samedi 1 octobre 2011

Certains jours, un Didier Goux somnole derrière l'une de ces fenêtres…

Irrempe, hier matin

9 commentaires:

  1. Pouvant, dorénavant, me targuer du statut de lecteur assidu de votre blog et de votre journal, une question me taraude le fondement : dans votre pastis, un ou deux glaçons ?

    Sinon la photo est sympa mais comme vous le constatez, elle ne m'inspire malheureusement aucun commentaire intelligent.

    PS: Je sais, la raison et le bon "goux" auraient dus m'interdire de pianoter sur ce maudit clavier, mais je n'ai jamais su résister à une porte, qui plus est, entrouverte.

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  2. C'est marrant, ça ressemble à la Place du Colonel Fabien.... Geargies.

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  3. Ecrivain en bâtiment ...
    Serait-ce le bâtiment de l'écrivain ?

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  4. Farr : je bois le pastis dans un grand verre. Par conséquent, ce ne sont pas moins de quatre glaçons qu'il me faut.

    Pabngloss : j'essaie, mais ils ne veulent pas me lâcher !

    Geargies : hélas, oui…

    Solveig : non, c'est le bâtiment du pseudo-journaliste.

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  5. Terminer les commentaires des billets précédents par deux éructations d'XP, c'est tout simplement de la triche. C'est votre neveu, ou quoi ? Vous lui devez de l'argent ?
    Bon, n'ayez crainte, je m'arrête là. Mais quand même...
    Ou alors vous avez eu peur qu'il se suicide ?

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  6. Gaston, j'ai parlé DES belligérants…

    En fait, c'est que j'ai pas très envie, le matin au réveil, de devoir me taper cent cinquante commentaires d'insultes se mordant la queue. Donc…

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  7. Tiens d'ailleurs, puisque vous m'y faites penser…

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  8. Ah Didier,

    Merci de me rendre mes jouets!

    Bon, je ne ne vais pas y toucher, sinon tu vas encore me les confisquer...


    En tous cas, je me suis bien amusé!

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.