Il est des magazine qui ne coûtent pas très cher à l'achat, mais qui se révèlent finalement onéreux, en raison de ce que l'on pourrait appeler les “dépenses induites” ou encore les “frais dérivés” Il en va ainsi de la Nouvelle Revue d'Histoire – NRH pour les pratiquants. Dès le premier feuilletage rapide du numéro de novembre-décembre (oui, la dame est bimestrielle…), j'ai su que je ne résisterais pas à l'appel de la commande pour deux des ouvrages recensés. Tout d'abord le livre de Reynald Secher intitulé Vendée. Du génocide au mémoricide, dans lequel, nous dit-on, l'auteur montre, en s'appuyant sur des archives jamais encore exploitées par les historiens, que le massacre global des Vendéens fut bel et bien programmé sciemment par les dirigeants de la Convention, Robespierre au premier chef – génocide qui fut ensuite tout aussi sciemment occulté par les historiens, à commencer par Michelet qui a ouvert la brèche de dénégation dans laquelle tous les autres ou presque se sont engouffrés.
Pour que cet ouvrage ne se sente pas trop seul dans son petit panier Amazon, je lui ai adjoint la copieuse Nouvelle Histoire de Vichy, de Michèle Cointet. Parce que je commence (euphémisme) à être exaspéré de voir cette période de l'histoire traînée à tout bout de champ devant tous les tribunaux progressistes, par des belles âmes dont on comprend, après lecture de deux ou trois lignes de leur charabias idéologique, qu'ils n'ont pas la moindre idée de ce qui a pu se passer alors, des tenants et aboutissants, des causes et des effets, tout satisfaits qu'ils sont de remâcher des slogans souventes fois déglutis. On me dira que, moi non plus, je ne connais à peu près rien de cette époque ? C'est vrai, d'où la commande du livre de Mme Cointet.
Ma hâte est telle de recevoir ces deux livres que je songe dès à présent à rebaptiser ce blog. Peut-être l'appellerai-je Didier Goux habite Vichy, ou bien C'est mon chouan, ou encore, plus lapidairement, Vendée Blog – mais pour ce dernier, je suis presque sûr qu'il existe déjà, du côté de La Roche-sur-Yon ou de Fontenay-le-Comte.
Ouarf!!!
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup "c'est mon chouan"!!
Evitez "Tombé en panne à Vichy".
RépondreSupprimer"Le nouveau livre de Reynald Secher ne constitue pas le récit de cette histoire, même si elle est rappelée à grands traits, mais une réflexion sur le silence qui l'a longtemps entourée et qui, d'une certaine manière, n'est pas totalement dissipé, en dépit des (rares) travaux universitaires consacrés à la question ou du réveil de l'identité vendéenne, symbolisé par Le Puy du Fou. L'ouvrage est militant - jusqu'à réclamer une loi reconnaissant le génocide vendéen, point de vue discutable - et sa perspective comparatiste avec la Shoah ou le génocide arménien est un peu rapide. Secher creuse néanmoins un sujet essentiel en revenant sans cesse sur le massacre de 1793-1794, qui reste le point aveugle de la Révolution française." (Jean Sévillia)
RépondreSupprimerhttp://www.jeansevillia.com/index.php?page=fiche_article&id=187
C'est curieux cette note succédant à la précédente, on pourrait dire que Vichy était une revendication, bien volontaire celle-là et dramatique, pour que
RépondreSupprimer"l'Europe devienne une société ethnique dans un moment d'extrême attention"
au prix des horreurs que l'on sait.
A Nantes, Carrier fait régner la terreur, noyant 10 000 innocents dans la Loire. «Nous ferons de la France un cimetière, proclame-t-il, plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon.»
RépondreSupprimerC'est exactement la mentalité de la gauche française d'aujourd'hui. Là aussi, les preuves historiques existent.
A l'époque de la grève qui a précipité la mort du paquebot France, le syndicat des marins CGT l'avait dit ouvertement : il préférait détruire la marine marchande française, plutôt que de renoncer à ses "droits sociaux".
Et c'est ce qu'il a fait.
Il fait dans la dentelle, le Marchenoir.
RépondreSupprimerSavez-vous ce qu'elle vous dit la marine française?
Je précise (on ne sait jamais) que je n'ai rien à voir avec Léon.
RépondreSupprimerLe gauchiste-type, Léon : il accuse les autres de ses propres vices.
RépondreSupprimerCe n'est pas moi qui "fais dans la dentelle", bougre d'andouille ! C'est la CGT.
Ce n'est pas moi qui ai volé un stock de fusils au moment de la faillite de Manufrance, pour le cacher sur mon lieu de travail en attendant la révolution socialiste, et rendre plus "convaincantes" mes "justes revendications sociales" : c'est le syndicat CGT des imprimeurs de journaux (qui n'a d'ailleurs jamais été poursuivi pour ce fait, porté directement, et secrètement, à la connaissance du ministère de la Justice de l'époque).
Ce n'est pas moi qui ai tué le port de Marseille à force d'exactions mafieuses, réalisant l'exploit de détruire son attractivité naturelle dûe à sa localisation et à deux mille ans d'histoire, au profit du port de Rotterdam beaucoup moins bien situé : c'est la CGT.
Etc, etc.
Je ne vais pas abuser de l'hospitalité du taulier pour vous faire la liste, qui pourrait remplir plusieurs centaines de pages ; complétez vous-même. Eduquez-vous un petit peu, avant de réagir avec l'intelligence d'un rat de laboratoire peint en rouge.
Ce que j'appelle faire de la dentelle c'est comparer l'assassinat pur et simple des chouans avec des revendications ouvrières, que vous vous mettiez en colère ou pas, cette assimilation me parait pour le moins osée
RépondreSupprimerCarine,
RépondreSupprimerJ'espère bien moi aussi!
Apprenez à lire, nom de Dieu, Léon, avant d'écrire n'importe quoi !
RépondreSupprimerJ'ai rapproché cette citation de Carrier : "Nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon", des déclarations de la CGT qui disaient exactement la même chose concernant une partie de l'économie française, à savoir sa marine.
La CGT dit exactement la même chose que le populicide de la Révolution française ! Ca ne vous interpelle pas un tout petit peu au niveau du vécu ? Il y a, à l'évidence, une filiation historique entre la volonté de massacre de la Révolution française, ses inclinations terroristes, et la gauche d'aujourd'hui, sans parler des prétendues "valeurs républicaines" dont on nous casse les couilles à l'année longue, à gauche comme à "droite".
La CGT n'a pas elle-même massacré de gens ? La belle affaire ! Ils étaient destinés à quoi, les milliers de fusils qu'elle a planqués dans un hangar de distribution de journaux ? Au tir sportif ?
La CGT n'est pas une émanation directe du parti communiste, peut-être ? Elle n'a pas soutenu les régimes communistes qui ont fait cent millions de morts ? Elle ne les a pas activement soutenus ?
La CGT des imprimeurs de journaux n'a-t-elle pas, pendant des années, volé des bobines entières de papier journal subventionnées par le contribuable français pour les convoyer, par bateaux de la marine marchande justement, jusqu'à Cuba, afin de faciliter au régime frère sa noble tâche qui incluait l'assassinat des opposants politiques ?
Mais à part ça, ça n'a rien à voir ! Faut pas comparer ! La malhonnêteté et l'irresponsabilité de la gauche à leur sommet !
Si, au moins, les gauchos nous disaient : oui, on veut le communisme, et oui, on pense qu'il est justifié de tuer des millions de gens pour y parvenir, au moins pourrait-on leur reconnaître un minimum de dignité dans la saloperie (et c'est bien ce qu'ils disaient ouvertement, il n'y a pas si longtemps).
Mais aujourd'hui, ils veulent à la fois la saloperie et la respectabilité !
Marchenoir,
RépondreSupprimerVous voyez que j'ai bien fait de vous reprendre, cela vous permet de vous expliquer et surtout de baver vos haines à plusieurs reprises.
Et au fond de ne rien changer à votre raisonnement:
"A gauche,ce sont tous des assassins".
En mots, ou en actes, ou en omissions, mais des assassins, hier, comme aujourd'hui et comme demain
Alors, allez-y, éructez, éructez,je suppose que ça vous fait du bien, et puis je ne voudrais pas vous faire perdre vos obsessions. De quoi vivriez-vous alors?
A priori le bouquin de Sécher vaut son pesant de cendres. Michelet nous a écrit un roman. Vous nous direz si le bouquin sur Vichy vaut son pesant d'eau ?
RépondreSupprimerMais, si, Marchenoir, abusez tant que vous voudrez : vous êtes ici chez vous !
RépondreSupprimerPRR : ou son pesant de bulles…
Sébastien : pardon, j'avais oublié de réagir à vos précisions ! Je me demandais en effet, si je ne ferais pas mieux de commencer par le livre précédent du même auteur qui, lui, si j'ai bien compris, traitait uniquement du génocide. Bon, on verra bien à l'usage.
RépondreSupprimer" Les actes de la Révolution sont des pierres de scandale que les uns voilent en fils respectueux, que les autres exposent en juges sévères, mais que personne ne songe à examiner en curieux. "
RépondreSupprimerAugustin Cochin, Les Sociétés de pensée et la démocratie moderne. Editions du Trident. 2011. (A se procurer urgemment aussi, chez ce bon éditeur).
C'est justement ce travail de curieux qu'a accompli R. Secher, mettant un terme à la légende jacobine sur la Révolution; légende dorée, longtemps entretenue par l'école marxiste à l'université, et qui sévit encore de nos jours dans les manuels scolaires.
Vous qui êtes normand,M.Goux, avez-vous lu les ouvrages que La Varende consacre à la chouannerie des braves hobereaux de chez vous ? "Man'd'Arc" est un livre qu'il faut avoir lu une fois dans sa vie.
RépondreSupprimerEn parlant de l'héritage de la Révolution française que le monde entier nous envie...
RépondreSupprimerA chaque fois que quelqu'un donne un coup de pied, par hasard, dans une pierre de l'édifice stato-gauchiste, et que la pierre se retourne... on découvre une tripotée de cafards qui grouillaient en-dessous, bien à l'abri des yeux du bon peuple.
Dans l'affaire du Carlton à Lille, Nord-Eclair écrit :
"Pour régler l'addition (environ 2 000 €), [d'une soirée offerte par un gradé de la police pour fêter son avancement] la DDSP [c'est à dire la police] aurait puisé dans l'enveloppe servant à gratifier en liquide les fonctionnaires lorsqu'ils réalisent de belles affaires."
Hein ?!? Les policiers reçoivent des primes en liquide quand "ils réalisent de belles affaires" ?
Et ce sont les fonctionnaires de ce pays-là qui nous donnent du violon sur les mauvais Français qui ne payent pas leurs impôts, qui travaillent au noir, et sur les vertus éminemment sociales et socialistes de l'impôt, qui est une belle et bonne et noble chose, à tel point que plus y en a, mieux cela vaut ?
A tel point que la mission que semblent s'être donnés les syndicats des employés du fisc n'est pas de défendre leurs conditions de travail, mais de défendre l'augmentation continuelle des impôts ?
Ce qui, bien entendu, revient au même ?
Bande d'hypocrites et de menteurs, va ! Salopards ! Voleurs ! Rendez l'argent !
Faut pas vous énerver comme ça, Robert, c'est mauvais pour la santé. Franchement, comment faites-vous pour atteindre à ce déchaînement de fureur véhémente sur tous les sujets ? Jamais je ne pourrais en faire autant : ce serait bien trop fatigant.
RépondreSupprimerMat : je découvre tout juste La Varende (je viens d'ailleurs de lui consacrer un petit billet que vous pourrez lire demain matin à partir de huit heures…). Je n'ai pour l'instant lu que Le Centaure de Dieu et vais entreprendre Nez-de-Cuir – cela pour la partie romanesque de son œuvre. Mais je prends bonne note du livre que vous citez.
RépondreSupprimerJe pense que je parlerai aussi de La Varende sur mon blog à l'occasion. C'est un auteur qui m'est très cher. Tenez, à l'heure où je vous parle, j'achève juste "Le cavalier seul", dont le protaganiste est un émigré, ancien chaouan, un marquis normand s'étant réfugié en Allemagne pour fuir le régime bonapartiste. Je pense que ça vous plaîrait.
RépondreSupprimerPopulicide comme disait Babeuf.
RépondreSupprimerMon grand-père maternel Buchon, était, lui, épicier à Bourges, président du tribunal de commerce et possédait quelques biens. (…) C’était un royaliste fervent et il refusa obstinément d’acheter des biens nationaux (…). Quand j’étais jeune, je me disais: "Quelle bêtise il a faite ! Avec la situation qu’il avait, il aurait pu acheter moyennant quelques liasses d’assignats, cinq ou six cent mille francs de biens qui vaudraient aujourd’hui un million!" Je comprends maintenant que cet ancêtre m’a légué quelque chose tout de même: le droit de parler librement et de dire à certains conservateurs: "Avant de réclamer contre la révolution, restituez d’abord ce que vos parents y ont gagné."
RépondreSupprimerKoltchak91120 citant Babeuf, ça ne manque pas de sel. Mais pour déglinguer le jacobinisme 93, Michelet, Mathiez, Vovelle, Soboul et consorts, il ne faut pas mégoter et être trop regardant.
RépondreSupprimerVive Nestor Makhno, cosaque libertaire!
Cher Monsieur Goux,
RépondreSupprimerJe n'ai pas encore lu votre post suivant car je souhaiterai avant vous faire part de ma requête ici.
Je n'entretiens pas une vendetta obstinée concernant les livres d'histoires et puis de toutes manières je n'arriverai jamais à rattraper tout ce temps perdu.
Je note vos indications, ici comme ailleurs et lorsque mon vent d'état me le permet j'en aborde les contours afin d'y enrichir ce tour de culture général qui m'est globalement fort intéressant dans la fonction auquelle je me suis promise à juste titre : Racine carrée d'un journal intime.
J'en viens à ma demande : Je vous prie de ne pas changer votre titre de blog, s'il vous plaît. je m'en trouverai fort retournée et perdue. Nous avons chacun une fonction première et un lieu pour en exercer le pouvoir. Me concernant c'est être mère, cet état prioritaire, de guide auprès de mes petits. j'en révise régulièrement la légitimité, j'en réclame régulièrement leur consentement, et le mien par la même occasion, s'y soumettre. C'est bien là toute la splendeur de la démocratie : élire, laisser celui qu'on a élu exercer ses fonctions et le laisser maître de ses décisions et directions jusqu'à la fin du contrat avec respect et responsabilité mutuelle.
Si, l'une ou l'autre des parties se met à en changer le Titre, à en briser les règles, à déserter sa fonction première, chacune perd la confiance qu'elle a mis en l'autre et c'est le chaos.
Chaque état, un blog, un roman, un journal, une vie,un enseignement etc.. a sa fonction, son lieu et son titre..Je vous adresse mes bons sentiments en ce jour de l'Avent Monsieur Goux.
Vous l'avez lu dans le chapitre 11, versets 13-14 du " Livre de Job " ceci.. ? .. et je ne vous citerai que ces deux dernières lignes :
- Eloigne-toi de l'iniquité
- Et ne laisse pas habiter l'injustice sous ta tente.
J'espère bien-entendu, au delà de tout " ça ", trouver un job, gagner ma vie et de l'argent,comme tout le monde, .. mais le plus difficile, n'est pas de trouver une adresse mais un " Patron " qui sache s'y tenir, malgré tout.
Sur les massacres commis par les révolutionnaires, on trouve des mentions depuis longtemps. commencer Par Babeuf sur le système de dépopulation:
RépondreSupprimerhttp://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k847909.r=.langFR
Sur le caractère délibéré de la répression et son étendue, quelques références à Gaxotte, G. Lenotre ou à la biographie de Charette par Michel de Saint-Pierre suffisent à vérifier que si amnésie il y a, c'est celle de la mauvaise conscience. Vous trouverez beaucoup sur le sujet aussi chez La Varende, puisque vous commencez à le lire.
Séjournant en Vendée la semaine dernière, j’ai pris la mesure de son action dans son département, et de la nostalgie suscitée par son retrait. Car il a semble-t-il renoncé à la vie publique. Quel dommage ! Reste le Puy du Fou, symbole remarquable d’un “devoir de mémoire” exercé avec opiniâtreté, contre l’esprit du temps, matérialisé en outre par l’Historial de la Vendée et la théâtralisation de la gentilhommière où Charette fut arrêté. En visitant ces lieux, il m’est revenu que, durant la commémoration du bicentenaire de la Révolution, Villiers n’a eu de cesse d’exiger une prise en considération des massacres perpétrés par Turreau et Carrier, et ordonnés par la Convention. Fut-ce un “génocide” ? Il semblerait – et, me dit-on, l’historien Reynald Secher en détiendrait la preuve, un ordre d’extermination écrit et signé par Robespierre soi-même. C’est important car si génocide programmé il y eut, la Révolution aura été sans conteste possible la matrice des totalitarismes du XXe siècle, celui de Lénine puis celui d’Hitler. Initiateur opportun d’une approche sans complaisance de la période 1789-1795, le grand historien Furet le laissait plus ou moins entendre. En tout cas le sujet nous concerne de près : nos édiles ayant cru devoir statuer sur le génocide… des Arméniens par les Turcs en 1915, il ne serait pas déraisonnable qu’un vrai débat de fond éclaire leurs lanternes sur les racines mythologiques de la gauche française.
RépondreSupprimerDenis Tillinac
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerNapoléon = Bush égal Staline = Hitler, il n’y manquait plus que le nom de Robespierre :
RépondreSupprimerAnonyme:
Je crois que Denis Tillinac rappelle simplement que le premier génocide d'Europe a eut lieu dans le pays où dans le même temps s'écrivait la déclaration des droits de l'homme.
Avouez que c'est assez cocasse.
a eu lieu.
RépondreSupprimer@ fredi m
RépondreSupprimerCe n'est pas le premier génocide d'Europe, loin de là. Il y a eu la guerre de dix ans en Franche-Comté, un siècle avant. Bilan : 150 000 morts environ, soit les 2/3 de la population.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_Dix_Ans_(Franche-Comté)
L'erreur de Reynald Secher est de faire croire que tout commence avec la révolution française, alors qu'elle n'est qu'un épisode sanglant parmi d'autres dans l'histoire européenne. La matrice des totalitarismes du XXe siècle, elle est plutôt dans la première guerre mondiale, dont sont directement issus le fascisme, le nazisme et le communisme.
@ fredi m
RépondreSupprimerJ’avais bien compris Fred, je trouve tout aussi coquasse que l’on prétende aller contre… comment dit-on déjà, l’histoire officielle, en ne lui substituant rien d’autre que son reflet dans le miroir déformant d’une idéologie contemporaine : le devoir de mémoire. Rétablir l’histoire, du moins une vérité historique, tout de même connue, ce ne peut être de tomber d’une caricature dans l’autre, tout aussi spectaculaire ; à ce titre l’exemple du puy est parfait.
Quant au pléonasme "génocide programmé" le "sans conteste possible" n’a aucune légitimité puisque le propos n’éclaire nullement la relation faite entre totalitarismes passés et modernes ; le simple terme de socialisme n’explique absolument rien. Comme du côté prograisseux celui de nationalisme à pourfendre, non plus. Je ne vois là que bas réflexes de courtisans et sophismes de citoyens. Détenir une preuve au conditionnel n’est pas mal non plus (rien que la démission du comité de salut public, pour exemple précoce, peint un tout autre portrait de MR). Et quand bien même. Confondre la foi, même jacobine et le paganisme ésotérique nazi, c’est un peu rapide, plus que ça c’est con. Si c’est amusant chez un Dantec, ça l’est moins chez un Tillinac.
Donc autant préférer le témoignage du bannît sur son île, ce n’est pas tant qu’il fut impérial qui importe, c’est en tout cas celui d’un contemporain des faits.
Sébastien à dit le reste.
H.