vendredi 18 mars 2011

Il faut en finir avec le colonialisme français !


Qu'attend-on pour rendre Marseille à l'Algérie ? Ou bien pour accorder leur indépendance aux Bouches-du-Rhône ? C'est inique, à la fin, de maintenir ce territoire sous dépendance française, à l'heure où les peuples arabes se libèrent comme des bêtes un peu partout ! Je le clame bien haut :

La tutelle coloniale qui pèse sur le magnifique peuple bucco-rhodanien doit cesser !


Bon, avant, tout de même, il faudra penser à mettre en place un convoi de rapatriement (avec sas de décontamination à l'arrivée en terre française) pour Emma et Pluton. Et peut-être aussi pour le Guérini socialo, qui occupe très bien Arnaud Montebourg…

31 commentaires:

  1. Didier, qu'attendez-vous pour saisis le conseil de sécurité de l'ONU?

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  2. Et la raison de ce billet est ?

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  3. Bucco-rhodanien ? Vous avez dit bucco-rhodanien ? C’est pas un lapsus ?

    Et le pastis ? Et la Sainte-Victoire ? Et la chandeleur à Saint Victor ? C’est algérien toussa ?
    On sent la jalousie des culs terreux de Normandie… Répondez à Dorham : Quel est le but de ce billet ? Touchez pas à Marseille ! Arrivé là avec des pieds de plomb, j’y ai passé les 10 meilleures années de ma vie ! N’en privez pas Pluton ; ni les Guérini, font partie consubstantiellement de la couleur locale…

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  4. Depuis quand il faut une raison pour faire un billet ?

    D'ailleurs, Dorham, associer "raison" à Didier est hasardeux.

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  5. En tant que Bretonne, je demande depuis longtemps l'indépendance… Nous d'abord!

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  6. Olivier : pas la peine, i' m'écoutera pas !

    Dorham : comme l'a bien vu Nicolas, AUCUNE. Ou alors parce que j'avais envie d'utiliser l'adjectif bucco-rhodanien que je venais d'inventer.

    Le Plouc : quoi, il est pas beau, mon adjectif ? Il a pas fier allure ?

    Quant à Marseille, je crois que les Pluton s'en passeraient volontiers…

    Julie : ah oui, mais dans ce cas, on vous refile tous les bucco-rhodanien qui vivent actuellement à Marseille. Voyez ça avec Nicolas, donc. entre Bretons de souche.

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  7. Il y a plus de 20 ans les inconnus (Legitimus, Campan, Bourdon) déclaraient que Marseille était la premiere ville africaine traversée par le Paris-Dakar, et cela faisait rire ;)

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  8. Didier,

    Je vous remercie de ne pas rappeler que Julie et moi avons un point commun.

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  9. Mais oui, c'est pourtant vrai qu'il y a vingt ans on avait encore le droit de rire de ce genre de plaisanterie !

    Et aussi quand Coluche stigmatisait les noirs qui viennent ôter le pain de la bouche à nos Arabes.

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  10. Didier,

    Et après je vais encore lui faire la morale quand on va s'engueuler, du genre : ne pas foutre la merde dans les commentaires d'un blog quand le taulier n'est pas là, il n'a pas que ça à faire, ensuite, de lire nos conneries et de soupirer bêtement.

    C'est malin...

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  11. Ah cher Didier, rendez vous compte de ce que nous allons perdre : Marseille, son port (pas le vieux), ses ordures, les navettes ( de la SNCM, pas celles du four...). La nostalgie m'envahit déjà, c'est dingue..!

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  12. Que Nicolas ne s'inquiète pas, je me suis contentée de naître en Bretagne, d'une mère Danoise et d'un père Auvergnat… Nous n'avons vraiment rien en commun…
    Mais je l'aime bien quand même…

    Didier : pour l'indépendance de l'Auvergne votre proposition marche aussi?

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  13. "Il faut en finir avec le colonialisme français !"

    => cela ne saurait tarder

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  14. Bof, Bruno Étienne avait déjà demandé, dès les années 80, qu'une partie des Bouches-du-Rhône soit donnée aux musulmans afin qu'ils puissent y instaurer la charia, l'histoire de prouver leur volonté de s'intégrer.

    Marseille, Bouche de vieille.

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  15. Pour rebondir sue le commentaire précédent, j'ai entendu qu'en Angleterre, certaines "communautés" immigrés commençaient à réclamer le droit de ne plus être assujettit à la loi Anglaise. Parmi elles, certaines réclament l'indépendance de leur quartier…
    La mode venant toujours d'Angleterre… la réalité dépassera peut-être votre fiction.

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  16. Julie : je ne considérais pas cela entièrement comme une fiction. Après tout, si la région où je vis s'appelle Normandie c'est bien parce qu'elle a été donnée aux Normands pour qu'ils arrêtent de piller le reste du royaume de France. Donnée… et reconquise quelques siècles plus tard : inspirons-nous des grands hommes du passé…

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  17. Vous avez en partie raison, car vous ne tenez pas compte des "masses" et des quantités" en jeux aujourd'hui, dans un territoire somme toute très réduit à cause de la surpopulation que nous connaissont et que ne connaissez pas mes ancêtres les Vicking. Facteur qui changent tout à votre raisonnement.

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  18. Oh, raisonnement : Madame est trop bonne !

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  19. Oui, à ce qu'on dit…
    Mais je fais aussi des fautes d'orthographes… emportée par mon élan… ce qui ne change rien au fond (comme dirait Nicolas…)

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  20. Ah mais je ne connais pas votre fond ! Je l'imagine juste mauvais.

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  21. Arrêtez de fantasmer Nicolas, Ca vous changera.
    -"Venez simplement nous rejoindre du côté obscur de la force…"
    Houhhh!! Vous avez peur là! (c'est pas facile d'imiter Dark Vador en tapotant sur un clavier)

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  22. Le foot + l'islam, c'est trop. Déjà que chacun des deux pris à part, c'est fâcheux pour la civilisation.

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  23. Merci au Plouc émissaire pour sa défense de "notre belle cité phocéenne"...
    Chez nous, traine partout un petit poème que je vous livre:
    MARSEILLE, C'EST PAS LA FRANCE

    Chez eux, y'a personne, chez nous y'a degun
    Chez eux on discute, chez nous on tchatche
    Ils se font frapper, on les crève
    Ils s'embrassent, on fure
    Ils sont racistes, et Rachid, c'est notre frère
    Ils sont pâles, nous sommes multicolores
    Ils se font avoir, on les met à l'amende
    Ils voyagent, on les envahit
    Ils chantonnent, on met le oaï
    Ils sont malades, on est fatigués
    Ils sont calmes, on s'engatse
    Ils sont tristes, on est morts de rire
    Ils jouent au ballon, on les galèje
    Ils courent après un titre, on en gagne dix
    Ils regardent la télé, on va au stade
    Ils sont seuls, nous sommes unis
    Là-bas il pleut, ici on se baigne
    Ils dorment, on fait les minots
    Ils sont soumis, nous sommes rebelles
    Ils sont renfermés, on a la mer et le port
    Ils ont de l'argent, on a la "foi"
    Ils partent en vacances, on va au cabanon
    Ils mangent fade, on se casse le ventre à l'aïoli
    Ils boivent de l'eau, on la mélange au pastaga
    Ils se caguent, on craint dégun
    Ils sont quelconque, nous sommes les Olympiens
    Ce sont des robots, nous sommes des hommes
    Ils sont français, nous sommes MARSEILLAIS
    Poème conclu par: Marseille indépendant.
    Notre ami Didier n'a donc rien inventé!
    Les plus coquins rajoutent:
    "Ils nous emmerdent, on les encule."
    Mais pas moi, fada, je sais me tenir ;)

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  24. @Léonce

    Vous avez oublier la plus drôle

    "Chez eux, c'est à peu près propre, chez nous ca ressemble à une poubelle."

    C'est ma préférée^^

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  25. Pas neuf le poème mais lil reflète bien l'ostracisme marseillais... Et dans tout ça Rachid c'est notre frère mais le marseillais lui met ... et tout et tout.

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  26. Navré Emma, j'aurais du signer...

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  27. Didier, vous n'avez jamais eu le moindre problème au boulot ou ailleurs depuis que vous tenez ce blog ? Relativement à vos opinions nauséabondes, j'entends, n'est-ce pas ?

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  28. @ XP: "Ils sont analphabètes, on sait lire et écrire".
    C'est lenonce et pas léonce...
    Il est vrai qu'on préfère une ville sale sous le soleil que des trottoirs nets et luisants sous la pluie.
    @ Emma: on n'a jamais rien mis à Rachid, ce serait plutôt le contraire. Et on ne manifeste d'ostracisme qu'envers les moqueurs.
    @ tous: il fait un soleil radieux, avec cette luminosité d'hiver qui détoure les collines au loin de façon si particulière: aujourd'hui oursinade dans le jardin avec un blanc de Cassis. Santé, XP!

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  29. " Et on ne manifeste d'ostracisme qu'envers les moqueurs."

    Ca se moque et ça chougne quand ca se fait moquer. Belle mentalité d'Oriental

    A ce propos une phrase du Général de Gaulle à propos de Bourguiba, irrité par sa grande gueule:

    "Il serait né un peu plus haut, ça aurait fait un excellent maire de Marseille".

    Phrase d'une cruauté et d'une justesse imparable.

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