samedi 29 août 2009

Le pittbull fugueur a encore frappé

Oui, on se moque, je sais. On se moque de Renaud Camus, on se moque de Céline qui ne le mérite pas. N'empêche...

N'empêche que le pittbull maison, à savoir le Seigneur Ottokar, était censé égorger tout ce qui bouge. Or, Or... Or, on décide de mettre en présence les quatre ou cinq bestiaux présents soudain dans la maison. Non seulement tout se passe merveilleusement, mais en plus Ottokar, censément mâle dominant, tombe rigoureusement amoureux de Swann. Lui lèche la face ; la bite ; le trou du cul ; se montre incapable de l'abandonner de plus de cinquante centimètres. Bergotte le prend assez mal, forcément : elle tente d'attirer l'attention du seigneur Otto : n'y parvient nullement ; de plus, Swann, son maître absolu, se désintéresse absolument d'elle, elle le prend encore plus mal – tout le monde finit par grogner, Catherine se fâche, tout le monde se calme. L'Irremplaçable est très forte.

Il n'empêche, on se moque. Ottokar est censé être fugueur. Pas avec nous : il est tombé raide amoureux de Swann et ne le quitte pas d'une demi-patte – pas prêt de le perdre, celui-là.

Quant à Orage, il se fout à peu près de tout, y compris de nous. C'est le vrai sage de cette maison.

6 commentaires:

  1. Normalement, c'est justement le mâle qui se laisse lécher la bite qui est le dominé. Soumis, il laisse ses attributs à portée de crocs du maître. Mais Swann s'en fout sûrement et joue les profiteurs...

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  2. Est-ce-que Swann va vouloir rester à Plieux, plutôt que de retourner en Normandie sans son admirateur ?

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  3. Plus je connais les hommes, plus j'aime mon chien ?

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  4. Plus je connais les femmes , moins j' aime ma hienne ?

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.