mercredi 7 mai 2014

Pire qu'un réac, deux réacs !


Tel est le titre de la double page que le Causeur du mois de mai nous consacre, à Denis Tillinac et à moi-même. Voici le “chapeau” de l'article :

Si Didier Goux et Denis Tillinac défrisent les progressistes aux idées courtes, leurs pamphlets évitent néanmoins les facilités du contrepied systématique.

Je ne suis pas sûr qu'En territoire ennemi ressortisse au genre du pamphlet, mais être associé à Tillinac me plaît beaucoup. 

Vous trouvez ce billet vantard et son auteur imbu de lui-même ? Vous avez raison : ils le sont ! Et je n'en ai même pas honte.

49 commentaires:

  1. Causeur, le magazine d'Elisabeth il-y-a-trop-de-quoi-à-la-téLévysion.
    Ça fera partie des pièces à conviction dans le procès à l'issue duquel vous serez tondu.

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    1. Je n'y suis pas pour grand-chose.

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    2. Si, quand même, quand même !

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    3. Je voulais dire que je n'étais pour rien dans le fait que cet article ait été écrit et publié.

      (Du reste, il est amusant que mon livre ait été envoyé à trois personnes de Causeur, et que ce soit finalement une quatrième qui en ait parlé.) À mon avis, ils devaient être tous bourrés…

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  3. Je ne trouve pas. Où est-il cet article ?

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    1. Il est dans le magazine "papier" et, je suppose, sur le site si l'on est abonné.

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    2. De toute façon, je pense que je le mettrai en ligne d'ici une dizaine de jours, quand Causeur aura "fait ses ventes"…

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  4. C'est mérité ! Après ça, je ne sais pas si j'oserai me risquer à rédiger le billet que je pensais consacrer à En Territoire ennemi...

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    1. Z'avez intérêt à vous risquer, sinon il y aura des représailles ! Dans le genre "écrivain aux dents longues", même Sollers est désormais un gamin, à côté de moi !

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  5. Goux - Tillinac, on a vu pire comme duo...

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    1. Oui, hein ? D'ailleurs (mais j'y pensais avant cela), j'ai décidé de faire mon coming out d'écrivain et de tuer l'écrivain en bâtiment. Ce sera pour demain, probablement.

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    2. Bravo, j'attends avec hâte!

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    3. Dites-donc, je vous trouve un peu pourtousse, là, avec votre coming-out. Dieu vous en préserve !

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    4. Bon, finalement, pas de coming out : je garde ça pour le journal de mai…

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    5. "... j'ai décidé... de tuer l'écrivain en bâtiment."
      J'espère que j'y suis pour quelque chose ?

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    6. Tout à fait, ma chère, tout à fait ! Vous lirez cela dans le journal de mai (donc fin juin), où je rends à Césarine ce qui appartient à Césarine.

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  6. Mais il n'est pas un vrai réac mode, Tillinac, il est chiraquien à vie et gaulliste pour le reste.....bon, félicitations quand même

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    1. Mais si, c'est un vrai réac ! Un réac de terroir, si vous voulez.

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    2. Réac de souche même...

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  7. Ah ah ! je l'savais : vous voyez bien que vous z'êtes réac ! ha ha !!

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    1. Ça m'a fait un sacré choc de l'apprendre ! J'envisage d'ailleurs une petite cellule de soutien psychologique…

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    2. N'y voyez rien de personnel mais, le mal est en vous : je vous dénonce de ce pas à Aymeric Caron, notre grand inquisiteur.

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    3. Agent Y, et n'oubliez pas le cran. Eux aussi devraient pouvoir aider Didier à revenir dans les chemins boueux du modernisme.

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  8. Didier Goux deviendrait- il une personnalité populaire? Sans jamais avoir rien demandé à personne, c'est une véritable consécration , et bien mérité!

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  9. Imaginez, Goux et Tillinac à Paris le même jour, le pic de pollution...

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    1. LeVertEstDansLeFruit8 mai 2014 à 11:32

      N'empêche, c'est tout de même des particules fines..

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  10. voilà que pour une phrase complètement alambiquée et ne voulant rien dire dans un canard dont j'ai même pas entendu parler, on se met à juter dans eminence !!!! Bah!

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  11. A ce rythme là bientôt il ne vous restera plus qu'à poser votre candidature à l'Académie Française.
    Quo non ascendet?

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    1. Je compte beaucoup sur le soutien de Finkielkraut, à cette occasion.

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  12. Vraiment ravi qu'un article sur votre œuvre majeure paraisse dans Closer.

    Je m'en vais l'acheter illico !
    .

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    1. J'espère avoir Ici Paris la semaine prochaine… Tous les triomphes me semblent promis…

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  13. Mieux vaut être dans causeur que dans libéralefion.

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    1. Encore que j'aimerais beaucoup avoir un bel article bien haineux et flétrisseur dans Libération ou dans le Nouvel Observateur !

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    2. Robert Marchenoir8 mai 2014 à 23:46

      Ah oui, mais ça faut pas rêver, c'est le ruban de commandeur de la Légion d'honneur...

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    3. N'en demandez pas trop ! Ils ont tellement de gens à haïr et à flétrir en ce moment.

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    4. Je sais, je sais : ce n'est qu'un doux rêve…

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    5. Tiens en voulant commander votre livre sur Amazon je constate, interloqué, que des plaisantins le propose en occasion pour 58 € alors que neuf il faut payer env. 22 €.

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    6. Ah, ça, c'est le grand mystère du marché du livre d'occasion ! Totalement incompréhensible pour moi aussi…

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  14. Mais ... puisque vous vous défendez d'être écrivain... Tillignac va se sentir déclassé, non ?
    Il est vrai qu' E. Lévy cause de pamphlétaires.

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    1. Ce n'est pas Mme Lévy qui a écrit l'article. Ce qui ne change rien sur le fond, d'ailleurs.

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  15. Tant que vous n'aurez un billet QUE sur Causeur, vous serez encore un écrivain raté. Les écrivains-blogueurs qui représentent l'avenir de la littérature vous le martèleront à qui mieux mieux. Ce n'est pas pour vous rabattre le caquet, mais aucun critique de gauche ne vous a encore traité de moisi.
    Non, sans déc, félicitations, avec smiley pour la peine ! :)

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    1. Eh ! je le sais bien ! J'aspire à la moisissure, comme à son os le chien…

      À 58 ans, si on n'a pas une Rolex et un article vilipendeur (d'andouilles) dans les Inrocks, c'est qu'on a raté sa vie.

      Je pourrais peut-être demander à M. Cui Cui d'intercéder en ma faveur ?

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  16. Dans cet article là, vous n'êtes tout de même pas loin de la moisissure !

    http://www.marianne.net/La-France-entre-carnaval-et-savane_a237409.html

    P. Orbec

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.