadors en parfaite santé il y a moins d'une heure. Ajoutez à cela une visite “à thème” (j'en reparlerai probablement, avec photos à l'appui) du Haut-Kœnigsbourg par un froid de gueux, et vous aurez déjà une première idée de ces quatre jours, somme toute parfaitement bien remplis. Ce soir, ça va être apéro léger, histoire de ne pas redescendre trop brutalement, petit dîner, au lit de bonne heure.
Voilà.
Evitez un brusque changement d'alimentation qui pourrait vous occasionner trous d'air et flatulences que vos chiens ne sont pas obligés de supporter. Vous manquiez ici.
RépondreSupprimer"Baeckeoffe" sans "h" merde !
RépondreSupprimerJ'ai le droit de vous corriger du reste, car il se trouve que parmi la nuée de ritalalacons et de connes de ritals qui composent mon saule généalogique surnage une arrière grand-mère originaire de Moselle. Parce que nombre de ritalalacons de ma famille s'y sont installés (à cause ou grâce aux mines) et ont cru bon de se métisser avec des français à moitié allemands !
"on a survécu"
RépondreSupprimerAh ! Merde...
Heureux de vous voir bien rentrés (merci Rolelyne..) car dépourvu du piment "gouxique", le "blogoquotidien" paraît bien fade ! Quant à vos histoires de chasse, elles donnent bougrement soif (et faim) !
RépondreSupprimerYann : Avant même de l'avoir lu, on a suivi votre conseil : pastis puis boudin blanc (spécialité ardennaise...). Et merci, sinon.
RépondreSupprimerDorham : vous faites chier : j'ai cherché sur internet, bordel ! À part ça, un mélange de Mosellan et de Ritalalacon, j'veux même pas savoir ce que ça donne !
Nicolas : Ouais... c'était la mauvaise nouvelle du jour... Vous pouvez transmettre à Tonnégrande : ces connards de Nègres (allô, le Mrap ?) ont toujours un ennemi bien vivant...
Pluton : on en a chié un peu (à cause des trajets pénibles), mais il y a plus de trente ans que nos amis alsaciens (et maintenant leurs enfants) valent les meilleurs "psy" du monde...
On écrit le nom du baekhoffa (prononcer bèkofe selon ma version à moi de l'alsacien) d'autant de manière qu'on peut le cuisiner ou y joindre des aliments, c'est-à-dire une par village - voire par foyer. En revanche, votre graphie du gewurztraminer ne me semble pas très catholique, elle a une tronche d'allure réformée. Je sais bien que cela peut sembler étrange aux gens de l'Intérieur comme vous, mais le z graphique final dans gewurz est un z allemand qui forme une affriquée tz du point de vue phonétique. Cela dit, Schiltty, ce n'est vraiment pas du tout ce que l'on peut appeler l'Alsace profonde et encore moins viticole, c'est comme si vous nous racontiez que vous avez bu du beaujolais en visitant Vénissieux !
RépondreSupprimerDominique : je savais bien que je m'attirerais des emmerdes avec ce putain de plat ! Je suis très lié à l'Alsace, néanmoins : j'ai passé l'essentiel de mon enfance (fils de militaire que je suis) à Lahr, soit à trente kilomètres de Strasbourg, entre 1961 et 1967. Et il se trouve que, à partir de 1977, intégrant le CFJ (Centre de formation des journalistes, rue du Louvre, à Paris), j'ai eu l'immense chance de connaître cet ami auquel je fais fréquemment allusion, André, lui-même Alsacien, et n'ayant jamais (à part ces deux ans de CFJ) quitté l'Alsace. Enfin, voilà, quoi...
RépondreSupprimerOh ! mais je ne vous cherche pas pouille au sujet du baekhoffa (ou tout ce que l'on voudra désigner par ce nom dans une prononciation et une orthographe un peu similaire), mais plutôt du côté du gewurztraminer qui me semble un peu mieux entériné par les dictionnaires et surtout les étiquettes en supermarché. C'est un peu bizarre, il y a le français alsacien et puis l'alsacien français, vous employez le second alors qu'il n'y a pas de tz graphique dans le premier mais un zt et que c'est ce qui figure sur les bouteilles. Oui, je sais l'allemand est une langue horrible d'un point de vue orthotypographique pour un Français, l'alsacien encore plus, mais c'est la réalité ! Bon... vous n'avez pas utilisé d'umlaut dans ce cas et cela vous sauve. Il y a des gens qui veulent faire plus germanique à tout prix alors que les Alsaciens francisent à tout va sans trop de cohérence.
RépondreSupprimerTiens moi j'aurais dit baekenhoffe .. En tout cas c'est bon et oui comment dire nourrissant? Geargies.
RépondreSupprimerVous coucher tôt alors qu'il y a justement Gack-Gack ce soir, sur le câble – version de Pouic-Pouic doublée en Mittelelsässisch et sous-titrée en Südfränkisch ?
RépondreSupprimerAllons, Monsieur Goux, ne faites donc pas votre Wälschgüller !
Bon ! Quand vous serez retapé de vos méfaits divers, vous vous pencherez avec sollicitude sur votre propre cas, puisque, on a dû vous le dire, vous figurez à trois reprises dans le rapport 2009 du MRAP, en tant que « droite extrême ». Nous sommes nombreux, au moins trois, à attendre comment vous allez leur en mettre une dans les dents.
RépondreSupprimerJ'peux donner un avis d'Alsaco pur sucre ? Vous écrivez bäckaofa comme vous voulez : l'alsacien n'étant pas une langue, son orthographe n'est pas fixée et diffère notamment entre le nord et le sud de l'Alsace. En revanche, la prononciation est sans contestation possible : Bèkaofa. Avec deux accents toniques : sur le è et sur le o. Allez, tous en choeur...
RépondreSupprimerNicolas,
RépondreSupprimerMerde, il a survécu ?
Cela signifie qu'il n'est pas mort ?
C'est Catherine qui doit avoir les boules, la pauvre !
Ceci dit, pour une fille de viking, question assassinat,
RépondreSupprimerelle ne semble faire aucun effort!
Didier,
RépondreSupprimerComme Troll, après avoir eu Dominique, vous avez eu Tonnégrande. Je ne peux plus rien pour vous.
Je ne suis pas un trolleur, j'ai beaucoup d'affection pour tous les anars, y compris ceux de droite comme Didier Goux. En revanche, je déteste les personnes qui divisent les gens entre blogueurs influents cotés au Wikio et trolleurs qui sortent du Wikio. Allez-vous faire voir ailleurs avec vos fausses catégories tout juste bonne pour des midinettes.
RépondreSupprimerLe problème de Dominique est son manque complet d'humour.
RépondreSupprimerBon retour à vous cinq...
RépondreSupprimerMais vous n'évoquez pas le kouglof. Impossible de passer un long we en Alsace sans manger de kouglof au petit déjeuner.
Juliette, j'ai mangé un gâteau délicieux au petit-déjeuner. Ce devait être ça.
RépondreSupprimerTonnégrande, va comprendre, je fais tous les efforts possibles pour le garder, et en bonne santé, en plus !
J'ai vu faire un jour ce plat barbare à la télé et ça m'a donné envie, parce que ça avait l'air bon et que c'est un plat militant. Charcutaille oblige.
RépondreSupprimerJ'ai testé, c'est bon mais c'est quand même un étouffe chrétien! J'en ai mangé pendant 3 jours, faute d'expérience dans les dosages de lard, de choux et trucs divers.
Sinon, c'est bon, comme je l'ai déjà dit je crois.
Bienvenue chez vous, Didier!
C'est quoi un plat militant? Merci davance pour votre réponse éclairante.
RépondreSupprimerJ'oubliais. Bravo pour la mystification chez G, l'autre jour.
RépondreSupprimerUn seul blogue vous manque et tout est déblogué.
RépondreSupprimer(Personne n'avait osé tant c'est mauvais. Moi, si.)
marine bis, c'est pas moi!
RépondreSupprimerDominique, vous savez ce qu'elles vous disent les midinettes ?
RépondreSupprimerenfin pas moi parcequ'il y déja longtemps que je n'en suis plus
Olympe, vous aimez figurer dans les classements, vous vous battez pour y être présente avec d'autres femmes, mais vous ne vous êtes jamais demandé s'il fallait vraiment établir à tout prix des classements. Bon... puisque "midinettes" vous offusque en tant que féministe, je parlerai alors de gamineries et d'enfantillages. Cela n'empêche pas les féministes de tomber dans les pires travers de la presse dite féminine.
RépondreSupprimer@Pétula Claque:
RépondreSupprimerun plat militant?
Mais je l'explique dans l'entre deux points suivant: "Charcutaille oblige".
Si vous voulez d'autres éclaircissements, je suis à votre disposition.
Ajoutez à cela une visite “à thème” (j'en reparlerai probablement, avec photos à l'appui) du Haut-Kœnigsbourg
RépondreSupprimerEl cóndor pasa
A deux pas du Haut-Koenigsbourg, la Volerie des Aigles se dresse autour des ruines du château médiéval de Kintzheim. Ce parc propose des spectacles qui mettent en scène différentes espèces. Condors, faucons et vautours évoluent en vol libre au-dessus du public. Au micro, un guide présente chaque animal et livre leurs secrets. On y découvre des oiseaux doués d'une intelligence rare et les arcanes du métier de fauconnier.
N'oublions surtout pas alors dans le cas de pittoresques sites l'écomusée d'Ungersheim qui emploie en CDD et à temps partiel des gens qui sont censés jouer les gentils paysans du temps jadis et où on retrouve un informaticien qui reconstitue les gestes ancestraux du forgeron, lunettes sur le nez comme nos glorieux anciens. Alsace de pacotille ! Cela fait tellement plaisir à certains le folklore sans voir la misère.
RépondreSupprimer