Le samedi 13 mars sera une journée hautement culturelle et parisienne ou ne sera pas, qu'on se le dise. En tout cas pour l'Irremplaçable et moi. Pour commencer, à trois heures de l'après-midi (15 h, en sabir post-moderne), nous sommes attendus ici.
Il m'a bien fallu trois-quarts d'heure, hier soir, pour parvenir à réserver deux places par le biais d'internet, mais enfin j'y suis parvenu. Et la perspective d'entendre Luchini “servir” Muray aux spectateurs que nous serons m'enchante tout particulièrement.
Le hasard a voulu que, ce même samedi, les membres de la SLRC aient rendez-vous à six heures pour une réunion/discussion avec Renaud Camus, “sur le thème de son choix”, est-il précisé sur l'invitation. Vu l'heure à laquelle est fixé le début de la rencontre, on espère qu'elle débouchera sur une quelconque saucissonnade arrosée, mais on n'est sûr de rien.
Les seuls à faire un peu la tronche, ce sont les trois chiens, qui ont bien compris qu'ils ne dîneraient pas avant neuf ou dix heures du soir, au lieu de six heures d'ordinaire. Pour compenser et tenter de se réconcilier leurs bonnes grâces, j'ai prévu, durant tout le temps de la gamelle, de leur lire à mon tour du Muray et du Camus.
Il m'a bien fallu trois-quarts d'heure, hier soir, pour parvenir à réserver deux places par le biais d'internet, mais enfin j'y suis parvenu. Et la perspective d'entendre Luchini “servir” Muray aux spectateurs que nous serons m'enchante tout particulièrement.
Le hasard a voulu que, ce même samedi, les membres de la SLRC aient rendez-vous à six heures pour une réunion/discussion avec Renaud Camus, “sur le thème de son choix”, est-il précisé sur l'invitation. Vu l'heure à laquelle est fixé le début de la rencontre, on espère qu'elle débouchera sur une quelconque saucissonnade arrosée, mais on n'est sûr de rien.
Les seuls à faire un peu la tronche, ce sont les trois chiens, qui ont bien compris qu'ils ne dîneraient pas avant neuf ou dix heures du soir, au lieu de six heures d'ordinaire. Pour compenser et tenter de se réconcilier leurs bonnes grâces, j'ai prévu, durant tout le temps de la gamelle, de leur lire à mon tour du Muray et du Camus.
Pour les faire patienter j'irai leur chercher des gros "nonosses".
RépondreSupprimerDans la série des "chats", petits polars insipides dont je me régale quand je veux me changer les idées, le héros fait la lecture à ses chats.
RépondreSupprimerles Goux au théatre ? J'ai hâte de lire le compte rendu.
J'avais entendu Lucchini parler de ce projet de spectacle, et pensé à vous, donc.
Bon spectacle, comme on dit.
ya pas de raison que je commente ici puisque vous n'avez pas répondu sur le précédent. Na!
RépondreSupprimerEn effet, y a pas de raison...
RépondreSupprimerSupporte pas Lucchini.
RépondreSupprimerIl me colle des plaques.
Pas grave, j'ai pas pris de billet pour vous...
RépondreSupprimerPourquoi faire ce billet le lendemain ?
RépondreSupprimerIl est de mauvais poil?
RépondreSupprimerNon, il a écrit 30 pages et en a relu et corrigé 45...
RépondreSupprimerLucchini est une bête de scène, peut-être en fait-il un peu trop (ce qui peut parfois agacer) mais l'écouter est un régal !
RépondreSupprimerÇa va être une journée méga-festive !!!
RépondreSupprimer:-))
[J'ai eu la joie de voir Luchini sur scène dans son interprétation de Céline, l'arrivée à New york. C'est encore tellement brillant en moi que je ne saurais dire en quelle année j'y ai assisté ! :-)) ].
L'actualité Muray m'avait échappée (Luchini en plus !). J'avais touché un mot sur lui dans mon délire dominical, j'ai du coup ajouté le lien vers ici.
RépondreSupprimerDécidément très, très bon, ce monsieur Muray.
Pluton : c'est surtout lorsqu'il est sur un plateau de télévision qu'il devient vite "too much".
RépondreSupprimerPoireau : nous l'avons vu aussi. A la louche, je dirais qu'il doit y avoir au moins douze ans.
Lediazec : merci pour le lien ! Et ne lisez pas trop Muray ou vous allez virer réactionnaire...
@ Didier Goux. Aucun danger. Aux dernières nouvelles j'étais immunisé contre le nucléaire.
RépondreSupprimerEn fait,
RépondreSupprimerMuray, il va (est en train de) se faire récupérer par l'intelligentsia bien pensante. Il est le moyen pour les bobos lavasses (qui s'imaginent de gauche) de s'encanailler un petit peu...
Il est le Céline de demain (parce que pas encore tout à fait entré dans les moeurs) - mais ça va venir !
Tiens, tout ça, ça me donne envie de gonfler des baudruches et d'organiser une queue leu leu géante au boulot, avec cotillons et chapeaux pointus...
@Dorham. Vous m'avez l'air bien prétentieux dans vos assertions.
RépondreSupprimerLediazec,
RépondreSupprimerNon, je ne trouve pas, je pressens des choses...
Et puis bon, se faire chambrer (sans méchanceté) de temps en temps, ça ne fait pas de mal...
RépondreSupprimerJe dois avouer que j'ai été un peu surpris de cette association (Muray – Luchini). C'est d'ailleurs ce qui m'a donné envie d'y aller voir.
RépondreSupprimerMais je crois que le risque pointé par Dorham existe. Comme il existe du reste pour tout écrivain disparu : « On entre dans un mort comme dans un moulin », disait Sartre, qui a souvent pratiqué éhontément cet exercice.
@Dorham. Ca pour chambrer, oui, ça m'arrive assez souvent. Chez moi, on appelle ça le quart d'heure breton. Quand cela vous tombe dessus, une solution : attendre que ça passe.
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerLa subversivité absolue - mettons la corosivité pure - n'existe pas.
Soit l'on a affaire à une sombre immondice et alors, on se charge de l'interdire, de précipiter le tout dans le néant.
Soit l'on a affaire à une oeuvre qui (sobrement) dérange quelque peu nos idées reçues. Cela fera alors scandale un temps puis cela s'éteindra. Nécessairement.
La tentation est grande pour quelqu'un qui a des opinions politiques "hémiplégiques" de récupérer des penseurs de l'autre bord, histoire de se protéger de toute accusation de sectarisme. Muray me semble idéal pour cela. C'est un peu comme le raciste qui a un ami noir.
Pour le gauchiste, Muray peut être une forme de transgression. Et il n'est rien que l'homme (de gauche, enfin, de gauche...) aime davantage que transgresser sans risque de s'égratigner.
Ah c'est typique de la droite extrême ! Il se trouve des billets, le gars, pour le Speccctaaaccccllle et il ne dit pas comment. Il garde ça pour lui et il ne donne pas le tuyau à la Réacosphère qui se ferait un plaisir d'aller au même speccctaaacccle mais pas le samedi, le lundi par exemple, simplement pour éviter de croiser la droiuuuuatttte extrême !
RépondreSupprimerAh le salaud ! Mais m'enfin bordel, Didier, des liens bordel, des liens !!! vers le site où qu'on trouve des billets pour le speccctaaaacle.
Ah le radin, le cachotier ! Espèce de socialiste tiens !
Mais sait-il vraiment lire ce Lucchini ?
RépondreSupprimerLongtemps que vous ne postez plus...on se réserve pour le journal, en retard sur le prochain BM? en espérant vous relire bientôt
RépondreSupprimerPRR : mais il y a un lien vers le spectacle !
RépondreSupprimerPrimo : cette soi-disant SLRC n'est qu'une officine fasciste aux rites pseudo-aryens qui n'ose dévoiler ses objectifs racialo-communautaristes,
RépondreSupprimercomposée de quelques conjurés passablement âgés voire séniles et alcooliques
Deuxio : Luchinni malgré son avantageux patronyme italien, cet assidu, persistant et inlassable fréquentateur de plateaux télé pour ménagère de moins de cinquante ans n'est qu'un produit médiatique avarié voire un con, certes adulé comme johnny hallyday mais dont les diahrées et les vomissures verbales éclaboussent néanmoins le bon goût et dans lesquelles n'aiment à se vautrer que ceux qui se piquent de ne point fréquenter les boucheries hallal.
Tertio : dire de Muray qu'il est le Céline de demain, lequel : celui des wagons plombés ?
Quand à votre copain raciste qui a un ami noir, c'est probablement afin que ce dernier puisse honorer son épouse, entretienne son jardin et torche le grand-père rescapé de la der-de-der ou tout à la fois.
Nicolas voilà, j'ai fait comme tu m'as dit !
Tiens ! Tonnégrande a fini l'apéro.
RépondreSupprimerTonnégrande : ce superbe commentaire vous vaut votre première étoile de troll, bravo !
RépondreSupprimerJ'étais moins optimiste que vous lorsque j'ai appris la nouvelle ; mais vous raconterez.
RépondreSupprimerhttp://echopolitique.wordpress.com/2010/02/14/le-13-mars-dernier-avatar/
En guise de lot de consolation, vous pourrez toujours vous rendre ici samedi prochain.
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